Logique De Puissance Et Régulation Des Relations Internationales

une assise solide, dessinant deux lignes convergentes, l'ébauche d'une pyramide. Et pour que personne ne se méprenne, une citation de l'Écriture accrédite son pouvoir : non est potestas super terram quae comparetur ei (il n'est, sur terre, aucune puissance qui surpasse la sienne). Pas de doute, voilà le souverain, titulaire d'un pouvoir sans partage, qui irradie jusqu'aux confins les plus reculés de l'État. Son pouvoir est absolu, non pas tant au sens de tyrannique ou de totalitaire, mais en cela qu'il

La mondialisation : les mutations technologiques et structurelles. Les aspects géo-économiques : la place des Etats et des institutions internationales. 1. La difficulté de définir le concept - terme surabondant ces dernières années : utilisations largement abusives - inéluctabilité du processus ? Jean-Pierre Paulet affirme son caractère inéluctable en tant que réalité technique « Peut-on supprimer Internet ? » / D’autres tentent de convaincre de sa réversibilité (mondialisation reposerait

RELATIONS INTERNATIONALES THEME I LES RELATIONS INTERNATIONALES ET LEUR ETUDE Q1) Les approches réalistes des RI : Théorie américaine d’origine européenne, elle a dominé les approches diplomatique. A eu un gros succès au moment de la Guerre Froide et développées par Harrow. Théorie qui veut expliquer le comportement des Etats en partant du postulat que les RI sont des relations de puissance canalisé par les Etats. Le comportement internationale d’un Etat repose sur la logique de la

partir de leur environnement. Elle a tendance à considérer que ces éléments la sont les uniques moyens de compréhension. La disciplines des relations internationales et sont objet De manière générale les RI ont pour objectif de construire des grilles de lecture alternatives aux autres disciplines pour organiser la complexité des phénomènes internationaux. L’objectif est d’offrir à l’observateur un cadre d’interprétation qui permet de hiérarchiser les informations ou de comprendre certaines phénomènes

MONDIALISATION ET HISTOIRE : UNE APPROCHE ÉPISTÉMOLOGIQUE Philippe Norel Assoc. R.I.P. | Revue internationale de philosophie 2007/1 - n° 239 pages 33 à 55 ISSN 0048-8143 Article disponible en ligne à l'adresse: -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------http://www.cairn.info/revue-internationale-de-philosophie-2007-1-page-33.htm -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------Document

l’ordre juridique international » Préparé par : Léilah Christine DECEMBRE SOMMAIRE INTRODUCTION 3 I.- La construction communautaire, une étape « régionale » au carrefour de la mondialisation. 4 A.- Construction communautaire européenne, une régionalisation réussie. 4 a) Les libertés fonctionnelles 5 b) La communautarisation de la relation commerciale extérieure 5 c) L’adhésion communautaire au libre échange 5 B.- La coopération économique internationale, une affaire anglo-saxonne

FACTEUR MILITAIRE DANS LES CONDITIONS DE LA PUISSANCE Le facteur militaire a constitué l’élément décisif de la puissance des États de l’aube de l’Humanité au XVIIIème siècle où il est déclassé par le critère économique. Il demeure pourtant un argument essentiel de la puissance et pourrait inspirer les tentatives de renouvellement des conditions du leadership international. La mondialisation conduit à l’émergence des logiques contradictoires du multilatéralisme et de

œuvre 1. 2. 3. 4. la volonté politique les rigidités institutionnelles ; les résistances aux changements : le statu –quo comme stratégie ; la faiblesse de la formation des managers publics ; ANNEXES : CATALOGUE DE MESURES PROPOSEES EN MATIERE DE RELATIONS ENTRE L’ADMINISTRATION ET LES CITOYENS belmihoub, forum tunis : cas Algérie 2 INTRODUCTION Certes les réformes, en Algérie comme ailleurs, n’y sont pas aisées, les crispations sont fortes, les comportements sont calculés et la perception

s’avère difficile. En outre, deux logiques s’affrontent : les contractions continentales doivent-elles envisager une gouvernance supranationale ou en rester à une coopération entre gouvernements ? La signature du traité de Maastricht en 1992 a ainsi donné une nouvelle impulsion à la construction européenne commencée au début des années 1950, mais a suscité un important débat. Après 1945, les différents Etats tentent de réinvestir l’idée d’organiser la société internationale pour promouvoir la paix et le

capitalisme financier, il se refuse à ne le faire commencer qu'au début du XXème siècle. Fondamentalement, pour Braudel le capital est pouvoir, mais pas n'importe quel pouvoir, il est l'expression même du pouvoir économique supérieur : grâce à sa puissance, en particulier financière, il peut d'en haut dominer et orienter et les échanges "au long cours" et la production sans nécessairement y pénétrer directement. Il peut rester extérieur au rapport d'exploitation directe, pouvant récupérer l'essentiel