Locuteur

ne peut pas se satisfaire des fruits de l’oubli. En fin de compte, l’enfant (I), le questionneur (III) et le passager de l’embarquement final (VIII) ont une même volonté (« nous voulons », 53, 142) ; « cerveaux enfantins » (84) est négatif pour le locuteur mais pas en soi. Le meilleur de l’enfance reste intact : l’homme vaincu par le Temps conserve « le cœur joyeux d’un jeune passager » (126). Ces intuitions se confirment si nous considérons maintenant le poème en tant que conclusion du recueil

langage soutenu et désuet Bien le bon jour — langage soutenu et désuet Enchanté(e) —- langage soutenu (abréviation de « Enchanté(e) de faire votre connaissance.» Se dit pour une première rencontre. Cas rare de vocable qui s'accorde avec le genre du locuteur ; Bienvenue — formule d'accueil ; Coucou —- familier voire enfantin ; Salut —- familier ; Hello —- familier (vient de l'anglais) ; Wesh —- argotique - utilisé par les jeunes (vient du berbère)9 ; Yo —- salut des rappeurs ; Allo —- au téléphone

confuse ! C'était une manière de parler. Exclamative GN avec CdN Réaction inattendue de la mère, entraînant déception du spectateur : attente brisée réflexion sur le langage : chaque mot, tournure est susceptible de contenir une vérité dont le locuteur peut être conscient ou inconscient. Ici, la mère est toute proche de la vérité mais la dit sans le savoir : ironie tragique. Je comprends. (Un temps) Double sens didasc -Il comprend l'explication -il comprend le vrai sens du mot ou alors

语言特点 语言功能Fonctions : cf. Schéma de la communication : 所指Référentielle : message qui présente le référent 应酬，寒暄Phatique : parler pour parler, pour établir un contract, non pas pour dire quelque chose 表达，表现Expressive : parlant des sentiments du locuteur –je-, il écrit pour s’exprimer. 意动Impressive (ou conative) : argumenter, faire passer ses idées, agir sur l’autre, faire des efforts pour convaincre. 诗人，诗歌Poétique : textes qui jouent sur le canal, la langue, le registre. 元语言Métalinguistique :

Concernant la signature de la marque «Protège ce qui est bon», il s'agit d'un message très positif. «Bon» est considéré comme un terme évaluatif. Il porte un jugement de valeur, qui relève de l'éloge. L'utilisation de ce terme marque la présence du locuteur dans la mesure où il exprime un jugement subjectif. Cela signifie ce qui est bon pour chacun. Tout le monde peut se sentir concerné. De plus «Protège» et «bon» sont deux termes forts en message positif. Chacun veut protéger ce qu'il y a de bon pour

mieux que nous parlions raison »  retour au jeu de séduction « Si vous ne m’entendiez pas, ce serait bien de ma faute » Discours naturel entre une femme un homme. Là Diderot agit comme un gentleman  détente de l’atmosphère, totale respect du locuteur « Je ne me suis guère occupée qu’à pratiquer l’Evangile » : négation restrictive : La Maréchal minimise Celle-ci souhaite comprendre les raisons de l’athéisme de Diderot elle n’est pas purement dans une thèse de défense ce qu’elle désire et comprendre

Concernant la signature de la marque «Protège ce qui est bon», il s'agit d'un message très positif. «Bon» est considéré comme un terme évaluatif. Il porte un jugement de valeur, qui relève de l'éloge. L'utilisation de ce terme marque la présence du locuteur dans la mesure où il exprime un jugement subjectif. Cela signifie ce qui est bon pour chacun. Tout le monde peut se sentir concerné. De plus «Protège» et «bon» sont deux termes forts en message positif. Chacun veut protéger ce qu'il y a de bon

traité destiné à Laurent de Médicis. Quelles contraintes, et quelles conséquences cette situation d’énonciation implique-t-elle ? Comment séduire le Prince en lui étant utile ? 1. Une double énonciation On remarque d’abord la prudence du locuteur, qui n’emploie pas le « je » ; et semble s’effacer derrière des tournures impersonnelles : Chacun comprend, On peut combattre, on est obligé, on peut citer. En revanche, le pronom nous est employé : nous avons vu de grandes choses, Nous avons

obstacles à la communication, - résumer une histoire écoutée, - produire un récit cohérent et compréhensible. A l’oral /production : - restituer l’essentiel d’un argumentaire écouté, - analyser l’argumentation d’un locuteur (la thèse, les arguments,…) - synthétiser l’argumentation d’un locuteur ; - interagir en affirmant sa personnalité, - défendre son point de vue en respectant l’avis des autres ; - produire une argumentation basée sur deux ou trois arguments personnels. A l’écrit/compréhension : -

l’émotion ? Première piste : une tirade comique a) une tirade bien structurée - sur le plan de l’énonciation : fait la demande et la réponse (se parle à lui-même ou vise un destinataire invisible ou universel ? Voir plus loin), parenthèse où le locuteur semble jouer avec lui-même, exclut son interlocuteur, lui confisque la parole, se recrée un interlocuteur plus spirituel ; effets dialogiques, guillemets, autocitation…/ Apostrophes violentes, 2ème pers. Prise à parti… - sur le plan de la métrique