Les Valeurs Universelles Du Bien Et Du Mal

à notre conscience? La conscience est tout d'abord selon Rousseau et Kant, un principe universel. Seulement, nous verrons que d'autre part, la conscience se forge et est influençable, nous terminerons en tentant de trouver des solutions a cette influence possible de notre conscience. Avant de définir ce que représente la notion complexe de conscience, nous devons nous pencher sur la notion du bien et du mal. Ces représentations orientent nos actions et nos jugements tout au long de notre existence

bonne/mauvaise conscience, jugement en âme et conscience → selon les critères moraux B- Les deux grands sens de la conscience -Conscience psychologique : capacité à se représenter ses actes et pensées -Conscience morale : juge intérieur, statuer le bien ou le mal H conscient = sensible, se sait en relation avec l'extérieur (perceptions) & perçoit réalité intérieure, subjective (émotions) II- La conscience de soi propre à l'H A- La conscience de soi Fonde le sentiment d'existence et la pensée de la mort

s’il existe un principe moral universel et inné, un sentiment de justice présent en chacun et partagé par tous, relavant d’une vérité pratique. A cette interrogation, Locke répond négativement. Même si la société semble témoigner à différents niveaux de la présence de la justice (= pour preuve le « respect des contrats » et le respect du droit généralement observé), on ne peut pas pour autant en déduire que cette justice soit l’expression d’un principe moral universel et naturel. Il en appelle

(introduction) On dit parfois qu’une action est « belle », comme le sacrifice d’Antigone pour le respect de la dépouille de son frère, c’est-à-dire pour le respect de la loi morale universelle. Mais cela semble relever d’une confusion (on devrait qualifier cette action de noble, ou de droite, ou tout simplement de morale) car le beau est ce qui provoque en nous un sentiment de plénitude, d’harmonie, ou de perfection en son genre, devant le spectacle d’apparences « belles » , notamment

l'occasion de leur première rupture, qu'il écrit « Il faudra bien t'y faire... », sonnet dans lequel il exprime sa douleur face à la séparation et à la solitude. Ce poème fut publié de façon posthume en 1866. Nous verrons dans un premier temps comment s'exprime la douloureuse expérience de la solitude, puis, dans un second temps, nous montrerons que le poème permet de s'élever au-dessus de l'expérience personnelle pour atteindre un lyrisme universel. A/ L'expérience douloureuse de la solitude 1/La

est morale (affirmée dès Socrate, qui évoque volontiers le « démon » l’invitant à telle ou telle conduite), l’autre est psychologique. Origine des valeurs morales ? La conscience morale implique la présence, en chacun, de valeurs qui l’aident à définir ce qui lui paraît bien ou mal. Elle débouche donc sur une question relative à l’origine de ces valeurs : me sont-elles fournies par une autorité extérieure (la famille, la société, ou Dieu) ? Ou est-ce moi qui les découvre ou les invente ?. Conscience

s’assignent, de leur caractère et de leurs qualités. Si bien que, dans ce spectacle de l’activité, ce sont ces besoins, ces passions, ces inté­rêts, etc., qui apparaissent comme les seuls mobiles. Il est vrai que les individus se proposent aussi des fins générales et veulent faire le Bien, mais leur vouloir est ainsi fait que le Bien qu’ils veulent faire est d’une nature plutôt limitée. Il en est ainsi du noble amour de la patrie, qui peut fort bien être un pays insignifiant au regard du monde et de la

devient difficile lorsqu’il s’agit de la porter sur des pratiques et des croyances qui vont contre dire les notre et notre notion de bien et de mal “. Montaigne nous montre avec son relativisme que les êtres prétendument civilisés, jugés autrefois de barbares, ne sont que des hommes n’ayant pas la même culture que nous, leur culture ne correspond pas à nos valeurs, c’est ce qu’il s’est passé lorsque nous avons étendus, avec la colonisation, la culture occidentale. Le mort barbare désigne à l’origine

Sujet : Les formes de l’altérité dans « Nous et les autres ». L’altérité est le caractère de ce qui est différent, autre. Cependant, elle peut aussi être définie d’une part comme la reconnaissance de l’autre dans sa différence aussi bien religieuse que culturelle. D’autre part, comme un témoignage de compréhension de la particularité de chacun, hors normalisation, individuellement ou en groupe. Lequel implique une relation laïque, accueillante qui s’associe au métissage des cultures. Cette dernière

exactement, le goût est la faculté de juger du beau. Il est universel, lorsque l’on dit d’un Homme qu’il a du goût, on reconnait en lui la faculté infaillible de juger ce qui est beau et ce qu'il ne l'est pas. Ce jugement de la beauté change au cours de notre existence. Il évolue selon des critères spécifiques de nos désirs. Ces derniers peuvent être bien ou mal pour autrui et même pour nous même. La plupart du temps les désirs sont liés au bien, plus précisément le désigne ce qui est absolument désirable