Liberté Intérieure

l’opinion publique, les hommes... et tentant d’affirmer sa liberté Tous ces comportements apparaissent de la part d’Emma comme des tentatives pour affirmer sa liberté de femme face à la morale traditionnelle d’une société qui la vexe sans cesse. Toujours dans le romanesque, elle s’imagine ainsi défier la société, mais elle ne fait que tomber dans une provocation artificielle qui ne lui apporte rien sur le plan de la véritable liberté intérieure.

cela est-il juste ou non ?" (Emmanuel Kant / 1724-1804 / Réflexions sur l'éducation) La conscience morale pourrait se définir comme une norme intérieure qui nous définit et qui nous permet de distinguer ce qui est bien de ce qui est mal. C’est aussi le démon que Socrate suivait et qui l'amena à se faire condamner par la cité. Cette norme intérieure est cependant, selon Rousseau la même en tout homme. Malgré la diversité et la variabilité des mœurs et des connaissances, elle est "universelle" 

1. L’ART NE SERT A RIEN La première fonction de l'art est évidemment de produire de la beauté, puisque c'est sa définition. Et la beauté, étant une finalité sans fin, n'a pas d'autre but qu'elle-même. Elle est pure gratuité et infinie liberté. Elle ne doit rien à personne et ne demande rien d'autre qu'elle-même. Elle se suffit à elle-même, sans finalité utilitaire immédiate. L'art est un jeu désintéressé qui se justifie par sa seule beauté. L'art ne sert à rien (à rien d'autre que lui-même)

l’équilibre, aussi bien dans l’écriture que le comportement (cf. : l’honnête homme). Il condamne les passions et leur préfère la raison. 18ème siècle : Les Philosophes des Lumières utilisent leur raison pour transformer la société. Ils défendent la liberté d’expression, l’égalité politique (abolition des privilèges de la noblesse), la tolérance vis-à-vis des autres cultures, la paix, la connaissance et le progrès en général (Encyclopédie). Début 19ème siècle : A l’inverse de la raison, le Romantisme

C’est donc du problème de la définition de la liberté ( en particulier de la pertinence de la vision commune de la liberté comme indépendance) et de la place des désirs dans une existence libre dont nous allons traiter. I. C’est quand on ne peut les satisfaire que l’on ne se sent pas libre au sens d’indépendant le désir se distingue de la pulsion involontaire et du besoin nécessaire, vital : c’est déjà une signe de liberté, on semble choisir de désirer, ce qu’on désire et de satisfaire

principe général en matière de droit de la mer est celui de LA LIBERTE: au-déla de 3 milles marins (1 mille équivalant à 1,852 km), soit la portée d'un canon de l'époque, la mer est un espace libre, qui n'appartient à personne et qui peut être utilisé par tout le monde librement.Cette liberté s'entendait alors de la liberté de naviguer, de pêcher, de commercer, de voyager, de faire la guerre ou d'effectuer des recherches. Ce principe de liberté de la mer qui régit la mer depuis le XVII éme siècle fut

Liberté et nécessité Déterminisme et fatalisme La liberté est-elle une illusion ? Textes de St Thomas d’Aquin p.155 n°1 et Spinoza p.224 n°5. Deux textes contradictoires : * Aquin : l’homme est libre car il agit avec sa raison * Spinoza : l’homme se croit libre mais il ne l’est pas, il agit par nécessité  Se pose pour eux la question de la liberté de l’homme, est-il libre ? Le problème * Comment faisons-nous des choix ? impulsions et sentiments sont-ils les causes mécaniques de

Cependant quand Descartes nous parle d’une liberté d’indifférence, ne décrit-il pas une expérience intérieure convaincante ? Si je peux douter de tout ce qui apparaît dans ma conscience, même si ce jeu d’apparences continue son action, n’y a-t-il pas en moi une dimension indépendante de tout ce qui se déroule dans le temps et l’espace ? D’ailleurs Spinoza lui-même s’il juge le libre-arbitre illusoire n’est pas totalement fermé à l’idée d’une certaine liberté puisqu’il évoque une forme de libération

fondée sur l’universalité de la raison et de la conscience. Rousseau soumet en effet directement l’homme à Dieu. Il affirme en termes tout à fait classiques sa dépendance ontologique à l’égard du « Grand Être » et nie de façon catégorique que la liberté humaine puisse créer les valeurs. L’homme, loin d’être un démiurge éthique, est une créature dérivée qui a mémoire de son origine dès lors qu’elle écoute la voix de la conscience. Celle-ci est une source trouvant en Dieu son origine et le manifestant

malheureux. Fuir et combattre les passions est donc la condition du bonheur. 3)bonheur et sagesse -le bonheur passe de l'extérieur à l'intérieur : il n'est plus dépendant du hasard, mais dépend de notre volonté , responsabilité morale et paix intérieure -épicure distingue les désirs naturels dont la satisfaction suffit au bonheur (nourriture, abri..) et les désirs vains, impossibles à satisfaire, qui nous rendent malheureux. 4)conscience et perfection humaine -le bonheur est proprement