Liturgie orthodoxe

tentatives pour faciliter la composition manuelle, qui n’aura pas de suite du fait de la complication du système. Au sens premier d'une icône religieuse, il s'agit d'une image représentant une figure religieuse dans la tradition chrétienne orthodoxe.  En informatique, une icône (pouvant être aussi orthographié un icone au masculin dans certains dictionnaires par différenciation) désigne une petite image symbolisant un programme ou un type de document auquel elle est associée.  En sémiologie

quelques lieux de cultes. Convertie à la fin du x siecle au christianisme Byzantin, la Russie a établie ensuite une traditon religieuse qui est devenue au fil des siecles, un élément déterminant de son « être au monde ». Une acculturation réussie, une liturgie somptueuse et une spiritualité originale ont contribué à faire de cet héritage un « marqueur d'identité » dont la renaissance est aujourd'hui bien visible, après les sept décennies de persécutions endurées sous le régime soviétique. Les Russes se

médecins tentent une autre méthode (la chimiothérapie), dans la clinique du docteur Josef Issels en Allemagne, mais c'est un échec. Le cancer se généralise. À la fin de sa vie, il se convertit à l'Église orthodoxe éthiopienne (une des nombreuses Églises jamaïcaines, qui intègre à sa liturgie chrétienne des éléments de la philosophie rasta). Il souhaitait finir ses jours en Jamaïque mais il meurt à Miami le 11 mai 1981, trop faible pour faire le voyage en avion jusqu'en Jamaïque, après être revenu

des institutions, arts et pratiques commerciales des chrétiens et des juifs a permis au sultan de dynamiser la ville. Les chrétiens, dont les Grecs orthodoxes, et les juifs bénéficient en Islam du statut de dhimmi : payant un impôt supplémentaire, ils ont une relative liberté de culte. Les Grecs conservent leur chef spirituel, le patriarche orthodoxe, maintenu par les sultans et nommé par eux. Cette bienveillance des musulmans à l’égard des autres communautés explique qu’Istanbul soit à la fin

Le yoga (Sanskrit en devanāgarī: योग )[1] est l'une des six écoles orthodoxes de la philosophie indienne āstika. Le texte de référence est les Yoga Sūtra de Patañjali. Il est devenu, particulièrement en Occident, une discipline visant, par la méditation, l'ascèse morale et les exercices corporels, à réaliser l'unification de l'être humain dans ses aspects physique, psychique et spirituel[2]. Le terme yoga est communément utilisé aujourd'hui pour désigner le hatha-yoga, même si cette discipline

l’imagination, en lesquelles on peut essayer de décomposer l’appartenance culturelle hybride de Schehadé. Ces trois cultures sont : 1) l’imagination surréaliste, qui elle-même s’inscrit dans une postérité du romantisme ; 2) l’imagination chrétienne orthodoxe, avec la question de l’incarnation et de l’icône ; 3) l’imagination du soufisme islamique, telle qu’elle a été mise en œuvre dans une poésie mystique. La pertinence du rattachement de Georges Schehadé à ces différentes cultures est certes problématique

en ce qui concerne l’activité de traduction de textes religieux après la chute du régime communiste en Roumanie, en décembre 1989, et les relations entre les deux principales Églises auxquelles appartient la majorité des Roumains transylvains : orthodoxe et grecque-catholique (ou uniate). Il s’agit de situer la traduction dans ses contextes historiques, sociaux et politiques, et de reconnaître que, au-delà des difficultés de transfert textuel et des considérations de traduisibilité ou non-traduisibilité

la guérison de l’imfamies du monde contemporain’’, a suivri naturallement à certains vieux préoccupations que j’ai eu dès la période de mon étude théologique à la Faculté de Théologie Orthodoxe Arad, quand j’ai preparé une thèse de licence avec le nom: Les problemes de la tentation dans la Théologie Morale Orthodoxe. Dès ce moment-la j’ai commencé structurer les premiers repères thèoretique de l’oeuvre que je présente maintenant. Je suis très intéressée sur une approche interdisciplinaire entre l’étude

séparations étant intervenues entre .chrétiens que l'on appelle schismes (du grec schisma : séparation), l'on distingue entre l'Eglise catholique romaine, qui désigne les évêques, le clergé et les fidèles en communion avec l'évêque de Rome et les Eglises orthodoxes, dépendant, à partir du ve siècle, de l'évêque de Constantinople mais devenues progressivement autonomes (l'on dit autocéphales, du grec autè kephalè : [étant] elles-mêmes tête) depuis 1453. Au Moyen Age, on parlait volontiers d'Eglise latine par

l'Ancien Testament, divisent l'Église. En règle générale, on identifie trois courants principaux, les catholiques, les orthodoxes et les protestants dès la Réforme : - Les catholiques, comme les autres chrétiens croient en Jésus et pratiquent la cérémonie du baptême. Leur communauté est dirigée par le pape, successeur de l’un des apôtres de jésus, Pierre ; - Les orthodoxes, leur religion est apparue il y a environ mille ans à la suite d’une dispute entre les chrétiens. Ils rassemblent les chrétiens