Les Vanités Peinture

le fait qu’elle ne peut pas concevoir les choses que le coeur permet de sentir: “Le coeur a ses raisons, que la raison ne connait pas”). Scéance 2 Etude de la liasse II “Vanité” I- Observations générales: 1- Présentation des différents fragments: Une laisse ( 15 pages 38 frag dansla liasse “ Vanité” (( Longueurs diff: - Fragments trés courts: s’expliquepar le fait que P se contentait la plupart du tps à jeter qqles notes pour lui même sur un papier, sans penser à être

1594 Préface • Le baroque est un style qui naît en Italie à Rome, Mantoue, Venise et Florence à la charnière des XVIe et XVIIe siècles et se répand rapidement dans la plupart des pays d’Europe. Il touche tous les domaines artistiques, sculpture, peinture, littérature, architecture et musique et se caractérise par l’exagération du mouvement, la surcharge décorative, les effets dramatiques, la tension, l’exubérance et la grandeur parfois pompeuse. • En littérature, le mouvement baroque apparaît

« Monseigneur », titre réservé aux ducs et aux princes. (Ils l’appelaient tous Monseigneur) La baronne est préoccupée uniquement de tenir son rang : elle faisait les honneurs de sa maison 2. critique de la volonté de paraître, donc de la vanité de la noblesse —la sœur a des prétentions extravagantes dans le choix d’un mari (parce qu’il n’avait pu prouver que soixante et onze quartiers de noblesse), dont la noblesse et la valeur ne font de doute pour personne (un bon et honnête gentilhomme)

c'est quelque chose qu'on ne doit pas révérer. On peux se moquer du bon veux temps car c'est quelque chose de dépassé. Il est pas près d'accepter les nouvelles choses et dit que les modernes ne représentent rien. Une peinture classic et figurative pour Marc n'a pas de valeur. La peinture classique n'est pas une valeur, qualité. b) Les critiques croisées qui montrent une divergence. Monologue de Marc: Quand Marc parle, au début, ce qui montre son objectivité qui diffère totalement de l'attitude

est un poème d'amour puisqu'il s'adresse à la femme qu'il aime. Comment expliquer cette étrange manière de s'adresser à l'être aimé? Il convient d'abord de remarquer l'allusion évidente au «memento mori», sujet traditionnel des beaux-arts, de la peinture à la musique en passant par la littérature, depuis l'antiquité, et de voit comment Baudelaire exacerbe la violence du spectacle de la charogne. Il faudra ensuite s'interroger sur la «leçon» que Baudelaire chercher à nous en faire tire: on sait

Réforme protestante, Luthéranisme). La Contre-Réforme catholique a été la réponse catholique pour se protéger de la réforme protestante, perçue comme une agression. Le pape lui donne pour objectif de revigorer l’Église catholique. Il exige que les peintures et les sculptures des contextes religieux, représentent leurs sujets clairement et puissamment, avec le décorum, sans maniérisme : C’est l’art ecclésiastique. La réforme ramène au catholicisme des régions allemandes, mais cette reconquête attise

Italie à la frontière du XVIe et du XVIIe siècle et qui se répand rapidement dans la plupart des pays d’Europe. Il touche tous les domaines artistiques : sculpture, peinture, littérature, architecture, musique, théâtre et se caractérise par l'instabilité, la prépondérance du décor et de l'illusion, la métamorphose ainsi que la vanité de la condition humaine et l'orgueil de l'être humain. L’Illusion comique est une pièce de théâtre baroque en cinq actes écrite par Pierre Corneille en 1635 et représentée

=> Catho/Protestants. Ambiance mortuaire et déchirante=> le baroque est une réponse à la tourmente des populations qui touchent forcément les auteurs et donc l‘art. => Peinture, littérature, musique, sculpture, architecture… Baroque= Instabilité, inconstance, immobilité, Métamorphose. Thème récurrents: Nature, Mort, Vanités Prépondérance du décor et de l’illusion qu’il permet de créer Mise en Abyme => Illusion Comique. Ambigüités du décor On veut semer le doute et faire réfléchir. Texte

les vers suivants 636 à 648 Les liaisons des personnages sont évoquées (on dit qu'avec Bélise...) -Elle révèle les mobiles secrets des comportements d'Alceste et Damis : c'est la même, la vanité (v.644 et 675) => Célimène allie  finesse de l'analyse psychologique et habileté rhétorique. ce sont des peintures de caractères, avec les marques de la caricature. -sur le plan rhétorique : marques de l'habitude, présent permanent et itératif/phrase longues, qui permettent au portrait de prendre vie dans

uns les autres. Ils essayent de s’accrocher par n’importe quel moyen, la barque représente, pour eux, un espoir de sortir de l’enfer. Même si ils sont repoussés par tout les moyens ils n’en ont que faire, le peu d’importance qu’ils accordent à la vanité de leur action montre toutes les souffrances qu’ils ont du subir et qu’ils subiront encore. Ils sont à la fois effrayants et pitoyables. Cela se retrouve avec Dante, représenté avec son bonnet rouge, qui observe un mouvement de recul tandis que Virgile