Liber-Raisons d'agir

surréalistes du XXe siècle veulent se libérer de toutes les contraintes. Les premières contraintes sont la morale et la raison qui nous empêchent d’agir librement. Pour s’en libérer, les surréalistes explorent les zones mystérieuses de l’homme qui mènent à ce qu’il y a de plus enfoui en nous: le rêve, la folie, l’inconscient, l’amour fou… Viennent ensuite les contraintes des règles d’écriture (constructions syntaxiques, grammaire, ponctuation, etc). Pour s’en libérer, les surréalistes font preuve d’une

Questions 1. la thèse que soutient ici Bergson, c’est que nous savons que nous sommes libre parce que lorsque nous agissons, nous avons le sentiment que nous pourrions agir autrement, faire un autre choix en tenant compte d’autres mobiles ou raisons d’agir. Le choix que nous savons avoir est donc le signe de notre liberté et comme notre conscience accompagne ce choix, nous prenons conscience de notre liberté. Liberté que confirme le retour sur nos choix. Là encore nous disons que nous aurions pu

désirer surmonter certains désirs. Conflits : désirs/désirs, désirs/raison, désir/vertu morale. Parfois on doit opposer ce qu’on désire faire et ce qu’on croit devoir faire. Il faut alors séparer dans l’esprit plusieurs facultés : celle qui permet de connaître (raison, entendement) et celle qui pousse à agir (les désirs). On distingue parfois la volonté soit comme le souhait rationnel, délibéré, éclairé et guidé par la raison, soit comme simplement un désir plus puissant ou le dernier qui l’a emporté

temps partout il est dans les chaînes; de l'autre côté on suppose qu'il n'est pas libre, que la liberté est une finalité et non un point de départ; mais là encore ne faut-il pas supposer paradoxalement que pour se libérer il faut être déjà libre? Et si on est libre pourquoi chercher à se libérer sinon parce qu'on n'est pas libre? I. L’expérience de la liberté : §1) La liberté et la volonté : « Qu’est-ce qu’être libre ? » La plupart du temps, on répondra que cela consiste à « pouvoir faire ce que l’on

différentes conceptions que les philosophes peuvent avoir ? On en dégagera essentiellement trois : – disposer d’une conscience ou mieux d’une raison – être en mesure dans l’action que l’on fait de l’effectuer volontairement – être en présence d’un choix effectif La problématique se dégage d’elle-même : comment ne pourrait-on pas accorder la possibilité de nous libérer à la faculté, la conscience, qui est l’une des conditions de possibilité de la liberté ? De plus, par la possibilité d’abstraction que

avancées techniques et scientifiques. En effet, la prétention de la philosophie à parvenir à la vérité par le moyen de la raison naturelle s'oppose aux préjugés et aux opinions communes et plus profondément encore à l'autorité de ceux qui en font usage pour se maintenir au pouvoir, tant temporel que spirituel. Le but de Descartes, dès les Méditations Métaphysiques est de libérer l'individu de ces préjugés, de les interroger afin de déterminer un savoir sûr et certain.Il convient donc de lire et d'étudier

Elwan Caloustian TG1Chacun peut-il faire ce qu’il veut ?A première vue, la liberté consiste à faire ce que l’on veut, par opposition à l’idée de contrainte et de servitude. Le mot "liberté" vient du latin "liber" qui signifie « libre », étant le contraire de "servus" (esclave). Un homme libre, dans l'antiquité est un homme qui n'est pas soumis à un autre, seulement aux Lois de la Cité. L'expression "faire ce que l'on veut" renvoie à la notion de volonté, mais aussi à la notion de

naît u siècle des lumières qu’on nomme déistes: le déisme postule l’existence de dieu mais sans croire aux dogmes des religions institués, interpréter comme superstitions irrationnelles. Le déisme est une manière philosophique de concilier foi et raison pour lutter contre le fanatisme, il faut éduquer à la tolérance hors c’est souvent l’ignorance qui favorise l’intolérance dès lors une meilleure connaissance des religions est le moyen privilégié pour lutter contre les conflits inter-religieux notamment

n'est pas aussi essentiel à l'homme que boire et se nourrir, si ce superflu n'est pas, comme le disait Voltaire, « chose bien nécessaire ». L'homme a des besoins naturels à combler pour vivre, n'a-t-il pas aussi besoin d'une raison de vivre ? L'art pourrait lui procurer cette raison de vivre. Mais l’art n’a-t-il pas aussi des aspects moins fondamentaux comme tout simplement de divertir l’homme ? Il permettrait alors de nous échapper d’une réalité qui nous angoisse. Si le seul but de l'homme est de combler

les Modernes, il faut évoquer le désir au singulier car il est l'essence de l'homme. Dire que le désir est l'essence de l'homme implique qu'il lui est propre : il différencie l'homme des animaux. De plus, cela suppose que c'est le désir, et non la raison, qui constitue la nature profonde de l'homme. Cette idée est notamment défendue par Freud : le désir (la libido) définit et meut l'homme. En effet, les neuf dixièmes de l'appareil psychique sont constitués de désirs inconscients (les pulsions) auxquels