Les Salons Mondains

faisais piètre figure. Mes amies, et Zaza elle-même, jouaient avec aisance leur rôle mondain; elles paraissaient au "jour" de leur mère, servaient le thé, souriaient, disaient aimablement des riens; moi je souriais mal, je ne savais pas faire du charme, de l'esprit ni même des concessions. Mes parents me citaient en exemple des jeunes filles "remarquablement intelligentes" et qui cependant brillaient dans les salons. Je m'en irritais car je savais que leur cas n'avait rien de commun avec le mien: elles

national, en coréalisation avec le Théâtre de la Tempête. le jeune théâtre national L’auteur et son œuvre Introduction ………………………………………………………… L’auteur : Molière ………………………………………………….. Résumé de l’intrigue ……………………………………………….. Préciosité et salons mondains ……………………………………… Qu’est-ce qu’une « femme savante » ? …………………………….. 3 4 6 7 9 Le spectacle Le metteur en scène : Marc Paquien ………………………………. Parti pris de mise en scène ……………………………..................... Les comédiens ………………………………..

solide formation de rhétorique et en lui donnant le goût de la discussion et du théâtre. Parallèlement, il fut introduit dans les milieux mondains par son parrain, l'abbé de Châteauneuf, qui le présenta même à la célèbre courtisane Ninon de Lenclos. Ainsi, dès l'âge de vingt ans, Voltaire fréquentait les salons parisiens et s'adonnait à une littérature mondaine, sinon légère. Son insolence et son indépendance d'esprit, à moins que ce ne fût une certaine forme d'inconscience, lui valurent d'être emprisonné

de Clitandre, préparée par le portrait fait par Alceste, tout comme celle d’Acaste dont le portrait est fait par Célimène, annonce la scène mondaine qui va suivre, d’autant plus que Philinte et Eliante arrivent peu après. Cette scène témoigne de l’engouement des mondains pour le jeu des portraits qui met en valeur la maîtresse des lieux. I) Un jeu mondain qui met en valeur Célimène 1) Le rôle des marquis • Rôle des marquis : relancer la conversation -> rythme rapide • La rime lancée par Clitandre

Les parodies de salon dans le Malade imaginaire. Et en quoi est-ce moqueur ?Bon travail, peut-être à compléter : analysez les présentations des deux pères au début de la scène et caractérisez plus précisément le discours précieux de Thomas Diafoirus.Alexandre Toumelin 104Clémence Riou 104Hugues Mativon 104Au XVIIième les salons sont des lieux de rencontre où se réunissent des hommes de lettres et de grands esprits dans les milieux mondains et lettrés. Ces salons sont souvent dirigés par des femmes

La Préciosité Au XVII° Siècle SOMMAIRE I.Definitions II.Les Salons III.La Littérature Précieuse I.Les Definitions 1.Définissez le nom préciosité : Le mot "précieux" a été emprunté à l'adjectif latin : "pretosius" : qui a du prix. Précieux désigne les deux faces d'une même réalité ; il peut, selon le contexte, prendre une valeur laudative ou une valeur péjorative. Il y a alors ambiguïté du mot, qui désigne aussi bien un travail très raffiné, délicat, distingué, que des manières

culture de masse : c’est-à-dire de la publicité, des bandes dessinées et des objets culturels mondains. Le Pop art, comme la musique pop, utiliser des images populaires par opposition à la culture plutôt élitiste de l'art. Origine du pop art Les origines du Pop art en Amérique et en Grande-Bretagne se sont développées légèrement différemment. En Amérique, les artistes s’inspirer de la société mondaine souvent considérer comme superficiel, des médias, des affiches ou encore des boîtes de conserves

Swann (Proust) L’incipit d’Un amour de Swann situe l’action. Dans l’extrait étudié (de « Pour faire partie du petit noyau » à « pour avoir trop ri »), Swann se trouve dans un lieu qui ne lui correspond pas : un salon grotesque et ridicule. Le narrateur évoque, avec ironie, le salon de l’intérieur et de l’extérieur. Il apparaît comme le double de Swann, son complice face au clan Verdurin dont il nous donne une vue panoramique pour finir sur un zoom de son chef : Mme Verdurin. Proust met ici la

qui confirment son ambition de moraliste. Jean de la Fontaine passe toute son enfance dans cette province, milieu rural et champêtre dont son œuvre, dit-on, porte la marque. Après avoir été un moment avocat, il s'installe à Paris, fréquente les salons littéraires et décide de se consacrer à la littérature. Féru d'Antiquité -il se rangera aux côtés des Anciens lors de la querelle des Anciens et des Modernes-, il publie une comédie, l'Eunuque (1654), imitée de Térence, puis un poème héroïque, l'Adonis

plus grand dramaturges du siècle des Lumières, ses œuvres figurant parmi les plus jouées par la Comédie-Française, Marivaux connaît un succès mitigé de son vivant. Pourtant, journaliste, romancier, dramaturge français du XVIIIe, Marivaux fréquente salons parisiens et devient même membre de l’Académie Française en 1742. Partisan des Modernes, il se détourne de l’Antiquité et s’inspire plutôt de la comédie italienne, la commedia dell’arte dont il reprend certains personnages comme Arlequin ou encore