Locomotive électrique

peintre obtient du directeur des Chemins de fer de l’Ouest l’autorisation officielle de dresser son chevalet à l’intérieur de la gare. Installé sur le quai de la ligne d’Auteuil, Monet représente l’activité fourmillante du lieu. Au centre, une locomotive sombre entre en gare en laissant s’échapper de gros nuages de fumée tandis qu’un train file vers le pont de l’Europe, qui enjambe les voies ferrées au loin. A gauche, l’isolement d’un wagon à l’arrêt contraste avec l’effervescence d’un départ ou

Historiquement, c'est le Fardier de Cugnot (le fardier est un chariot qui sert à transporter un « fardeau »), créé en 1769, qui apparaît comme le premier véhicule motorisé capable de transporter plusieurs tonnes de chargement. En 1829 la locomotive « The rocket » de George Stephenson apparaît.Ce sont les premiers pas vers la voie ferrée. Plus tard le premier véhicule à moteur de transport de marchandises sur route est créé : le train routier à vapeur. De la fin du 19ème siècle jusqu’à

l’impression visuelle telle qu’elle est ressentie par l’artiste qui veut faire éprouver le plaisir de l’instant, celui de la création aussi (le terme, né en 1874, fait suite au tableau « Impression soleil levant » de Claude Monet.) Monet : cette locomotive entrant en gare impressionne par sa blancheur, par sa taille et par sa place dominante dans le tableau. Pareil à la gare Saint-Lazare peinte par Monet, Zola esquisse une toile de la gare : l’éventail des trois doubles voies constitue les lignes

Commentaire : Emile Zola : La Bête humaine : Chapitre 10.  Après un accident de chemin de fer, voici la description de la locomotive, baptisée la Lison. Émile Zola : La Bête humaine, 1890.   La lison, renversée sur les reins, le ventre ouvert, perdait sa vapeur; par les robinets arrachés, les tuyaux crevés, en des souffles qui grondaient, pareils à des râles furiaux de géante. Une baleine blanche en sortait, inépuisable, roulant d'épais tourbillons au ras du sol; pendant que, du foyer, les braises

lumière sur la verrière qui se diffuse jusqu’au sol. Au second plan, nous remarquons en premier lieu une locomotive, noyée dans un nuage de fumée, qui semble être à l’arrêt. Au troisième plan, nous distinguons une locomotive en mouvement au milieu des rails se dirige vers nous. Sur le bas coté discernons une foule qui marche sur le quai. Enfin au dernier plan nous voyons une troisième locomotive qui précède l’ensemble architectural qu’est le pont qui enjambe les rails. La ville est également très

situation économique et politique de l'époque. Emile Zola décrit aussi la machine de l'époque : la locomotive. Il l'a connaît dans les moindre recoins, pour son livre il fallait qu'elle soit plus vraie que nature. Du rail jusqu'à chaque wagon, Zola nous raconte ici ce qu'est la locomotive, chacune de ses parties : châssis, cheminée, chaudière... Il veut nous faire voir dans notre imagination la locomotive le plus réellement possible Outre les machines et le contexte historique, Zola nous montre dans

vie moderne et enfin par l'évocation du train, sorte de symbole. La modernité, le monde matériel chemine dans le texte à travers un champs lexical très présent, celui du chemin de fer : "train ; gares ; route ; fils télégraphiques ; poteaux ; locomotives ; roues ; ferrailles ; broun-roun-roun".Cette dernière citation est une onomatopée, elle a encore plus d'influence sur le lecteur que les citations précédentes qui, elles, apportaient le visuel dans l'imagination de la scène ; puisque cette onomatopée

agonies sont concentrés. Il faut savoir que dans tous les romans d’Emile Zola les lieux ne sont jamais décidés au hasard . 4) Le personnage principal (Jacques Lantier) arrive après le début du roman, il est presenté comme mécanicien ferru de sa locomotive «La Lison », cette dernière, dans ce roman est presentée comme un personnage à part entiere. C’est le seul véritable « amour » de Jacques. Celui-ci est robuste plûtot bel homme, il aime son métier mais sous cet apparence réside un mal qui le ronge

El ferrocarril sacamantecas | Le chemin de fer est arrivé à la mi-XIXe siècle et a été un énorme changement, un changement qui ne peut pas imaginer aujourd'hui. Donnez-vous beaucoup de ce qui était alors connu que le cheval, tous les voyages et toutes ont été faites pour le transport du cheval. Eh bien, tous avec leurs quadrupèdes sont à la maison quand soudain il se rend et fait son apparition un artefact qui atteint une centaine de kilomètres par heure. Les gens avaient peur, et nombreux étaient

l’anéantir » Il y a également les femmes en tant que machine : la lison et la machine 668. Quand il aime sa  « machine », il n’a pas besoin de femmes, et quand il aime une femme, il se met a détester sa machine. Il trouve un réconfort serein dans les locomotives qu’il ne retrouve pas chez la femme. Il les contrôle et n’a pas à leur égard de pulsions sexuelle. »Et c’était vrai, il l’aimait d’amour, sa machine... Il l’aimait en mâle reconnaissant. » Roubaud est le mari de Séverine, il l’aime, mais il