Les Valeurs De L école Républicaine

l'enseignement scolaire tel qu'on le connait aujourd'hui : gratuit, obligatoire et laïque. Elle fait l'analyse des tergiversions qui ont empêché sa rapide et facile mise en place au cours du XIXème siècle. Au travers de l'opposition entre parti républicain et conservateur, elle dresse l'avènement de l'école suivant la problématique qui interroge sur la façon dont la France est passé « des paris au bilan » (page 20) à la concrétisation de l'installation du système scolaire. Pour réaliser son argumentation

la vie politique de la cité. Que l’École républicaine devienne à la fois l’un des lieux d’apprentissage de la citoyenneté mais également d’appropriation des principes qui lui sont attachés semble également relever de l’évidence. Dès 1794, Condorcet, définissant les fondements de l’instruction publique et du monopole de l’État qui devait naturellement en découler, justifiait la nécessité pour l’institution scolaire de participer à la diffusion des valeurs d’égalité et de liberté seules susceptibles

l’enseignement républicain. En effet selon l’auteur, l’apprentissage catholique est basé sur l’apprentissage par cœur, il suffit donc d’imposer une vérité sans aucun raisonnement « imposer la vérité … l’avaler ». Pour Ferdinand Buisson, l’enseignement catholique consiste à obéir à un « maître directeur chef » il donne ici allusion à Dieu » contrairement à l’enseignement catholique le républicain se base sur l’enseignement des libertés individuelles « Penser par lui-même » et des valeurs républicaines et il

socialisation ; elle est censée inculquer d’autres valeurs, d’autres normes non pas en opposition avec celles de la famille mais en complément. Par exemple, on apprend les règles du savoir-vivre, les valeurs religieuses dans la famille ; on apprend les savoirs de base (lire, écrire, compter) et les savoirs plus savants à l’école. L’école transmet ce que la famille ne peut pas toujours transmettre mais ne remplace pas la famille pour les valeurs morales. Longtemps réservée à une élite, l’école

écrire lire et compter ne suffit plus. Il faut une formation de plus en plus longue en 1870 l’école obligatoire jusqu’à 12 ans en 1936 jusqu’à 14 ans. En 1959 jusqu’à 16 ans. A partir de 1947, le plan LANGEVIN-WALLON qui prévoyait une école obligatoire jusqu’à l’âge de 18 ans. Féminisation du travail non domestique. C’est la conséquence d’un travail de plus en plus tertiaire. Conséquence aussi de la libéralisation de la femme. Les femmes peuvent plus s’engager vers un travail

réclamant de l’Education nouvelle. 1) L’école selon la troisième République Dans l’esprit républicain de la Troisième République, l’école serait un garant de la démocratie. En partie grâce à l’école et à l’enseignement, la Nation peut prendre véritablement corps, s’inscrivant chez l’enfant dès son plus jeune âge. Morale et instruction deviennent des éléments fondamentaux de la formation d’un futur républicain patriote. La fin du XIXe siècle, entérinant des avancées scolaires importantes survenues

démocratie étroitement liées → ◦ on se place donc dans le contexte de l'instaurat° de la République pour observer/comprendre comment la démocratie s'est mise en place Bornes• 1870 situat° chute du 2nd Empire ; et proclamation de la IIIème Rép par les républicains dans un contexte de Guerre % la Prusse ◦ Ø démocratie république instable → ◦ Même si concept de démocratie Ø inconnu car les français se sont hab au vote & droit de grève à été instauré (1864) • 1914 = début du premier conflit internationalquest°

L'affirmation difficile de la république Thiers va laisser place à Mac Mahon, royaliste qui à pour but de faire revenir la monarchie. Orléanistes et légitimistes ne peuvent s'entendre (octobre 1873). Le centre gauche orléaniste vote, avec les républicains, l'amendement Wallon (30 janvier 1875), qui introduit le mot « République », puis les trois lois constitutionnelles des 24 et 25 février et 16 juillet 1875. La Constitution fonde une véritable monarchie parlementaire avec un président, élu pour

Supprime l’amnistie des exiles (les Républicains). * Ils rentrent tous sauf V. Hugo (tant que LNB est au pouvoir). * 1868 : il libère la presse (supprime les contraintes). d)Des lois sociales * 1864 : droit de grève. Nombre de grève en augmentation * Suppression du livret ouvrier (CV). 3) La montée des oppositions a) Opposition libérale : Adolphe Thiers, il était monarchiste pour devenir ensuite républicain. b) Opposition républicaine : Gambetta anticlérical. Il est

grande révolution. Adhésion à l’idée républicaine est loin d’être unanime. - De 1879 au 20’s : apogée du modèle, société laïque, idée du progrès - contre ses adversaires comme Boulanger (85-89), l’affaire Dreyfus (94-06) - 20’s et 30’s : modèle en crise (attaques de l’extrême droite), occupation pendant laquelle la république est temporairement vaincue, la reconstruction républicaine en 1946 est incertaine et encore + en 1958. Pour les républicains, c’est un idéal et un projet de société