Lièvre

besoin d’pporter une note comique et satirique à son récit ; le romancier faisait appel à plusieurs ressources. C’est le cas de « Zomo », autre personnage qui signifie « lièvre » en Haoussa, mais, au delç de l’animal en tant que tel, la culture haoussa associe à ce nom toutes les connotations en rapport avec le statut du lièvre dans les contes animaliers de l’Afrique sahélienne. II. ETUDE DES PERSONNAGES 1. Le Personnage Principal Kasko : Le personnage est d’abord un jeune instituteur nationaliste

constate que les plaisirs charnels préoccupent la majorité des personnages. Tout d’abord, une relation sexuelle entre l’ordonnance et la servante est décrite brièvement dans le roman. De même, le rapport à la zoophilie est également révélé par Bec-de-Lièvre et le chien des 2 jumeaux. Dans un deuxième lieu, la recherche de la liberté pendant la guerre demeure la grande richesse et le plus grand des plaisirs. D’une part, les jumeaux s’enfuient à la fin du roman pour se libérer de la guerre. D’autre part

est un roi sans divertissement. c)les exemples concrets du jeu et de la chasse qui parcourent tout le texte. Ex : la chasse au lièvre qui apparaît subrepticement à la ligne 31 (« dans le lièvre qu’on court »), est repris à la ligne 43 (« passer tout le jour à courir un lièvre qu’ils ne voudraient pas avoir acheté ») et fournit la magnifique formule finale : « ce lièvre ne nous garantirait pas de la vue de la mort et des misères qui nous en détournent, mais la chasse nous en garantit. » ( faire

Le paresseux Accablé de paresse et de mélancolie, Je rêve dans un lit où je suis fagoté, Comme un lièvre sans os qui dort dans un pâté Ou comme un Don Quichotte en sa morne folie. Là, sans me soucier des guerres d’Italie, Du comte Palatin, ni de sa royauté, Je consacre un bel hymne à cette oisiveté Où mon âme en langueur est comme ensevelie. Je trouve ce plaisir si doux et si charmant

différence sociale apparaît dès le premier vers : il s’agit d’un demi manant, c’est-à-dire d’un paysan, propriétaire de son « clos » (« il avait fermé cette étendue »). Or, assez imprudemment, le bourgeois-manant fait appel au seigneur pour chasser un lièvre de son jardin. On sait que la chasse, notamment la chasse à courre est l’apanage du seigneur, selon l’ancien droit féodal ici fortement critiqué. La Fontaine met donc en scène tous les excès de cette coutume, dont se plaignent tous les paysans :Une

|Je trouve ce plaisir si doux et si charmant, | |Je rêve dans un lit où je suis fagoté, |Que je crois que les biens me viendront en dormant, | |Comme un lièvre sans os qui dort dans un pâté, |Puisque je vois déjà s’en enfler ma bedaine, | |Ou comme Don Quichotte en sa morne folie. |

LE PARESSEUX Marc-Antoine Girard de SAINT-AMANT I- Le texte Le Paresseux Accablé de paresse et de mélancolie, Je rêve dans un lit où je suis fagoté, Comme un lièvre sans os qui dort dans un pâté, Ou comme un Don Quichotte en sa morne folie. Là, sans me soucier des guerres d’Italie, Du comte Palatin, ni de sa royauté, Je consacre un bel hymne à cette oisiveté Où mon âme en langueur est comme ensevelie. Je trouve ce plaisir si doux et si charmant, Que je crois que les biens me viendront en dormant

ense tout le  temps),  exemple  :  le   roi  qui  part  à  la  chasse,  si  on  lui  apportait  un  lièvre  cuit,  il  verrait  un  lièvre  cuit   et  il  ne  verrait  que  le  lièvre  ne  fait  pas   son  bonheur,  ce  qui  compte, ce  n'est pas la prise mais la chasse.  ● Instinct  de  prédiction  de  l'homme  :  se  n'est  pas le  fait  de  le pourchasser  mais  pcq  l'on cours après le lièvre qu'on ne pense pas à la mort.  ● Création d'une image : le chien qui court après la proie      Conclusion 

enfants respectent aussi la mère de Bec-de-lièvre. Lorsque les jumeaux s’inquiètent du fait qu’ils ne voient plus Bec-de-Lièvre ainsi que sa mère, ils vont voir dans la maison et voient la jeune fille morte et sa mère qui attend que la mort vienne à elle. (p.176) « Si vous voulez faire quelque chose pour moi, mettez donc le feu à la maison. Je ne veux pas qu’on nous trouve comme ça. » Puisque les jumeaux vouent un profond respect pour la mère de Bec-de-Lièvre, ils exaucent sa volonté en lui tranchant

célèbre de nos jours. Sa fable « le lièvre et la tortue » raconte l’histoire d’une tortue qui défie un lièvre à la course. Ils luttent, elle avec activité, lui avec insouciance, et la tortue est victorieuse. Cette fable nous montre que ce n’est pas toujours le plus fort le vainqueur. Dessin de DELIERRE Auguste, Le lièvre et la Tortue (2e moitié du 19e siècle) Le Lièvre et la Tortue Rien ne sert de courir ; il faut partir à point. Le Lièvre et la Tortue en sont un témoignage. Gageons