Les Vengeurs

artificielle opposée au théisme voltairien : Idée : on retrouve à travers la critique double de la guerre et de la religion artificielle, la défense du théisme de Voltaire qui prône une «  religion naturelle » fondée sur l’adoration d’un «  Dieu juste et vengeur » et la morale du bien. A) la religion sous le feu de la critique ironique de la guerre: les deux champs lexicaux sont étroitement liés dans chaque phrase : « fait bénir » ; « exterminer son prochain » ; « sous la bannière d’un saint » ; les actions

la pièce de théâtre, les stances sont donc utilisées comme pause narrative, comme moment de réflexion pour le personnage. Rodrigue exprime donc tout d’abord son profond désarroi et sa souffrance par une série d’appositions : « Percé », « Misérable vengeur », « malheureux objet » qui le désignent et caractérisent sa douleur. La métaphore de la blessure mortelle « Percé jusques au fond du cœur », suivis dans la strophe par les termes « atteinte », « mortelle » « abattue » et « coup qui me tue », souligne

valeur. Les Mystères de Paris d’Eugène Sue, mettent en scène un aristocrate qui se déguise, pour devenir un vengeur. A. Dumas, au contraire d’E. Sue qu’il trouve trop réaliste, apporte son imagination et sa folie. Le roman feuilleton exige un héros de condition modeste qui venge la société oppressée. Et de plus les intrigues doivent camper un surhomme marginal et solitaire qui tient du vengeur et du justicier. Edmond Dantès obéit à ces deux conditions. Enfin, Monte-Cristo témoigne d’une nostalgie du

tremble pas aux coups sourds d'une hache, Ce front levé ne pâlit pas ! La mort qui se trahit dans un signe farouche En vain, pour m'avertir, met un doigt sur sa bouche : La gloire sourit au trépas. Il est beau de tomber victime Sous le regard vengeur de la postérité Dans l'holocauste magnanime De sa vie à la vérité ! L'échafaud pour le juste est le lit de sa gloire : Il est beau d'y mourir au soleil de l'histoire, Au milieu d'un peuple éperdu ! De léguer un remords à la foule insensée,

en tremblant, j’applaudis par mes larmes; Didon enchante mes regards; Versant sur un beau corps sa clarté caressante, À travers le feuillage un faible et doux rayon Porte les baisers d’une amante Sur les lèvres d’Endymion; De son flambeau vengeur Némésis m’épouvante; Je frémis avec Phèdre, et n’ose interroger L’accusé dédaigneux qui semble la juger. Je vois Léonidas. O courage! O patrie! Trois cents héros sont morts dans ce détroit fameux; Trois cents! Quel souvenir! … Je pleure… Et je

artificielle opposée au théisme voltairien : Idée : on retrouve à travers la critique double de la guerre et de la religion artificielle, la défense du théisme de Voltaire qui prône une «  religion naturelle » fondée sur l’adoration d’un «  Dieu juste et vengeur » et la morale du bien. A) la religion sous le feu de la critique ironique de la guerre: les deux champs lexicaux sont étroitement liés dans chaque phrase : « fait bénir » ; « exterminer son prochain » ; « sous la bannière d’un saint » ; les actions

un baiser venant d'un homme qui n'a pas de moustache ne vaut rien, Jeanne démontre à quel point avoir une moustache est peut être important et jouer un rôle important sur les femmes. 7. En quoi voit-on que la jalousie, dans la nouvelle « Le Vengeur », entraîne progressivement Antoine Leuillet vers une obsession qui frôle la folie ? Identifiez les étapes de cette progression. Calme (Élément déclencheur : "Oui... je l'ai trompé") Stressé (Antoine a la respiration coupée et se sent bouleversé

dénouement inespéré à une situation sans issue ou tragique le dénouement est moral (le méchant est puni), la pièce condamne le libertinage de mœurs (la débauche) et le libertinage d’esprit (ne pas respecter la religion, être athée). 2. Image d’un Dieu Vengeur : dans la dernière réplique, Sganarelle rappelle tous les sacrilèges commis par DJ qui n’a rien respecté : ni la religion, « Ciel offensé » (il a fait l’hypocrite ou le faux dévot, comme Tartuffe, à l’acte V) ni la loi, « lois violées » (il a tué

justice, pardon) puisqu’elle est occupée par le mensonge l’injustice et la vengeance La description du Dies Irae par Balzac est tout autant auditive (les chants, les cœurs, les cries, l’harmonie…) que visuel (la résurrection des corps devant le dieu vengeur…) par ce moyen Balzac veut impressionner l’imagination du lecteur, par cette description Balzac a anticipé ce que Berlioz fera lui-même plus tard en fessant jouer une messe dans l’église st Roch, c’est le signe qu’ils participent a une même culture

Nous y trouverons leur poussière Et la trace de leurs vertus Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre! Amour sacré de la Patrie Conduis, soutiens nos bras vengeurs Liberté, Liberté chérie Combats avec tes défenseurs! Sous nos drapeaux, que la victoire Accoure à tes mâles accents Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire!