Locke Travail Et Propriété

Introduction Nous avons conclu le cours sur autrui par l’ambivalence du rapport à autrui. D’un côté, autrui m’est nécessaire ou en tout cas extrêmement utile pour satisfaire mes besoins, grâce au gain d’efficacité que constitue la division du travail et l’échange : d’où le marché, et plus généralement la dimension économique de toute société. D’un autre côté, la coexistence avec autrui ne va pas sans difficultés en tous genres, notamment à cause de la rivalité pour les richesses ou le pouvoir :

produit d’un contrat social. * John Locke : 17ème siècle : il transforme la théorie de Hobbes. Il évolue dans une situation politique différente : le souverain n’est plus remis en question. Comment assurer les libertés individuelles et mettre fin aux conflits religieux ? Il est un idéologue de l’état minimal (théoricien du libéralisme politique). Il suit les principes de Mandville comme quoi les vices privés se transforment en vertus publiques. Pour Locke, il suffit de laisser libre cours au individu

Hobbes, se développe un nouveau courant de pensée, dont nous sommes encore les héritiers méfiance par rapport à la politique, à l’État . Si l’on regarde le libéralisme politique (Locke – Constant – Tocqueville), il ne fait que parachever ce courant, selon Leo Strauss on ne peut pas dire que les penseurs aient une très haute estime de la politique car ils pensent l’État comme un simple moyen = au mieux la

Page 1 sur 25 INTRODUCTION I) L’ancrage historique et sémantique de la notion de société civile A) Les conceptions classiques 1) La philosophie politique de l’état de nature a) Hobbes et Pufendorf : équation entre société civile et Etat b) Locke et Rousseau : début de la connotation économique de la société civile 2) L’économie politique de la société marchande a) Mandeville : légitimation du caractère économique de la société civile b) Adam Smith : théorisation de la société civile comme

antique, avant l’avènement du code d’Hammurabi de Babylone, à l’événement marquant de la Magna Carta, à l’apport chrétien, de la naissance de l’Habeas Corpus, aux penseurs du siècle des Lumières tels que Rousseau et Montesquieu, au schéma de John Locke sur l’homme comme étant titulaire de droits individuels, au Bill of Rights écrit par George Mason, qu’a ainsi émergé la Déclaration des droits de l’homme de 1789 qui a eu un impact universel, et dont sera fortement inspiré la Déclaration universelle

théorie de la propriété et la justice commutative c’est la théorie de la « justice dans l’échange ». Quand on échange des marchandises à la fin de la transaction étant donné qu’il n’y pas de gains ni pertes, il y a alors un échange neutre. La thèse est ainsi la neutralité des échanges. I – La théorie générale de la société de Walras 1) Sa conception de la société -> 59 à 61 Dès la page 58, le but est de critiquer les théories du contrat social. Il vise à critiquer Hobbs, Locke et Rousseau

de travail, etc.) sont nécessaires en matière économique et que l’intervention de l’État doit y être aussi limitée que possible. Ces idées fondatrices furent formulées antérieurement notamment à l'Ecole de Salamanque aux 15e et 16e siècles, sur la base de considérations morales accordant à la personne humaine des droits fondamentaux, notamment en matière économique. Typologie : Les partisans du libéralisme économique se rangent en deux grandes familles. Pour les libéraux classiques (Locke, Turgot

Dans « la République », Platon décrit sa thèse par une cité idéale. Il y a une 3 classe : -le premier regroupe les citoyens devant assurer les moyens matériel de la cité (paysans, pécheurs…..). Leurs vertus sont l’obéissance et leur amour du travail. -le second : les gardiens auxiliaires. Ils défendent la cité des ennemis extérieurs et d’assurer l’ordre public. Leurs vertus sont l’impétuosité et la discipline. Les hommes naissant avec une âme dominée par la fierté et le courage physique. -troisième :

politique classique, tous courants confondus, intègre le marché dans sa vision, en fait même le régulateur suprême et l’harmonisateur universel des intérêts, et, de plus, elle fait de l’échange marchand l’acte fondateur de la société. En faisant du travail le fondement de la valeur, les classiques situent celui-ci dans l’acte de production sur lequel la monnaie n’exerce pas d’influence (I). Bien que le marché soit présent dans les théories classiques de la valeur, la monnaie (pourtant indispensable

d’Alderfer · Théorie d’accomplissement de Mc Clelland 2- Théories de processus · Théorie des objectifs de LOCKE · Théorie des attentes de VROOM · Le modèle de PORTER & LAWLER CONCLUSION · Faut-il toujours motiver ? · Pouvons-nous motiver quelqu’un à travailler ? · Quels sont les meilleurs moyens pour motiver ? · Quel est le coût de la motivation ? INTRODUCTION