Les Systèmes Bismarckiens

actif dans la recherche du progrès économique et social . Si cette notion est parfois employée de façon restrictive pour désigner le seul système de protection sociale, son inspiration théorique est keynésienne et elle associe en fait le progrès social au dynamisme du système économique : la recherche du plein-emploi et les systèmes de protection sociale et d’éducation participent au soutien de la demande et à l’entretien du capital humain tout en répondant à des besoins sociaux

corporatiste, et qu’il existe inégalités. Puis dans une seconde partie, la redistribution peut être efficace à travers l’exemple universaliste. Tout d’abord, la redistribution est inefficace dans le système corporatiste. En effet, le système de protection sociale française est corporatiste et bismarckien ; les prestations ne visent que les travailleurs. Ainsi, celui-ci répond à une logique assurantielle. Donc la première inégalité apparaît, ceux qui ne travaillent pas n’obtiennent aucune aide de

promouvoir l'une ou l'autre de leurs variantes. Il est donc légitime de chercher à comprendre ce que ces réformes ont changé dans les principaux pays qu'on peut comparer avec la France : elles ont changé d'une part l'idéologie, de l'autre les règles des systèmes. Cela permettra d'en dresser un bilan d'étape au regard des promesses initiales du workfare et de l'activation, qui étaient et sont encore multiples, comme le montrent les objectifs affichés par le Revenu de solidarité active (RSA) en France : diminuer

l’assistance est une charge nationale et en 1796 les hospices civils sont crées. Ce n’est qu’au siècle suivant que le système de protection sociale va s’élargir en fonction de besoins spécifiques liés à la révolution industrielle. Les accidents du travail se multiplient et la conscience des risques sociaux s’accroit. En 1835 sont fondées les sociétés de secours mutuels, mais ce système reste basé sur la prévoyance collective volontaire et ne concerne que quelques activités et entreprises. Néanmoins

devenir la grande puissance que nous connaissons aujourd'hui. Tout d'abord précisons que la constitution que nous allons etudier aujourd'hui est la 4eme constitution allemande signée en moins de 100 ans. En 1871 est signé la constitution dites « Bismarckienne » appelé officiellement constitution de l'empire allemand. Elle est suivie de la constitution de Weimar du nom de la ville ou elle est adopté. Celle ci est adopté a la suite a la défaite de l'empire pendant la grande guerre et la destitution de

d'abord il faut savoir qu'a partir de 1830 jusqu'à 1939 on parle d'un système d'assistance publique et d'un système de libre prévoyance. C'est à dire que l'assistance médicale est gratuite avec la loi du 15 Juillet 1893 et il y a le service départemental d'aide sociale à l'enfance avec la loi du 27 Juin 1904 mais aussi une assistance aux vieillards infirmes et incurables avec la loi du 14 Juillet 1905 Ensuite on parle de système d'assurance sociale , et on parle de risques sociaux qui sont les

mettre en œuvre une réforme radicale du marché du travail. Ainsi sont nées les lois Hartz, des lois d’inspiration libérale guidant l’intervention publique vers moins d’assistanat. Par ce biais, le gouvernement espère préparer l’Etat providence bismarckien aux défis de la globalisation, mais la réforme est considérée par beaucoup comme un démantèlement des droits sociaux. Les dépenses annuelles pour la politique de l’emploi sont considérables, en 2003 elles représentent environ 3% du

-la généralisation quant aux personnes -l’ extension des risques couverts (sous la double influence du rapport BEVERIDGE de 1942 et du système BISMARCKIEN) Elle a été mise en place en 1945 à 1946. II) Les objectifs de la redistribution * La redistribution Horizontale et Verticale des revenus Lors de la redistribution, des inégalités apparaissent entre riches et pauvres. Pour réduire

individus exclus de cette répartition primaire. (Ex : travailleurs privés d’emploi) Lutter contre es inégalités sociales (Ex : en matière d’éducation, d’accès à l’emploi…) III- Les deux logiques de la redistribution Une logique d’assurance (BISMARCKIENNE): droit à la redistribution dépend de ses cotisations préalables Seules les personnes qui ont une activité professionnelle sont protégés puisqu’il faut verser une cotisation pour en profiter. Une logique de solidarité (BEVERIDGIENNE) : toute la

structurée d’une manière très différente d’aujourd’hui. Avant la réglementation était définir dans chaque ville par métier, par des communautés de métier que l’on a appelées à la fin de l’Ancien Régime des « corporations » Par suite d’abus dans le système corporatif de l’Ancien Régime, le principe d’égalité devant la loi a été proclamé à la révolution française. Ce principe découle des théories du contrat social. Les corporations ont été supprimées en 1791 Après la révolution française, apparition