Les Valeurs Universelles Du Bien Et Du Mal

naturellement. La technique s'oppose-t-elle à la nature ? Faut-il être cultivé pour apprécier une oeuvre d'art ? L'art est il un moyen d'accéder à la vérité ? Numéro 3 Les échanges : Action par laquelle on offre ou reçoit un bien contre une autre par équivalent, de valeur égale. L'échange suppose la réciprocité. On peut le considérer sous son aspect économique (travail>salaire) et aussi moral (idées, politesses, sentiments). Les échanges favorisent-ils la paix ? Numéro 4 La vérité : Vérité

philosophie? Pour moi, la réponse est claire : la religion. Avant de me lancer dans le vif du sujet, il est essentiel que je vous partage ma définition du concept le plus varié du monde entier, le bonheur. Selon ma vision des choses, c’est un sentiment de bien-être basé sur l’amour, l’altruisme et la compassion qu’on ressent après avoir accumulé assez de connaissances pour donner un sens à sa vie et comprendre qui on est. Une des caractéristiques importantes de la religion est qu’elle nous permet de passer

supériorité de l’homme face aux autres êtres vivants par sa morale, ses valeurs et sa civilisation. Ainsi la pièce d’Eugène Ionesco confronte la volonté de retourner à des valeurs et des besoins primitifs avec le conservatisme d’une personne attachant beaucoup d’importance aux qualités humaines et qui pour rien au monde ferai un pas en arrière. b) Les liens entre les hommes Ce qui est également reproché ou mis en valeur, en dépit de la condition humaine, c’est la capacité qu’a l’homme par rapport

En dépit de son caractère mécanique, de ses manifestations biologiques invariables, le rire est pluriel. Son intensité d'abord varie selon les contextes, la nature des effets comiques. Ainsi poser la question de la finalité du rire ne va pas sans mal : on peut certes savoir de quoi l'on rit, mais pourquoi, dans quelle intention ? Il convient de s'interroger sur la nature de ce phénomène spécifiquement humain avant de répondre. C'est ce à quoi vise ce corpus d'introduction. I/ le rire est lié à

parfois un mal pour empêcher de plus grands maux ou pour obtenir de plus grands biens ? Selon Leibniz et d’après ses Essais de théodicée, Dieu, parfait créateur, a retenu ce monde qui est le notre, avec tous ses maux, ses souffrances et peines, car il se trouvait être le meilleur, le meilleur des mondes parmi tous ceux imaginables. Leibniz soutient l’idée que l’être suprême prônait le bien, par conséquent le meilleur, et qu’il ne voulu point le mal absolu, mais simplement le mal physique

Le devoir Introduction 2 Valeur non morale et valeur morale 2 Ethique et morale 2 La logique de la morale 2 Ethique de conviction et éthique de responsabilité 2 I. Morale, religion et société 3 A. Moïse, Jésus, Mahomet 3 1. Les dix commandements 3 2. Les différences entre religions 4 3. Sécularisation et héritage religieux 4 B. La religion au service de la raison (Platon) 5 1. Ce qu’il faut dire : le devoir détermine le « vrai » 5 2. Comment le dire :

opinion, jugement » sont des synonymes. C’est une définition avec le pst de vérité général. « dans toute la terre » -> universalité avec « terre » et « toute ».  Renforcement de la portée universelle. Volonté de Voltaire de toucher tout le monde « Ainsi » -> Voltaire a déjà son idée, il annonce. « on » -> valeur Générale de ce qu’il va dire « Inspire » sorte de bourrage de crâne. Les enfants apprennent des choses, sans pouvoir juger. Ils s’imprègnent sans le vouloir. « Toutes les opinions qu’on

l’Ethique à Nicomaque) théorie de l’échange et de différentes formes de justice. Grammaire intransitive : on ne dira pas que x mérite telle ou telle chose mais qu’il a du mérite ou qu’il est méritant (tend vers une théorie des valeurs morales : axiologie, jugement moral, avoir de la valeur au sens absolu) Le mérite au sens strictement moral « se mesure non pas à ce qu’il rapporte mais à ce qu’il coûte » W. Shakespeare, Hamlet Discussion Polonius et Hamlet, puisque le mérite renvoi, se mesure au sens moral

condamnation absolue de la guerre Elle peut être faite au nom d'un idéal de non-violence. Cet idéal se lie à l'idée d'une valeur absolue de la vie. Alors, tuer devient un acte injustifiable - dans l'absolu. La vie humaine, en effet, n'est pas une valeur parmi d'autres (qu'elles aient pour nom amour, liberté, justice, progrès, etc.), puisque sans elle, toutes les autres valeurs n'ont plus de sens : on ne peut pas être libre et mort, heureux et mort. La guerre est la fossoyeuse des peuples : pourquoi

l'idée de préconiser un avortement thérapeutique à une femme enceinte, le médecin peut se trouver hésitant. D'une part, il est de son devoir de respecter la volonté du patient. D'autre part, sa conscience peut lui manifester une gêne: "Est-ce toutefois bien moral ?". Faire son devoir, est-ce alors là toute la morale ? Contrairement au droit et à la politique qui déterminent le comportement correct à adopter en société ou au sein d'une communauté civique, la morale semble régler la vie privée. Elle se