Les Valeurs Universelles Du Bien Et Du Mal

description, au présent d'habitude qui prend une valeur de présent de vérité générale. Le sens est la satire par la caricature pour dénoncer la conduite détestable des nobles qui ne se comportent pas en "honnêtes hommes". Pour le plan, on peut partir de la surface du texte pour analyser au plus profond. D'abord, c'est un document d'époque qui retrace les habitude de vie des nobles au XVIIième siècle, ensuite c'est le portrait caricatural d'un mal élevé, enfin c'est la dénonciation des moeurs d'une

en y pensant bien, nous ne sommes pas libre de modifier comme bon nous sembles les définitions qui relèvent de choses sensibles, alors pourquoi modifier celles qui relèvent de concepts de valeurs ? La réponse est évidente, c’est parce que nous ignorons sa définitions, nous n’avons rien sur quoi nous fonder pour définir la Justice mais une chose est absolument certaine, c’est qu’il n’y à qu’une seule définition qui soit la bonne. Les sophistes diront que cette définition universelle anéantirait toute

profit des failles des lois au détriment des autres ; ou encore qu’on ne pourrait pas déclarer injustes ceux qui, en obéissant à des lois, ont commis les crimes que ces lois autorisaient. Suffit-il donc d’obéir aux lois établies pour être juste ou bien existe-t-il d’autres critères que la loi en vigueur à respecter ? Existe-t-il d’autres lois, d’autres droits à observer ? Lesquels ? Plus que d’obéissance, la justice n’est-elle pas aussi affaire de discernement et d’équité ? Telles sont les questions

implique un calcul qui nous permet de déterminer ce qui a pour nous le plus d'avantages et le moins d'inconvénients, cela implique donc une délibération sur les moyens les plus efficaces pour atteindre nos fins, c'est-à-dire sur ce qui constitue un bien pour nous. Vivre en société, c'est vivre avec d'autres hommes selon les mêmes lois. Distincte de la vie solitaire, la vie en société ne désigne donc pas la seule juxtaposition d'individus, mais un ensemble soudé par des lois communes. A priori, on

La morale peut être définie comme l’ensemble des jugements relatifs au Bien et au Mal, concernant les actes humains. De tels jugements ne sont pas de simples constats, mais des appréciations, des jugements de valeurs. La réflexion sur de tels jugements est un système normatif rationnel. On peut donc dire que la morale est égale à l’éthique. Si, par définition, le terme « intérêt » désigne ce qui importe, ce qui est à son avantage, ce qui fixe l'attention, ici, ce terme désigne principalement ce qui

gratuit : Mensonge du parfait menteur, qui a un goût pour le mensonge, pour pimenter la conversation. Il raconte des histoires pour rendre la conversation plus intéressante. (Est-ce vraiment gratuit par conséquent?). Il permet quand même la mise en valeur, d’attirer l’attention. 2 termes : Le “menteur” et le “mentant”. → Menteur = Celui qui a un goût pour le mensonge, qui prend du plaisir à mentir, qui ment fréquemment. C’est une fin en soit. → Mentant = Menteur occasionnel, qui ment par intérêt comme

L’existence du mal est problématique en tant qu’elle est incompréhensible. En effet les différentes expressions du mal (la souffrance, la faute, la corruption en général..) laissent l’homme face à une question : d’où vient le mal ? Pourquoi existe-t-il ? La question de la justification du mal autrement dit la raison d’être qu’il peut avoir se pose dans un contexte particulier religieux ou anti-religieux. Plusieurs hypothèses s’offrent à nous. La première consisterait à rendre compréhensible l’existence

lois et de coutumes qui seraient injustes ? D’autre part, qu’est-ce qui permet de définir la justice d’une loi, la justice d’une coutume ? 2. La justice peut-elle être relative ? N’impose-t-elle pas une exigence d’universalité ? Quelle serait la valeur d’une justice particulière, relative à une époque, à un pays ? Introduction : Définition générale de la justice = cf.balance = équilibre, égalité. Donner à chacun ce qui lui revient en droit (que cette chose lui ait été enlevée injustement ou

changent (parfois considérablement) selon les pays et les époques, contrairement aux lois de la nature qui sont elles, toujours et partout, les mêmes. La loi des hommes n’a donc pas de valeur en elle-même. Seule la loi de la nature a une valeur absolu. Si par conséquent l’on veut établir un droit qui soit absolu et universel, il faut le fonder sur la nature.  La justice, explique le sophiste Antiphon, consiste à ne trangresser aucune règles légales admises par la cité dont on fait partie. Ainsi l’observation

3.1 La divergence 3.2 La convergence 4. Problématique du rapport entre Justice et Ethique 4.1 Démocratie et pluralisme politique 4.2 Démocratie, Justice et Ethique : le problème de la crise morale 4.3 Une Ethique universelle est-elle possible aujourd’hui ? Conclusion Introduction Le problème politique et la question de l’Ethique sont deux notions corrélatives. La question de Socrate sur la définition de la Justice implique aussi celle de l’Ethique