Les Ratios Prudentiels

............................................................. 65 Les produits islamiques .............................................................................................................. 66 Chapitre 4 Les obligations et règles prudentielles 4.1 4.1.1 4.1.2 4.1.3 4.1.4 4.1.5 4.2 4.2.1 4.2.2 Les obligations .......................................................................................................................... 69 Le contrôle interne ..............................

................................................ 65 3.4.5 Les produits islamiques .............................................................................................................. 66 Chapitre 4 Les obligations et règles prudentielles 4.1 Les obligations .......................................................................................................................... 69 4.1.1 Le contrôle interne .............................................................

tutelle Bâle 2: Les normes Bâle 2 constituent un dispositif prudentiel destinés à mieux appréhender les risques bancaires et principalement le risque de crédit ou de contrepartie et les exigences en fonds propres. Ce qui entraîne une refonte de la segmentation clientèle et l’intégration du scoring dans l’aide à la décision des crédits Bâle 3: Agit en priorité sur les fonds propres alloués aux activités de marché et création d’un «ratio de levier»rapportant la taille du bilan à celle des fonds propres

LE BILAN DES BANQUES ET LA GESTION DES RISQUES…. Introduction Les accords de Bâle ont pour objectif de recommander aux banques de structurer leur bilan d'une certaine façon. Le ratio à respecter, appelé ratio McDonough (anciennement ratio Cooke), que nous allons décrire plus bas, ne fait pas directement force de loi mais est transcrit par les autorités de régulation dans les réglementations locales. En Europe c'est la communauté européenne qui se charge de faire appliquer les recommandations

Performances bancaires Notions et ratios d’évaluation des performances bancaires par : Paul Soriano Comment évaluer l’activité et les performances des banques ? Le bilan de la banque est une photographie de sa situation économique. Le produit net bancaire (PNB) rend compte des l’ensemble des activités de l’établissement (produits - charges d’exploitation). Les résultats s’obtiennent en soustrayant au PNP, diverses catégories de charges, jusqu’au résultat net qui permet de rémunérer les actionnaires

1988, le comité de Bâle préconisait que le ratio (ratio Cooke) montant des fonds propres sur montant des crédits distribués devait être au minimum de 8%. Lors des accords de Bâle II en 2004, ce ratio de solvabilité a été amélioré en prenant en compte d’autres risques que celui du crédit : le risque de marché, qui est lié à la variation du cours ou du prix d’un bien (une créance, une devise, une action) et le risque opérationnel. Ce nouveau ratio, dit ratio de Mc Donough est égal au fond réglementaire

qui la caractérisent. - La juste valeur et la crise de titrisation : La titrisation a été utilisée par les établissements de crédit pour transférer le risque attaché à certaines créances, cédées sous forme de titres liquides, afin d’améliorer leur ratio de solvabilité et accroître ainsi leur capacité d’emprunt sur le marché. La répartition des risques attendue de la titrisation avait pour corollaire l’incertitude sur le risque réel encouru, puisque le détenteur de la créance finale n’était plus celui

code déontologique applicable aux membres de son personnel ainsi qu’aux membres de son conseil d’administration. L’établissement dépositaire est aussi en charge de s’assurer de la régularité des actes de gestion et du respect des règles prudentielles, et ce à travers l’instauration d’une fonction de contrôle interne clairement définie par la circulaire du CDVM n°14-01 du 27 décembre 2001. Vu l’évolution des impératifs liés à cette fonction ainsi que son importance pour l’activité de

transfert de risque » La titrisation permet à l’agent financier de nettoyer son bilan pour le rendre conforme aux règles prudentiels que les agents financiers doivent respecter. Ces règles prudentiels sont édictées par le comité de Bâle regroupant l’ensemble de gouverneur des banques centrales, l’une des règles la plus importante de Bâle est : < La définition et le respect d’un ratio dit ratio Cook qui fait obligation aux institutions financières de détenir des fonds propres d’un niveau équivalent à 8% en

l’organisation du secteur financier. En effet, les banques classiques dépendent de la BCEAO, et les structures financières décentralisées (SFD) du ministère de l’économie et des finances, relativement à la délivrance de l’agrément, et aux respects des ratios prudentiels de gestion. Le dispositif juridique et institutionnel repose essentiellement sur le ministère des finances qui s’assure du respect de la réglementation, et du contrôle par l’intermédiaire de la cellule AT/CPEC (Cellule d’assistance technique