Liberté de pensée

de l’étude des étapes de l’argumentation L’objet de ce texte est de réaliser une nette distinction entre la liberté de pensée et la liberté de décréter et celle d’agir selon sa pensée Etape1 : « PUISQUE » : Enoncé d’un fait établi et difficile à contester : l’idée exprimée est la suivante : chaque homme libre a sa propre façon de penser et d’exprimer son opinion et chacun pense avoir raison. D’où l’impossibilité pour tous de s’accorder sur une même opinion. La vie deviendrait alors impossible

sommes-nous libres ? Le thème de la liberté est depuis l’Antiquité un sujet que les philosophes aiment traiter car ce sujet apporte la possibilité de prendre des positions très diverses. Durant tous les siècles, les penseurs ont débattu en fondant des thèses sur la liberté et la volonté d’être libre. Le tout est de savoir si l’on peut associer volonté et liberté, est-ce que la volonté de faire nous rend libre ou au contraire apporte des barrières à notre liberté ? Si nous faisons une chose, cela veut

celle qui est en vigueur. […] Quand la nature a développé sous cette rude écorce le germe sur lequel elle veille avec tendresse, à savoir le penchant et la vocation à la libre pensée, cette inclination agit en retour progressivement sur le mode de penser du peuple (ce qui le rend peu à peu plus capable d’une plus grande liberté d’agir), et finalement même sur les principes du gouvernement, lequel trouve alors profitable pour lui-même de traiter l’être humain, qui est désormais plus qu’une machine, conformément

avoir sa conception. L'élaboration de cette conception peut être un travail de pensée. On confond souvent le produit fini (opinion) et l'instrument (penser). A l'inverse si penser c'est comparer, examiner afin de comprendre, mettre en ordre, qu'à partir de matériaux qui st des opinions. on confond le matériau et l'instrument. B] parce qu'on entend "penser" ds un sens très large. Descartes dit "par le nom de pensée je comprends ce qui est tellement en ns que ns sommes immédiatement connaissant

ruse, pour qu’ils se supportent sans malveillance les uns les autres. La fin de l’Etat est donc en réalité la liberté. Nous avons vu aussi que, pour former l’Etat, une seule chose est nécessaire : que tout le pouvoir de décréter appartienne soit à tous collectivement, soit à quelques-uns, soit à un seul. Puisque, en effet, le libre jugement des hommes est extrêmement divers, que chacun pense être seul à tout savoir et qu’il est impossible que tous opinent pareillement et parlent d’une seule bouche

la liberté pour les Anciens était essentiellement politique ; elle est une façon de se donner un monde et de le partager. Or, comme le souligne Arendt, liberté et politique ont cessé de coïncider pour les Modernes. Si, pour la pensée antique, la liberté était inséparable de l’action et consistait à être dans le monde, la pensée moderne a enfermé la liberté dans le huis clos du libre arbitre, d’une conscience et d’une volonté qui se cherchent et se nient sans cesse. S’originant dans la pensée stoïcienne

formes de pensée, toutes ne permettent pas de s’affranchir du monde. III/ A l’ opposé certaines pensées nous mènent vers une autonomie IV/ Gardons-nous la liberté si nous exprimons notre pensée ? Conclusion Notre monde est un monde d’opinions et devenir plus autonome demande de se forger ses propres opinions, pour cela il est nécessaire de penser. Mais qu’est-ce que penser, que la liberté ? Parmi les différentes formes de pensée toutes ne mènent pas vers l’autonomie. Cette liberté est-elle

La liberté politique Il est dans nos habitudes de concevoir la liberté comme une revendication contre toutes les formes de contraintes. Nous pensons qu’il n’y a de liberté que lorsque disparaît toute gène ou empêchement. Être libre, c'est avoir les coudées franches ! la liberté ne nous est donnée que contre toutes les résistances. La liberté s’exprimerait alors par une lutte contre ce qui la restreint : contre les importuns, contre l’Etat, contre les règles sociale etc. Seulement

 La liberté des uns s’arrête là où commence celle des autres Nous sommes presque tous d'accord pour dire qu'il n'y a aucune raison de poser des limites à la liberté d'expression car parler n'est pas censé faire du mal. La liberté d'expression sert à exprimer ce que l'on ressent, ce que l'on pense et non à commettre des crimes. Cependant la liberté d'expression peut provoquer certains crimes comme celui qu'il y a eu contre tous les dessinateurs de Charlie Hebdo. Cette acte à été perpétré

problème philosophique posé ici, est que l’auteur se demande qu’est-ce-qui est nécessaire à la formation d’un Etat, mais également qu’elle place a la liberté de philosopher dans celui-ci. Spinoza y répond en présentant trois formes de gouvernements et en affirmant que le pouvoir, sans en abuser, peut permettre la paix de chaque individu, en dissociant la pensée et l’action qui en découle. Puis, il affirme que personne ne peut agir contre le pouvoir du gouverneur de cet Etat, mais libre à lui de montrer