Lion d'Afrique

la potion avant que le lion ne surgisse. Les trois lions étaient devenus des statues, mais pour combien de temps ? Fourchefeu décida alors de fouiller tout le palais en vitesse afin de trouver la clé de la porte d’entrée. C’est dans la salle de bains qu’il la trouva, cachée dans un tuyau. Il venait tout juste de sortir de cette salle quand il entendit un rugissement : un des lions n’était plus paralysé. Il courut de toute vitesse jusqu’à la porte et en la franchissant, le lion arriva. Alors Fourchefeu

allons vous présenter une de ses œuvres, Les obsèques de la lionne écrite en 1678 et issue du livre VIII. Cette fable décrit le fonctionnement de la cour et les abus du monarque. Nous verrons donc en quoi cette fable est particulière. Nous expliquerons dans un premier temps ce qui rend la fable plaisante et divertissante et nous terminerons par nous demander ce qui en fait une œuvre critique et satirique. Tout d'abord, Les obsèques de la lionne paraît être plaisante et divertissante. Dans cette fable

IL demeure en esprit Dans un royaume lointain vivait un lion. Ce royaume était une jungle composée de plusieurs animaux, et comme plusieurs royaumes le roi était à sa tête. Mais ce roi n’était pas un tyran mais au contraire il était un roi qui croyait à la justice, qui son peuple et les écoutaient aussi. Ce roi avait une grande famille ; il avait 6 fils et 5 filles. Il les aimait tout également mais un de ces fils ne croyait pas cela. Il s’appelait Jafar. Jafar était le fils le plus cruel, le plus

triste réalité. B- La fable 1- v.1 et 2 l’adjectif « royal » fait allusion à la figure du monarque qui, normalement, est représenté par n lion. Or, le singe emprunte la peau d’un tigre → l’image du monarque prend donc les caractères de férocité ( tigre ) et de traîtrise ( singe ). Cela rappelle une fable de la fontaine : « l’âne vêtu de la peau du lion » 2- v.6 et 7 le mot « roi » qui apparaît dans la bouche de l’animal, sonne comme une supercherie renforcée par les champs lexicaux de

A son ami lion Je ne t'écris de l'amour vaine et folle : Tu vois assez s'elle sert ou affolle ; Je ne t'écris ni d'armes, ni de guerre : Tu vois qui peut bien ou mal y acquerre ; Je ne t'écris de fortune puissante : Tu vois assez s'elle est ferme ou glissante ; Je ne t'écris d'abus trop abusant : Tu en sais prou et si n'en vas usant ; Je ne t'écris de Dieu ni sa puissance : C'est à lui seul t'en donner connaissance ; Je ne t'écris des dames de Paris : Tu en sais plus que leurs

parler avec les bêtes. Nils est entraîné dans la migration mouvementée d'une troupe d'oies sauvages. Dictée n°3 Patricia et le lion avaient l'habitude de se rencontrer dans la jungle. Ces rencontres excitaient la jalousie des lionnes. Les sentiments de ces animaux sauvages, Patricia les connaissait bien, mais elle en faisait fi. Le lion lui appartenait, aucune des lionnes ne pouvait le lui prendre. Dictée n°4 Un seul des deux tonneaux de poudre que Robinson avait cachés avait explosé et Vendredi

LES ANIMAUX EN FAMILLE(version française) Un jour en pleine sécheresse, le lion, roi de la forêt convoqua une réunion pour des objectifs bien déterminés .Ainsi, répondirent certains de ses amis qui étaient : hyène, la vipère, l’éléphant et le tigre. Le lion salua ses amis poliment et leur dit : -Alhamdoulilahi rabbil Al lamina, je remercie Dieu le tout puissant de nous avoir laissé vivre encore dans ce bas monde. Aujourd’hui, je vous ai convoqué tout simplement parce que je veux que nous

de sens. Margotte, la pie. Boulba était le plus gourmand, et Margotte la plus bavarde. S1 H5 Ceci ne va pas avec ce qui venait avant. La répétition du même mot alourdit le texte. Il faut chercher d’autres termes ayant un sens proche. Soudain un lion apparut. Celui- ci semblait affamé. Le fauve avançait lentement. Cet animal cherchait une proie. Il poussa un rugissement S2 Utilise des pronoms pour éviter les répétitions : H6 Ton histoire manque de J’ai un beau vélo. J’entretiens mon description

La Fontaine - Les Fables « Les obsèques de la lionne » Jean de la Fontaine a écrit en 1678-1679, dans son recueille Les fables, « Les obsèques de la lionne » . Écrit a l'époque de louis IV, les fables de La Fontaine sont un moyen de critiquer de façons détournée les mœurs de la société. Cette fable parle de l'enterrement de la femme du roi Lion qui permet a La Fontaine de critiquer différents aspects de la société du 17éme siècle. De quelle manière La Fontaine accuse-t-il la monarchie ? Dans

les sujets du lion. L'ours symbolise la maladresse, la lourdeur. Afin de perdonnifié le personnage de l'ours, La Fontaine utilise des termes comme "narine" (vers 16), "mine" (vers 17) et le terme "grimace" (vers 18). Le personnage du roi est interprété par le lion qui est synonyme de puissance, d'autorité, de tyrannie ou encore de violence. Ici l'auteur rend le roi ridicule en multipliant les hyperboles comme "magnificience" (vers 12), "puissance" (vers 13), "Ce Monseigneur du Lion-là" (vers 26)