Les Syndicalisme Et Les Mouvements Ouvriers 1880 1914

Europe occidentale. Ce qui a prévalu c’est une croyance d’une évolution inéluctable du SUM, et cette vision apporté par un auteur Alexis de Tocqueville dans l’ouvrage de la démocratie en Amérique. Cet auteur considère que le mouvement de l’histoire est en marche et ce mouvement c’est l’aspiration des masses a désigner ce qui vont gérer les affaires de l’Etat = « la passion égalitaire ». en penseur libéral T considère que la Q° démocratique se résume a un seul enjeux = la passion de la liberté face

répartition de la population, on a un déséquilibre homme femme mais moins important que lors de la 1ère GM. L’exode rural, depuis le 19 ème siècle, les villes s’accroissaient plus vite que les campagnes, pendant la 2ème GM exceptionnellement le mouvement s’inverse : les citadins quittent la ville pour rejoindre les campagnes. En effet, les civiles sont des cibles militaires. Par exemple, la ville du Havre, les Allemands poussent la population à quitter la ville car entendent faire du Havre une zone

Chapitre 1 : Pouvoir, société et culture dans la France de la Belle Époque Le terme de Belle Époque, utilisé pour qualifier les années 1890 – 1914 , désigne une période qui après les débuts difficiles de la Troisième République a pu apparaître comme relativement heureuse. Après les expérimentations politiques éphémères qui avaient caractérisé le XIXe siècle , la France connaît une période de stabilité institutionnelle

la marche. Cette progression peut être considérée comme un mouvement inéluctable. C’est en tout cas l’analyse faite par Alexis de Tocqueville dans son ouvrage « De la Démocratie en Amérique » paru en 1835. Dans cet ouvrage, Tocqueville constate l’aspiration des masses à désigner les gouvernants. Il s’agit selon lui de la « passion égalitaire » qui emporte tout sur son passage : comme le précise Tocqueville, ce mouvement est « irréversible et irrésistible ». L’enjeu est alors de contenir

économique, religieux et social et c’est de la que naissent les problèmes b) Création des théories poilitiques pour trouver des solutions aux grandes questions de l’époque c) Idées murissent (doivent se répandre) et donnent naissance à des mouvements sociaux qui veulent changer les choses jugées fausses ou dépassées Théoriciens de l’époque Ils vivent dans un contexte différent d’aujourd’hui dont il faut être conscient. Selon Kölz, il y a 2 motivations : 1) buts nobles + altruistes

publique : ne touche qu’un partie des citoyens, le droit de vote pour les femmes qu’au début du 20ème siècle. Expansion progressif du droit de vote pour les femmes. 2ème objectif : Généralisation du savoir et de l’information Plusieurs lois : Ferry 1880 l’école devient laïc, obligatoire et gratuite pour tous. Les frais de scolarités sont pris en charges par l’Etat : volonté d’apporter le savoir. 3ème objectif : Volonté d’organisation et de consécration de la liberté publique. En France l’organisation

chefs constituent une classe politique habile aux jeux parlementaires (combinazioni), mais sans assise profonde dans le pays. Le symbole en est Giolitti, maintes fois ministre, président du Conseil en 1892, puis presque sans interruption de 1903 à 1914, à nouveau au pouvoir en 1920-1921. Le droit de suffrage s'est élargi en 1913, et le suffrage universel est appliqué pour la première fois en 1919. Des formations politiques nouvelles, ou longtemps marginales, prennent alors leur place entière dans

peut considérer que nous ne sommes pas dans ce que l’on appelle stricto sensu dans l’entreprise. Au moment de la révolution industrielle, se fait sentir un besoin plus pressent de machine, objet volumineux, il est donc préférable de regrouper les ouvriers sur un même lieu de travail. Début XIXe, nait l’entreprise telle que nous la connaissons aujourd’hui. Cette évolution de la naissance de l’entreprise n’est pas linéaire. Avec le phénomène de délocalisation, abaissement des coûts de communication

57 61 65 69 74 Leçon 1 Leçon 2 Leçon 3 Leçon 4 Leçon 5 Leçon 6 Leçon 7 Leçon 8 Leçon 9 Leçon 10 Les découvertes scientifiques et les mutations économiques. Le développement du capitalisme et les mutations sociales. Les doctrines sociales : syndicalisme et socialisme. Les missions et les explorations. Les rivalités coloniales : La conférence de Berlin et ses conséquences. Les résistances : formes, exemples, bilan. Les systèmes coloniaux (exemples français et britannique). L’impérialisme japonais

d’une démographie naturelle (sans intervention humaine) à une démographie contrôlée (influence humaine, ex : contraception, décident de quand/si ils veulent avoir des enfants...). Révolution à trois niveaux : mortalité (1750 -> ajd), natalité (1880 -> ajd), vieillissement (après 2 GM -> ajd). 3 Des étapes de la transition démographique 1 La révolution de la mortalité Taux de mortalité : c’est le taux de mortalité par tranche d’âge. Pour la tranche de 0 à 5 en 1750 on est