Limites Du Fordisme

Chapitre 1 : Sources et limites de la croissance. Nous allons nous interroger sur l’origine de la richesse des nations, c’est-à-dire ce qui va conditionner l’organisation économique. Problématique : - Quelles sont les sources générales de cet enrichissement et qu’est-ce qu’elles engendrent (d’un point de vue théorique et empirique) ? - Tout les pays souhaitent avoir la Croissance économique la plus élevé possible. A-t-on raison de faire cela ? Qu’est-ce qui pourrait freiner la

notion du juste à temps. A) caractéristiques. Le juste a temps a pour caractéristique principale l’élimination du gaspillage et l’augmentation de le productivité. C’est ce qui le différencie des anciens modèles tel que le taylorisme ou le fordisme qui eux se focalisaient sur l’efficience des taches ayant pour but de créer des valeurs ajouté. Le toyotisme lui se concentre sur opérations ne créant pas de valeurs ajouté tel que le gaspillage et ainsi de les éliminer. La production est pilotée

soldats annoncent qu'ils feront leur devoir et vote à l'assemblée tous les crédits militaires. Le mouvement ouvrier n'accueille pas la mobilisation avec tant d'enthousiasme car la guerre est un moment de désorganisation industrielle, de censure et de limite à l'internationalisme. B. Les formes de conflits Jusqu'en 1916, on est dans une phase de guerre de mouvement, de 1916 au début de l'année 1918, c'est une guerre de position. En 1918, il y a une guerre de mouvement, 20 000 britanniques meurs le

est attribué en fonction des compétences. Il y a des limites à ce modèle = les effets pervers, ce modèle peut entrainer des effets contre Xtif exemple= la navette challenger. Les diff formes de ctrl hiérarchique dans l’entrep : Le modèle de ctrl simple, le modèle bureaucratique= très forte hiérarchie, organisat° des taches imposé par la DT, le ctrl des salariés se fait par contrainte des décisions de leur > exemple le taylorisme et fordisme et les nouveaux modèles=+ d’autonomie, + de responsabilité

C’est donc un modèle d’organisation qui vise à organiser scientifiquement les tâches de chaque employé et de les rationaliser afin d’obtenir les meilleurs rendements possible. Il et à l’origine du travail à la chaîne par son application avec le « fordisme ». Ce modèle s’appuie sur un principe fondamental : les besoins des patrons, des employés et des consommateurs sont convergents. Selon lui : « Les patrons intérêt à faire produire le plus possible au taux le moins élevé ; les ouvriers bénéficient

évolution dans les grands mouvements de management de l’humain. Au début de ce siècle, le Fordisme est à son apogée. Les grands principes du fordisme sont l’Organisation scientifique du travail et la division maximale des tâches. Ce système d’organisation du travail humain ont permis des gains de productivité considérables, et ont permis de mettre sur le marché des produits à des prix ultra concurrentiels. Le Fordisme a cependant été beaucoup critiqué à juste titre. Les ressources humaines de l’entreprise

"professionnels". Le centre opérationnel est composé de divisions spécialisées, autonomes dans la conduite de leurs activités. Le mode de coordination est la standardisation des qualifications. La technostructure et la ligne hiérarchique jouent un rôle limité. - la configuration divisionnelle : la structure divisionnelle s’adapte mieux aux entreprises de grande taille dont la production est très diversifiée. La coordination repose sur la standardisation des résultats car chaque division étant un centre

Alvin W. Gouldner, James Gardner March et Herbert Alexander Simon, Peter Blau et plus particulièrement en France par Michel Crozier. Les résultats de ces recherches montrent qu'une bureaucratisation excessive peut amener à des dysfonctionnements ou limiter le potentiel des acteurs concernés. Article détaillé : Michel Crozier.D’après certains sociologues, la plupart des règles formulées par le modèle bureaucrate peuvent paralyser le système. « L’impersonnalité du fonctionnaire devant appliquer la règle

productifs, est depuis longtemps l’objet de fortes inquiétudes. Lors du développement de la Révolution Industrielle, la mécanisation provoque d’importants rejets de la part du mouvement ouvrier. Au début du siècle, l’introduction du Taylorisme et du Fordisme se heurte à de vives contestations syndicales. Aujourd’hui encore, ces craintes sont ravivées par l’extension des nouvelles technologies. Pour un bon nombre de nos contemporains, c’est d’ailleurs dans le développement sans cesse croissant du Progrès

industrielle marque le début d’un nouveau mode de production amené par le Fordisme et le Taylorisme : le travail à la chaîne. Ici , Tocqueville expose sa thèse quant aux conséquences sur l’ouvrier de ce type de travail. Ainsi , il inscrit son texte dans le thème des effets de la technique , plus particulièrement des progrès techniques , sur le travail. L’auteur cherche à montrer que le travail tel qu’il est imposé par le Fordisme profite aux maîtres , leur permet d’accroitre leurs bénéfices , au détriment