Les Vengeurs

Tout d’abord, les personnages sont introduits et présentés implicitement. Dans sa tirade, Oreste annonce indirectement les pensées et les traits de caractère des personnages principaux : «Hermione à Pyrrus prodiguait tous ses charmes» ou « Pyrrus vengeur, de sa famille ». L’auteur emploie le présent pour exposer les forces en présence : «je viens chercher Hermione en ces lieux», «toi qui connais Pyrrus». Un autoportrait est également remarquable dans le texte : Oreste se présente :«l'amour achèverait

Tartuffe Molière réintroduit le personnage de Tartuffe (fraichement censuré) à travers Dom Juan et sa tirade. → Nouvelle provocation de Molière III-5 A- Une nouvelle critique des faux Devots « les plus méchants hommes du monde »; « le vengeur des intérêts du ciel »; « les gens du partis » (=Eglise); « La cabale »; « La censure » B- La conversion de Don Juan à la tartufferie évolution du personnage dans la noirceur, le culte du moi, le libertinage → égocentrisme :

supporterais pas d’entrer dans un club qui m’accepterait comme membre ! » En une pirouette, il était parvenu à rendre acceptable son mal-être. L’autodérision serait-elle une clé en psychothérapie ? « Attention, il ne s’agit pas du comique moqueur, voire vengeur, que l’on entend beaucoup dans les médias français, avertit Jean-Christophe Seznec, psychiatre et co-auteur de Pratiquer l'ACT par le clown (Dunod, 2014), qui utilise parfois des techniques de clown auprès de ses patients. Là où le cynisme n’amène

permettre d'être méchant. 2) DOM JUAN HYPOCRITE Vice social: Etre hypocrite lui permet de juger et accuser les autres: “censeur” (qui surveille), « jugerai »... => comble de l'immoralité nouvel avantage : la vengeance personnelle : « je me ferai vengeur des intérêts du ciel » => il se prend pour le bras droit de dieu, son représentant par cette phrase il trouve du plaisir à se venger et à être méchant -> profite des faiblesses des hommes portrait changeant : DJ change de masque, n'est plus le

" cria " (vers 11). Il prend la nature à témoin et émet un jugement de valeur. L'Aigle a donc une conscience intellectuelle et morale - présence d'armes : bec, ongles : l'Aigle, bien que humaniser, reste un animal par ses actions. C'est un être vengeur avec une conscience - 2 comparaisons - graduation ascendante dans l'intensité de l'horreur - dans derniers vers : antithèse soulignant le côté fantastique - Aigle ne reprend pas sa place initiale mais repart dans les hautes sphères (d'où il est

trouverons leur poussière Et la trace de leurs vertus Bien moins jaloux de leur survivre Que de partager leur cercueil Nous aurons le sublime orgueil De les venger ou de les suivre! 7 - Amour sacré de la Patrie Conduis, soutiens nos bras vengeurs Liberté, Liberté chérie Combats avec tes défenseurs! Sous nos drapeaux, que la victoire Accoure à tes mâles accents Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire

respect de la chronologie des évènements (le départ de Don Juan aux enfers, descriptions de la scène, des personnages, de leurs sentiments et la fin du deuil). Le poème est rédigé entièrement à la troisième personne « lorsqu’il » (l2) ; « d’un bras vengeur et fort saisis chaque aviron » (l4) ceci est encore une marque du récit narratif. De plus, les personnages y sont empruntés au récit de Molière, Don Juan reste le personnage principale puisqu’il donne son nom au titre «  Don Juan aux enfers »

victimes, A regret s'armant contre nous. (bis) Mais ces despotes sanguinaires, Mais ces complices de Bouillé, Tous ces tigres qui, sans pitié, Déchirent le sein de leur mère !... Refrain Amour sacré de la Patrie, Conduis, soutiens nos bras vengeurs ! Liberté, Liberté chérie, Combats avec tes défenseurs ! (bis) Sous nos drapeaux, que la victoire Accoure à tes mâles accents ! Que tes ennemis expirants Voient ton triomphe et notre gloire ! Refrain Nous entrerons dans la carrière Quand

son honneur, celui qui fut "la vertu, la vaillance et l'honneur de son temps" demande à son fils de le faire à sa place. Rodrigue est accablé : Percé jusques au fond du coeur D'une atteinte imprévue aussi bien que mortelle Misérable vengeur d'une juste querelle Et malheureux objet d'une injuste rigueur, Je demeure immobile, et mon âme abattue Cède au coup qui me tue. Si près de voir mon feu récompensé, Ô Dieu, l'étrange peine ! En cet affront mon père est l'offensé

l’offense comprenant des mots tels que « querelle» (v.6), « affront » (v.22), « offensé » (v.62), « offenseur » (v.63) met en lumière la légitimité de son choix. De plus, la répétition d’expression en lien avec la vengeance telle que « Misérable vengeur […] d’une injuste querelle » (v.6), « Courons à la vengeance » (v.59) nous permet de déduire que Rodrigue ressent le désir de venger l’affront subit par son père. On comprend donc que le héros considère l’honneur comme une valeur primordiale et que