Limites Du Fordisme

d'industrialisation est accompagné d'une augmentation des activités tertiaire (=services) comme les bonnes venant de Bretagne surtout. Cette augmentation des services donnent naissances à la classe moyenne. Au début du XX, amplification de l'industrialisation (fordisme et taylorisme). En 1926 le secteur secondaire (=industrie) prend la première place. Il y a un ralentissement du monde ouvrier, lié à la crise des années 30, puis de la seconde guerre mondiale, qui ont fait ré graisser le nombres d'emplois dans

du temps OST selon Ford (le fordisme) : Ford s’est inspiré du taylorisme et il a précisé les fondements de sa nouvelle organisation du travail : • Le travail en chaine (comme le produit qui se déplace sur un tapis roulant) • La standardisation de la production • La production de masse qui induit une consommation de masse • Des salaires alléchant « Five dollars a Day », Ford a augmenté le pouvoir d’achat de ces employés afin de les motivés, de limité de le turn over et pour qu’ils

vision idyllique ( le Kaisen va mettre fin à la lutte des classes) et la vision sombre, pessimiste (il s’agit de la dernière escroquerie patronale). • Il n’est pas constructif d’analyser le Kaisen à l’aune du fordisme. • Le nouveau modèle permet de surmonter les limites et les échecs du fordisme mais il est porteur lui aussi de différents entre la direction, les syndicats ainsi que les travailleurs (peut être sur d’autres domaines.) • Selon cette approche, le Kaisen cherche à faire évoluer les relations

ainsi par rapports à Frederick Winslow Taylor, il se base sur l’organisation scientifique du travail (OST). on remplace le travail artisanal par des chaines de production où chaque employer a une tâche qu’il exécute à un rythme infernale. • Le Fordisme (1908), qui tient son nom du célèbre constructeur automobile Henry Ford, il s’inspire du concept du taylorisme mais en le poussant un peu plus loin. Les chaines de production sont organisées de manière à les rendre le plus rentables possibles et

comme celle d’ISO garantissent un standard quasi taylorien rassurant alors les consommateurs. « Les clients pourront avoir une voiture de la couleur qu’ils veulent, pourvu qu’ils la veuillent noire. » Ford. Le taylorisme (on comprend également le fordisme dedans) est en effet une organisation scientifique du travail prônant quelques grands principes : la division verticale et horizontale du travail, la standardisation, le chronomètre du temps le salaire au rendements pour chasser la flânerie des ouvriers

sous le fordisme, le taylorisme, la standardisation etc… On a toujours des grandes entreprises dans le secteur industriel, avec des emplois de masse, variation de l’environnement, des salaires, en fonction de leur productivité, de leur diplôme ou ancienneté. Apparition des cols blancs (chefs). Des 1970, deux chocs pétroliers viennent remettre en cause la gestion passée, nouvelle organisation du travail, excellence des modèles Japonais, productivité variées. Le Taylorisme & le Fordisme montrent

d’éminents scientifiques -comme par exemple le sociologue français Georges Friedmann, auteur du livre “le travail en miettes”, ont vivement condamné cette atteinte à la dignité humaine; rien de moins! Le vocable “taylorisme” et son frère jumeau “Fordisme” ont disparu du langage des hommes d’affaires, les revues spécialisées comme “Management” noircissent des pages entières sur la gestion des ressources humaines. Bref Taylor et Ford ont semble-t-il rejoint à tout jamais les livres d’histoires. Rien

résume : Après le Taylorisme et le Fordisme un nouveau système de production est inventé dès 1947 par Edouard Déming, un américain, et perfectionné par les japonais le Toyotisme. Il consiste en un système de production plus flexible, avec une qualité supérieur de la production pour un rendement élevé afin d'éviter les gaspillages. Toyota est considérée alors comme l'entreprise la plus efficiente des constructeurs automobiles. Cependant, ce système est il sans limites ? Durant la crise, de nombreux retour

d’Afrique noire (1960-70). Avant l’industrialisation les immigrés en France étaient 400 000, en 2006 ils sont 3.6 Millions. Le nombre est multiplié par 8 en 150 ans. Cette salarialisation de masse, chasse à la productivité avec de nouvelles méthodes (Fordisme), mauvaise rémunération des ouvriers, intensité de travail est dénoncé par certains film notamment Les temps modernes de Charlie Chaplin et Playtime de Jacques Tati qui dénonce le manque d’épanouissement, l’absence d’âmes et le conformisme chez

transport ferroviaire. 2ème R.I. : (1860-70) l’électricité et le pétrole, moteur à explosion, l’automobile, l’aviation, la chimie. -Progrès de la productivité : Nouvelles méthodes de prod° Taylor  O.S.T Fordisme (1913)  principe : Limiter mouvements ouvrier pour augmenter prod O.S (ouvrier spécialisé) 1 ouvrier = 1 tâche -La révolution des transports : Canal de Suez (1869) Canal de Panama (1914) + De chemin de fer +de bateau à vapeur