Limites Relation Soignant Soigné

3LARGAUD BARBARA Travail de fin d'études / Rapport de recherche La relation de confiance au sein de la triade enfant/parents/soignants UE 5.6 S6 : Analyse de la qualité et traitement des données scientifiques et professionnelles UE 3.4 S6 : Initiation à la démarche de recherche Compétence 7 : Analyser la qualité des soins et améliorer sa pratique professionnelle Compétence 8 : Rechercher et traiter des données professionnelles et scientifiques Promotion 2013 / 2016 - Session 1 Institut

J’ai choisi cette situation afin d’étudier le positionnement du soignant dans la relation soignant/soigné lorsque le patient refuse le soin. Comment le soignant doit-il se positionner face à un refus de soins ? Cette situation se déroule en service de psychiatrie en secteur fermé. L’ensemble des patients est sous un régime de contraintes que ce soit à la demande d’un tiers (SPDT) ou à la demande du préfet (SPDRE). Le service comprend 14 lits dont une chambre d’isolement. Analyse de la situation

LA PSYCHOTHERAPIE INSTITUTIONNELLE La relation de la psychiatrie avec l’alimentation des patients qu’elle soigne est plus souvent marquée par le manque, l’abandon, le laisser-aller, que par l’excès. La psychothérapie institutionnelle est née de la lutte contre la famine. C’est pendant l’époque de l’après-guerre qu’on a pu constater que les patients psychiatriques se montraient souvent plus compétents pour s’organiser et pour survivre que les soignants eux-mêmes, notamment dans la lutte contre

Le texte étudié est un article intitulé « Les relations interpersonnelles avec la personne soignée et la notion de juste distance » publié dans la revue SOINS, dossier « le langage dans les soins » n°773 en mars 2013. Cet article est une revue anthropologique écrite par un professionnel de santé, Florence Michon, cadre de santé dans un centre de soins et de rééducation. Cet écrit considère non seulement la relation entre soignants-soigné, mais également la distance appropriée que le

humains. Pourtant, on constate une déshumanisation générale des soins. Les soignants eux même se rendent compte de ce qu'ils infligent, notamment lorsqu'ils passent «  de l'autre côté de la barrière des bien portants »1. Ils prennent conscience que « le malade n'est pas une victime »1: il sait ce dont il a besoin. Il serait donc bon d'écouter le patient et prendre en compte sa douleur pour l'apaiser et le rassurer. Les soignants ont conscience qu'une « médecine humaine »1 est une médecine qui se préoccupe

certains patients. LE THEME DE L’OUVRAGE : Dans son ouvrage, Marie de Hennezel parle du « souci de l’autre ». A l’hôpital, on demande aux soignants de soigner mais pas seulement. On lui demande d’écouter, de conseiller, d’être attentif et de veiller sur le bien être du patient dans son état global et non pas de se centrer sur sa maladie. De leur côté, les soignants sont désireux eux aussi d’attention, et aimeraient un peu plus de considération. Avec de plus en plus de technicités au sein de l’hôpital

et pratiques pratique soignante La toilette, une expérience du “sensible” PHILIPPE VIARD [ Et si la toilette était plus importante qu’un simple soin de base ? [ Les sciences de l’information et de la communication (SIC) permettent une analyse riche en significations, tout en dévoilant des dimensions nouvelles de compréhension [ Celles de la sensation, de la sensibilité et du symbolique redonnent à cet acte de soins infirmiers une réelle importance dans le champ de la relation [ Donner du sens aux

Il est impossible de concevoir les soins infirmiers sans aborder la relation entre l’infirmier et le patient, qui attend du corps infirmier une compétence clinique, il est aussi en droit d’attendre une relation interpersonnelle capable de lui permettre de conserver son identité et son humanité face à la puissance du système hospitalier. En cela, la relation de l’infirmier avec le patient est un garant incontournable de la qualité des soins et par la suite de reconnaissance professionnelle.

personnes dans les gestes de la vie quotidienne, c'est un engagement de minimum deux personnes. C'est stimuler la personne tant en restant a sa place, c a dire ne pas faire à la place du soigné tant en respectant sa dignité, ses habitudes, ses valeurs. C'est aussi une relation d'aide et de confiance entre le soignant et le soigné. Définition du dictionnaire médical C'est une présence physique, psychologique d'un intervenant dans une phase d'adaptation, de réadaptation ou d'intégration sociale dans le

solitude et l’isolement prédominent dans notre société de rendement. Dans le domaine du soin, le personnel soignant est amener à collecter un certain nombre de données pour mieux comprendre l’histoire des patients et de répondre à leurs besoins. La communication est donc indispensable. A travers différents stages, certaines attitudes des soignants ont retenu mon attention. Le soigné est parfois plus considéré comme une pathologie (exemple : l’appendicite à la chambre 5) que comme un individu