Liberté Freud Déterminisme

philosophiques de l’être humain : * Être acquis/inné * Perfectibilité * Historique * Culturel * Créature de Dieu * Besoin/instincts/désirs * Sentiments/émotions * Raison/passion/logique * Libre arbitre/volonté/liberté * Inconscient/conscient de soi-même * * Comprendre, Under stand: prendre, le soutenir, l’avoir sur nous * * * MODERNITÉ * Moyen Âge et christianisme (476-1453) * * La religion va prendre du pouvoir *

La liberté On peut d'abord souligner une évidence de la liberté : chacun fait l'expérience de sa propre liberté. Pourtant, il est difficile de définir précisément cette liberté : s'agit-il d'un pur exercice du choix, ou bien de choix réalisés en connaissance de cause ? Par ailleurs, dans de nombreux cas, l'homme se croit libre alors qu'il est déterminé par des causes qu'il ignore : la liberté peut-elle être illusoire ? Enfin, l'homme vivant en collectivité, il est possible de se demander si la

fait Sartre lors de sa conférence « l’existentialisme est un humanisme ». Par cela, le philosophe veut, non pas exprimer une fatalité, mais démontrer que la liberté de l’homme est absolue et que la seule chose que nous ne puissions pas faire c’est de ne pas être libre. L’homme ne peut échapper à la nécessitée du choix, principe inhérent à la liberté. Ainsi, en est-il pour Sartre, grand philosophe qui amena l’existentialisme à son apogée. Mais la question a toujours soulevé et soulève encore des interrogations

rêve : on y trouve deux contenus ou sens : patent et latent. Si l’inconscient s’y déguise c’est pour tromper la censure, il y a donc un travail d’élaboration. Le travail du psychanalyste consistera alors à saisir son sens sous ses formes déguisées. Freud, loin de prétendre que nous pouvons accéder à une connaissance de soi claire, affirme au contraire que nos actes ont un sens interprétable. L’inconscient n’est pas un lieu inaccessible mais son accès nécessite une tierce personne, le psychanalyste

sommes-nous libres ? Le thème de la liberté est depuis l’Antiquité un sujet que les philosophes aiment traiter car ce sujet apporte la possibilité de prendre des positions très diverses. Durant tous les siècles, les penseurs ont débattu en fondant des thèses sur la liberté et la volonté d’être libre. Le tout est de savoir si l’on peut associer volonté et liberté, est-ce que la volonté de faire nous rend libre ou au contraire apporte des barrières à notre liberté ? Si nous faisons une chose, cela veut

Chacune des personnalités est en effet soumise à deux réalités qui lui sont propres : une réalité inconsciente et une réalité consciente. Le rôle prépondérant joué par l'inconscient a été démontré par Freud : réservoir immense, il n'est par définition, maîtrisé en aucune façon. C'est un déterminisme[1] de notre personnalité qui nous échappe : par-là, il est inexplicable et par nous et, à fortiori, pour autrui. Peut-on alors désirer comprendre autrui si nous ignorons "la réalité" de son inconscient

Seul le présupposé de liberté peut autoriser la définition de l’homme comme sujet de droit et de devoirs, et donc fonder le principe de responsabilité qui légitimerait un jugement à l’endroit de la personne qui ferait un bon ou un mauvais usage de son libre-arbitre. Les sanctions pénales reposent alors sur cette même idée selon laquelle les hommes ont à rendre compte de leurs actes délictueux parce que ce qu’ils ont fait, ils pouvaient ne pas le faire. Remettre en cause l’idée de libre arbitre reviendrait

etc. Par la thèse freudienne, le « moi », c’est-à-dire la conscience de soi, n’est plus « maître en sa demeure » : on peut vouloir faire quelque chose et faire autre chose dans la mesure où des désirs inconscients influent sur l’action. Comme, selon Freud, nous ne sommes pas responsables de nos désirs inconscients, on peut donc dire que dans une certaine mesure l’inconscient nous décharge de la responsabilité. L’excuse de l’inconscient est aussi un argument fréquent dans la justice : on peut déresponsabiliser

les philosophes comme une caractéristique individuelle purement psychologique et morale, la liberté fut d’abord un statut, c’est-à-dire une condition sociale et politique garantie par un ensemble de droits et de devoirs. Nous ne pouvons faire ce que nous voulons, c’est-à-dire exercer notre liberté que si nous savons ce que nous voulons, autrement dit que si nous sommes conscients. Les notions de la liberté, ou la capacité d’agir indépendamment des causes ou des contraintes externes et d’échapper à

valeur à l’homme mais pour la première fois se dessine l’idée d’une autonomie de l’Homme dans la philosophie qui va s’affirmer avec l’idée des lumières. Le cogito affirme pleinement la liberté humaine, c'est-à-dire l’idée que quoi que je fasse j’en suis conscient et donc pleinement responsable (Descartes).La liberté fait l’essence de l’Homme. Depuis, les lumières ont affirmé que c’est l’éducation qui rend libre. Le libre arbitre est fondamental pour comprendre l’Homme. La théorie du Cogito (selon