Linutile Vertu

rougissant’ => Mlle de St Yves éprouverait-elle du désir ? Sagesse de l’abbé : porte-parole de la loi II - Satire du mariage et des conventions sociales 1 - Deux conceptions du mariage et de la vertu Le mariage : pour l’Ingénu obéir à la loi naturelle c’est obéir à un caractère sacré La vertu : pour le Huron, tenir sa parole, suivre ses penchants naturels et être fidèle à soi-même La raison ‘Nous nous sommes promis au mariage donc je vous épouse’ Pour l’abbé : la loi dépend dans le milieu

pas le plus approprié à l’homme. Nous pouvons également voir la position de Molière vis-à-vis de la religion, dans sa préface[9] : « Je ne vois pas quel grand crime c’est que de s’attendrir à la vue d’une passion honnête ; et c’est un haut étage de vertu que cette pleine insensibilité où ils veulent faire monter notre âme. Je doute qu’une si grande perfection soit dans les forces de la nature humaine ; et je ne sais s’il n’est pas mieux de travailler à rectifier et adoucir les passions des hommes,

à demander au Ciel ». Scène 2 : Son père parti, Dom Juan le traite de peste et de bênet. Sganarelle lui même avait cru aux paroles de Dom Juan. Dom Juan dit que « l' hypocrisie est un vice à la mode. , et tous les vices à la mode passent pour vertu ». Face à cela, il supplie son maître de changer de vie. Scène 3: Don Carlos menace Dom Juan et lui demande comment il compte changer sa vie. Dom Juan lui annonce que le Ciel lui demande de s'éloigner d' Elvire, ce qu'il ne veut pas mais que

avec la prudence antique : ce n'est pas en raisonnant que l'on fera œuvre pleinement humaine. Rousseau, pourtant souvent ambigu, cite à ce titre la formule de Montesquieu lue dans l’Esprit des Lois : « les anciens s'entretenaient de noblesse et de vertu ; les modernes ne parlent que de commerce et d'argent ». Se conserver et rappeler le danger que l'autre peut m'opposer dans son aspiration à la puissance semble être l'obsession des Modernes, qui vont voir dans la Loi l'alpha et l'oméga de la liberté

après sa fin. Enfin, elle a un caractère coercitif, donc à chaque règle de droit correspond une sanction prévue et appliquée par la société. 3)Relation entre droit et morale Le droit et la morale sont souvent opposés car la morale a pour but la vertu, la justice et la charité, alors que le droit a pour but l’ordre social uniquement. Pour certains, il vaut mieux une injustice qu’un désordre, comme Goethe, bien que l’ordre puisse être fondé sur la justice. Thomasius, lui, souligne la différence de

rôle que Platon attribue donc à l’éducation est de faire prospéré la cité puis qu’elle forme d’honnêtes citoyens et qu’elle forme des gens experts dans leurs domaines. 2) Trouver la définition du rôle de chacune des trois classes sociales et leur vertu spécifique. Gardiens : sagesse prudence dans les délibérations Guerriers : courage Hommes d’affaires : tempérance dont la répartion dans lensemble de la cité est assurée par la classe inférieure. Justice : fonction qui ordonne a chacun

totalisation. Par exemple, c'est nier l'insondable pouvoir de la liberté que de vouloir -par une politique de la régénération- extirper du coeur de l'homme jusqu'au désir de faire le mal : le mal est le mal de la liberté. Une politique de la vertu, telle la politique jacobine, qui prétend éradiquer le mal en se faisant réformation et oeuvre de salut est condamnée aux errements du politique moralisant. Car l'idée même de régénération porte en elle une équivoque foncière et la possibilité de sa

les plus grands hommes. La sainte voix de la nature, plus forte que celle des dieux, se faisait respecter sur la terre, et semblait reléguer dans le ciel le crime avec les coupables. Il est donc au fond des âmes un principe inné de justice et de vertu, sur lequel, malgré nos propres maximes, nous jugeons nos actions et celles d’autrui comme bonnes ou mauvaises, et c’est à ce principe que je donne le nom de conscience (...). Mon dessein n’est pas d’entrer ici dans des discussions métaphysiques

bon Dieu, de Jean-Paul Sartre, drame en trois actes représenté pour la première fois en 1951 au théâtre Antoine, le personnage de Goetz affirme : « Fais le Mal : tu verras comme on se sent léger ! » Dans cette affirma­tion, le mal est vanté pour ses vertus bénéfiques, plus encore curatives (ou purgatives ?). (Citation du sujet .) Ainsi, le mal pourrait-il être un bien ? (Analyse du sujet et reformulation de la thèse .) Paradoxalement, dans cette interrogation, le mal est envisagé spontanément, immédiatement

Marquise de Merteuil Portrait physique : -Il n’y a pas beaucoup de détails dans le roman quant à l’apparence physique de la Marquise de Merteuil. -On peut dire qu’on l’imagine belle et bien faite, grande et élégante parce qu’elle sait séduire et semble avoir un grand charisme et un grand pouvoir de persuasion. Il lui faut donc avoir confiance en elle. -C’est au lecteur d’imaginer son apparence, mais vue ses traits de caractère c’est comme cela qu’on l’imagine. - Ça fait d’elle un personnage