Libertin

d’un travail de copiste, d’organisation, et de sélection des lettres. - Il met en évidence le but didactique : l’ouvrage dénonce les stratégies et la corruption morale qui nuisent aux personnes vertueuses. Double mise en garde : la séduction des libertins et le piège des confidences.  Laclos conclut un pacte avec le lecteur : il n’est pas le destinataire de l’œuvre mais se fait voyeur indiscret en lisant des lettres privées. Cependant l’avertissement de l’éditeur brouille les pistes : qui croire

ne se lie jamais. Son élan amoureux est irrépressible mais bien volage. Cíest un vrai libertin, un inconstant. 2. Le libertinage Au siècle de Molière, libertin signifie « affranchi », dégagé des conventions et des règles communément admises par la société. Cette liberté se traduit par un certain matérialisme et à travers une morale du plaisir. a. Le libertinage de múurs et díesprit Dom Juan est un libertin de múurs. Molière le démontre surtout dans la première partie de la pièce. Sganarelle

dangereuses, Choderlos de Laclos, 1782 Séance : Analyse préalable au commentaire Date et contexte historique Climat de débauche à la Cour (pendant 60 ans) : Régence de Philippe d’Orléans : 1715-1723. Règne de Louis XV : 1723-1774. → Mœurs libertines. Un modèle de mœurs plus sages : Règne de Louis XVI : 1774-1793. Condamnation du libertinage par l’Eglise. Rédaction des Liaisons dangereuses : 1779-1781. Publication : 1782. L’auteur Né en 1741 et issu de la noblesse modeste, il

« Don Juan » Acte I, Scène 2 ( Courant libertin Au XVIIe siècle, se développe un courant rationaliste qui cherche ses références dans la raison, la réalité. Il est philosophique mais laisse un peu de côté la morale en particulier celle de l’église. Don Juan est la représentation de ce libertinage qui est en fait un rejet de la religion et il nous montre que tout le plaisir de l’amour est dans le changement. Ce personnage veut s’opposer à Dieu à travers le mariage qui est un lien sacré

le décrit alors comme un homme d'une candeur rare « encore plus faux et dangereux qu'il n'est aimable et séduisant » ; un homme calculateur : « Il sait calculer tout ce qu'un homme peut se permettre d'horreur sans se compromettre ». La aussi, le libertin apparaît comme un Don Juan « dangereux » : «  Je ne m’arrête pas à compter celles qu'il à séduites ». Valmont quant à lui se soumet à la Marquise de Merteuil dans la quinzième lettre : « Voler à vos pied » par jalousie: « Vous m'avez rendu jaloux »

Merteuil/Valmont dans Les Liaisons de Laclos et l’adaptation de Frears. Deux libertins, côte à côte ou plutôt face à face. Merteuil et Valmont ont la même philosophie, s’exprimant par des paroles ou des actes très semblables. Mais ils sont moins complices que rivaux : le désir de posséder et de détruire, malgré tous les dangers, est le plus fort. Deux formes du libertinage · Des aventures en miroir Les libertins se ressemblent d’abord dans leurs actes. C’est l’aventure de Prévan, qui s’achève

douceur revient de très nombreuses fois dans ce texte. On trouve tout d'abord. "On goûte une douceur extrême..." puis sous une forme adverbiale "mener doucement", enfin "il n'est rien de si doux". III-  Le portrait du libertin 1. Le goût de la beauté - DJ illustre la figure de libertin du XVIIème siècle. Le libertinage traduit un courant de pensée philosophique qui s'inspire largement des théories d'Épicure. Il considère ainsi que le fonctionnement du monde répond aux lois de la nature et de la matière

lettre LXXXI (81), écrite par la marquise de Merteuil au Vicomte de Valmont celle-ci se pose en rivale de son correspondant en matière de libertinage, ce qui est au centre des débats est en effet la séduction, les stratégies développées par les libertins et les systèmes de défense mis en jeu dans la partie adverse. Le choix d’un vocabulaire guerrier est d’ailleurs significatif du plan sur lequel se situe les opérations : il s’agit de combat, de domination, de victoire ou de défaite. A travers le

premiere foi en 1665. Dans cette pieces il s'acharne à montrer l'hypocrisie qu'il éxite autant chez les libres penseurs que chez les conformistes de l'époque. Pour cela il place au centre de cette piece le personnage de Dom Juan qu'il construit en libertin acharné. Dans un premier temps nous allons analyser le libertinage des moeurs dont fait preuve le héros. Ensuite nous traiterons de la libre pensé de dom Juam, de son libertinage intellectuelle. Tout d'abord, nous allons étudier le libertinage

son couple libertin, courtisant les servantes, faisant de constantes infidélités à sa femme et trahissant Figaro à qui il est pourtant très reconaissant. Ainsi, Ainsi, les deux traits de caractères dominants qui sont mis en évidence par les différents personnages sont : Le libertinage et la jalousie. Dés la scène 1 de l'acte I, Suzanne atteste  le libertinage du Comte " C'est sur la tienne qu'il a des vues" Selon Marceline " il est jaloux et libertin"( I,4) Bartholo précise " Libertin par ennui,