Liberté Conditionnelle

repères spatio-temporels A la fin du texte, il interpelle le lecteur l32 « Vous voyez , lecteur » dialogue narrateur-lecteur Il pose à nouveau des questions auxquelles il ne répondra pasl36 37 il nargue son lecteur: cf l' utilisation du conditionnel l35 «  il ne tiendrait qu' à moi » « empêcherait » le pouvoir qu' il détient de faire le récit qu' il veut est mis en valeur ccl: aspect inattendu de cet incipit qui, montre que Diderot remet en cause les procédés du roman II Un incipit original

j’aurai voulu être comme eux ! » –> retour sur la posture adoptée depuis le début de la pièce (rejet, incompréhension, hostilité) ⇒ Les sentiments l’emportent sur la raison : « Oh ! » –> Interjection / « Je voudrais » –> l’expression du souhait –> au conditionnel « Hélas ! » –> Expression du désarroi ⇒ Frustration physique. « Ma carabine » –> Phrase nominale répétée ⇒ Rappel la chasse, ici c’est la chasse aux rhinocéros ⇒ Symbole du combattant / sursaut de courage Le personnage a conscience de sa

opposition aux réflexions de Thomas Hobbes sur la civilisation. Contexte: écrit en 1795 soit 2 ans après la guerre de Vendée, épisode le plus sanglant de l’histoire française et 6 ans après la prise de la Bastille: cruauté, violence, accès aux libertés et aux droits de l’homme, nouvelles valeurs révolutionnaires. Fin 18ème, courant des lumières, dans la lignée des philosophes qui débattent sur le concept de nature culture et société. Genre: texte argumentatif, intérêt philosophique. Résonance:

politique sera mécanique * ((Il incarne la puissance païenne destinée à être soumise à Dieu dans les prophéties d’Isaïe)). * Chez Hobbes, il est le symbole de la puissance politique de l’Etat, seule apte à assurer sécurité et liberté des hommes dans la cité = monstre bénéfique. Quatre parties : 1. Conception pessimiste et matérialiste de l’homme, être de passions violentes. La rivalité insurmontable entre les individus fait de l’homme un loup pour l’homme.

rôle d’obligation envers un Etat ou un pouvoir. Il y a une part de paternalisme et de déterminisme. Alors que la notion de liberté renvoie au cas où nous ne sommes soumis à aucune loi. Nous avons une liberté d’action, une autonomie absolue. L’individu fait son propre choix, que se soit des idées ou des positions. D’où cette forte contradiction entre le devoir et la liberté. On peut dégager un paradoxe, d’un coté le devoir ne semble pas être un choix, alors que de l’autre faire son devoir semble

l’homme ? » nous verrons dans un premier temps en quoi l’homme n’est pas plus naturel ou moins conventionnel et dans un deuxième temps en quoi les comportements de l’homme sont différents. Ce qui est conventionnel fait appel à une référence de liberté, c’est la capacité humaine à s’écarter de ce qui est donné naturellement. Ici quand Merleau-Ponty nous dit que « il n’est pas plus naturel ou pas moins conventionnel de crier dans la colère ou d’embrasser dans l’amour » ces deux exemples sont naturels

s’inspire de la vie d’Edmund Kemper (alias Al Kenner dans le roman) qui défraya la chronique aux Etats-Unis dans les années 1960-1970 pour avoir tué ses grands-parents à l’âge de 14 ans. Après 5 ans de soins psychiatriques, il est mis en liberté conditionnelle car il est considéré comme guéri du point de vue des psychiatres. Il faut préciser qu’il est très intelligent, avec un QI supérieur à celui d’Einstein, et qu’il s’exprime très bien sur ce qu’il est et sur ce qui va mal en lui. Il a du mal

: un non-lieu par la juridiction d'instruction, ou une relaxe par la juridiction de jugement ; – après que la condamnation a été prononcée : il y a effacement de la condamnation ; – alors que la peine est en cours d'exécution : il y a remise en liberté, la peine étant automatiquement éteinte. L'effacement de la condamnation entraîne trois conséquences : – les peines complémentaires disparaissent. La condamnation effacée : •ne compte plus pour la récidive, •disparaît du casier judiciaire et

coordination entre la préparation à la sortie du prisonnier et les services qui existent dans la collectivité entrainent un fort taux de récidive. D’autres sortes de mesures peuvent être mise en place, toujours aux États-Unis, comme, de retour en liberté, l’obligation de suivre un traitement pour une toxicomanie dans le cas d’un toxicomane, le renvoi vers un centre éducatif ou de développement personnel, etc. Les spécialistes Smith, P., Goggin, C. et Gendreau, P., dans leur rapport « Effets de l'incarcération

fondamentales de la société et la protection de l’individu contre l’Etat Biens juridiques essentiels L’accent est mis sur la protection de l’ordre social et la sanction de l’atteinte à des « biens juridiques essentiels ». Exemples : sûreté de l’Etat, libertés fondamentales, etc. C’est la protection de la sureté de l’Etat qui est visé en priorité par le droit pénal. D’ailleurs la proportion de l’atteinte n’est pas toujours égale à la proportion de la sanction : la peine peut être importante alors qu’il