Liberté Egalité Fraternité Victor Hugo

Liberté "La liberté commence où l'ignorance finit." Victor Hugo - 1802-1885 - Océan Définition de la liberté Etymologie : du latin liber, libre. La liberté est l'état d'une personne ou d'un peuple qui ne subit pas de contraintes, de soumissions, deservitudes exercées par une autre personne, par un pouvoir tyrannique ou par une puissance étrangère. C'est aussi l'état d'une personne qui n'est ni prisonnière ni sous la dépendance de quelqu'un.  La liberté peut être définie de

cette hypothèse puisque cette parution brave les autorités. Il lance un cri de rassemblement dans sa préface, en débutant par la citation de quatre poètes qui se sont illustrés dans leur époque comme poètes engagés « Whitman animé par son peuple, Hugo appelant aux armes, Rimbaud aspiré par la Commune, Maïakovski exalté ». Cette préface constitue un appel, un cri d’espoir et il utilise le pouvoir des mots et du langage poétique pour lutter contre cette situation : le champ lexical de la lutte et

puissance. Sous la première République, surmonté du bonnet rouge, il signifie que le pouvoir appartient au peuple, et il symbolise l’union des 83 départements. En 1848, puis après 1870, il figure sur le sceau de la République, tenu par la Liberté.  L’arbre de la liberté L’un des symboles les plus riches et les plus répandus est l’arbre. Toutes les représentations de l’arbre tournent autour de l’idée du Cosmos vivant, du caractère cyclique de son évolution et de sa perpétuelle régénérescence. Tous les

une popularité particuličre pendant la révolution française: il remplace les animaux qui symbolisent la monarchie (l’aigle et le lion) et la fleur de lys qui symbolise les Bourbons en particulier. Ainsi, pendant la Révolution, l'allégorie de la fraternité tient souvent un bâton surmonté d'un coq. Quand Napoléon Bonaparte met fin ŕ la république et devient Empereur, l'aigle substitue de nouveau le coq car pour lui ce dernier animal n'a point de force, donc il ne peut ętre l'image d'un grand empire

entre le Classique et le Romantique : Le classique est conforme, stricte, or le romantique ne respecte pas les règles, provoque, parle des émotions. La revendication de la liberté en art s'accompagne d'un engagement politique. Les auteurs romantiques défendent la plupart des idées progressistes : Lamartine et Victor Hugo défendent la peine de mort et s'engagent en politique. Si le romantisme est propice à l'expression du moi intime, il ne signifie donc pas que l'artiste doit se couper du monde :

Les Misérables sont un roman de Victor Hugo paru en 1862. Victor Hugo y décrit la vie de misérables dans Paris et la France provinciale du XIX° siècle et s'attache plus particulièrement aux pas du bagnard Jean Valjean. Dans une lettre à son éditeur Hetzel, du 4 juillet 1861, Victor Hugo compare les Misérables à un navire « à sept mâts (…) cinq cheminées (…) dont les roues ont cent pieds de diamètre », de sorte qu'il «ne pourra entrer dans aucun port et devra braver les tempêtes». Que penser de ce

L'homme qui rit, Commentaire Problématique: Comment Victor Hugo parvient-il à démontrer que le rire de Gwynplaine n'est pas celui d'un monstre? Plan: I-Une apparence qui le décrit comme un monstre a) Insiste sur sa laideur et sa monstruosité → Champ lexical de la laideur/monstruosité, insiste sur le fait qu'il ne soit pas beau à regarder. → Comparaison a Satan qui montre que son rire est monstrueux. Satan incarne le mal et la tentation, il est à l'origine l'accusateur ou l'adversaire avant de

Ils décident alors de voter des lois libérales. Ces lois assurent de nouvelles libertés comme la liberté de réunion et la liberté d’expression qui permettent le développement d’un débat politique. Il y a aussi les lois sur la liberté de la presse qui mettent fin à la censure et qui permettent à la presse écrite de faire de plus gros tirages. En 1884, c’est la loi Waldeck-Rousseau qui est votée, concernant la liberté syndicale. Cette même année, le suffrage universel masculin est renforcé par les

est l’hymne national. # La devise « Liberté, Egalité, Fraternité ». # La Marianne, coiffée du bonnet phrygien (symbole de la liberté, de la laïcité, de la fin de l’esclavage). Elle est représentée sur un buste (en mairie), sur des timbres postes, sur quelques pièces de monnaie. (Doc. 1 p. 25 : La Marianne) # Le coq gaulois. # La cocarde tricolore. # La fête nationale du 14 juillet rappelle la prise de la Bastille (symbole de liberté) (Doc. p. 24-25 : La fête du 14 juillet)

rythmes se mettent au service des idées et ne leur servent que de faire-valoir. Ainsi Victor Hugo, dans Les Châtiments, donne la prééminence au message politique. Recueil écrit pour attaquer les « nains de l’empire » et leur « César » dépravé (derrière lequel l’on reconnaît bien sûr Napoléon III et son Second Empire), Les Châtiments sont un ouvrage violemment polémique. C’est le slogan « Liberté, égalité, fraternité » que le poète entonne. La poésie est par conséquent un cri, un cri politique. Si la