Locuteur

réfléchisse. antithèses : opposition de mots ou d’idées dans un texte antiphrase : figure de style consistant à dire le contraire de ce que l’on pense tout en faisant comprendre que l’on pense le contraire. italique, guillemets procédé de l’ironie locuteur ⋄ destinataire apostrophe impératifs, style injonctif gradation : suite de mots d’intensité croissante ou décroissante Les contradictions soulignées par V. Hugo début du texte : règles interdisant le meurtre ⋄ non respecter par la justice

Dois-je conserver les temps, le style, la logique interne et le niveau de langue du texte-support? Un dialogue: Est-ce que connais plusieurs verbes introducteurs pour rédiger un dialogue? Dois-je aller à la ligne pour chaque changement de locuteur? Dois-je mettre des guillemets à chaque réplique de mon dialogue? Les interlocuteurs sont-ils toujours présents dans le texte support? Un essai: Toutes mes phases doivent-elles commencer par une majuscule? Quel temps utiliser pour mon

politique. Dans le contexte de notre investigation sur le discours politique, nous retenons un sens spécial pour la compréhension de ce type de discours: le discours politique est une forme de la discursivité par l'intermédiaire de laquelle un certain locuteur (individu, groupe, parti etc.) poursuit l'obtention du pouvoir dans la lutte politique contre d'autres individus, groupes ou partis.             Cette définition, indubitablement approximative, met en évidence la dimension pragmatique du discours

Si les situations de communication sont diverses, il est néanmoins possible d’en faire une analyse schématique commune. Toute communication suppose : • Deux systèmes : émetteur et récepteur o L’émetteur (destinateur, locuteur) est celui qui a l’initiative de la communication. Il est celui qui produit l’information. Il peut être un individu, un groupe, une institution, un animal ou même une machine comme un ordinateur. Une fois le message produit, l’émetteur procède

rhétorique et argumentation, puisque, tout à la fois, « une réponse est problématologique et apocritique », conservant, en dépit de tout, les deux aspects de réponse et de question. Car, d’une part, « La question est une réponse à un problème qui agite le locuteur, elle lui permet de le formuler » (p. 167). Mais, d’autre part, « Une réponse pose question, des questions, une multitude de questions possibles » (ibid.). Dans cette riche optique, argumenter entre bel et bien dans la nature du discours, dans sa

l’identité de cette personne et ne peut qu’émettre des hypothèses quant à son nom. En effet, le lecteur quelque peu connaisseur, sait, en ouvrant le roman, qu’il a à faire à un roman inaugurant le monologue Beckettien et peut donc supposer que le locuteur n’est autre que Molloy, personnage éponyme du roman. Si nous ne savons pas directement de qui il s’agit, nous savons en revanche le lieu de départ du roman grâce à la première phrase, phrase simple au présent de l’indicatif permettant de situer de

de ce qui fait la différence entre un « encrouilleur » (ou sorcier), et un « désencrouilleur » (un désorceleur, ce qu’est Grippon). Elle en arrive à la question du point de vue (qu’elle complètera plus tard dans le chapitre) : c’est la position du locuteur qui désigne untel comme sorcier, et untel comme désorceleur, car un sorcier à qu’un désorceleur aura contré pourra très bien se présenter comme ensorcelé et dire du désorceleur de son ennemi qu’il est son sorcier. Dans l’acte de sorcellerie évoqué

plus agréable 3) dorme avec le souci d’objectivité. II) mais il y a des risques 1) on va à la simplification 2) fiction est plus que l’argumentation 3) dialogue artificiel II) 1) forme de monologue 2) se libérer du locuteur avec lui-même 3) dialogue adressé au lecteur.

dites à un moment précis : « l’Hommage d’aujourd’hui » qui est la cérémonie du transfert des cendres de Jean Moulin. On observe une réalité autour de l’orateur. Les paroles sont inscrites dans un cadre particulier puisque l’on a la présence d’un locuteur, d’un interlocuteur mais aussi d’un cadre. Ce texte est aussi rempli d’autres éléments qui signalent la fin du discours comme la référence à la guerre avec par exemple camps de concentration » l 4-5 et « bagnes » l 7 de mais aussi aux énormes pertes

genre te de registre 2) forme plus agréable 3) dorme avec le souci d’objectivité. II) mais il y a des risques 1) on va à la simplification 2) fiction est plus que l’argumentation 3) dialogue artificiel II) 1) forme de monologue 2) se libérer du locuteur avec lui-même 3) dialogue adressé au lecteur.