Loi de Fisher

semaines après John Fisher, le 6 juillet 1535, sir Thomas More monte sur l’échafaud. Né dans la capitale anglaise le 6 Février 1478, après des études de droit et une période de discernement, quatre ans durant, passée dans une chartreuse, Thomas s’était orienté vers une carrière politique, jusqu’à devenir député en 1504. Thomas, marié et père de 4 enfants, était monté, degré après degré, jusqu’à la charge de Grand Chancelier du Roi d’Angleterre : Henri VIII.La fidélité de More et de Fisher envers le roi

substituer des moyens de paiement à leurs actifs liquides. En second lieu, en définissant plus largement les agrégats monétaires, on en vient à définir plus largement a création monétaire. Les termes d'établissement de crédit qui avait été donné par la loi bancaire à tout établissement qui finance son activité de crédit par la collecte directe ou indirecte de liquidités et de financement monétaire donné à toute forme de crédit financé à partir de liquidités au sens de M3, indiquent de la part des autorités

Première conséquence quais mécanique et systématique. 2 solutions pour juguler l’inflation: solution radicale qui consiste à réduire les taux d’intérêts (on arrête d’imprimer billets). Ou alors on empêche les prix de monter (cf loi Duflot pour les loyers plafonnés)= La loi du Maximum. Les économistes en rient au motif que c’est comme un thermomètre que l’on casse pour ne pas voir les températures monter. En URSS on avait empêché la hausse des prix pour contenir l’inflation. La hausse des prix est

la monnaie est détenue par les individus pour le seul motif de transaction.Ainsi le marché de la monnaie où se rencontrent une offre et une demande est décrit par la théorie quantitative de la monnaie .Cette théorie fut analysée par : * IRVING FISHER :économiste américain , en 1911. L’équation s’écrit :où M :quntité de monnaie en circulation ; V : vitesse –transactions de la monnaie ; P :niveau général des prix ; Y : volume des transactions. Le volume –trasactions et la vitesse de circulation

Libéralisation qui prend plus de temps sur le continent européen car beaucoup plus habitué à des interventions étatiques importantes. Des pays qui sortent de dictature (Espagne, Portugal). D’où le fait que la transition prend plus de temps. En rance, loi bancaire de 1984 qui donne le coup d’envoi de la libéralisation. C’est la fin de l’encadrement du crédit en 1986. Fin du contrôle des changes. L’ensemble de ces règles, lois, adoptées progressivement = le premier pilier de notre nouveau système de financement

47 TABLE DES MATIÈRES • III II. Indices synthétiques A. Indices synthétiques de Laspeyres et Paasche : premières formules B. Formules développées C. Comparaison des indices de Laspeyres et de Paasche D. Indice de Fisher E. Propriétés des indices de Fisher, Laspeyres et Paasche F. Utilisation de ces trois indices Indices-chaînes 56 A. Raccord d’indices B. Les indices-chaînes C. Indices publiés par l’INSEE 49 50 51 52 54 55 56 56 57 58 58 59 60 III. IV. Traitement statistique

statistiques • (Scatter) nuage de points • (Scatter) • (xyLine) nuage de points reliés • (Histogram) histogramme • (ModBoxplot) boîte à moustache modifiée • (Boxplot) boîte à moustache normale • (NormProbplot) visualisation de la normalité d’une loi de probabilité Options possibles pour les divers types Type Scatter × × × xyline Histogram ModBoxplot Boxplot × × × × × × NormProbPlot • • 18 (Boxplot) (Histogram) XList YList Mark Freq × × • Data Data List Axis × × (xyLine) ×

Rappel sur les manipulations de 2.2.2 D´finition . . . . . . . . . . . . e 2.2.3 Ind´pendance . . . . . . . . . . e 2.2.4 Lois discr`tes usuelles . . . . . . e 2.2.5 Loi marginale . . . . . . . . . . 2.3 Esp´rance et variance . . . . . . . . . . e 2.3.1 Esp´rance . . . . . . . . . . . . e 2.3.2 Variance . . . . . . . . . . . . . 2.4 Loi et esp´rance conditionnelles . . . . e 2.5 Exercices . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.6 R´sum´ . . . . . . . . . . . . . . . . . e e 3 Variables al´atoires ` densit´

Ra = 1 − (1 − R2 ) T T −1 , où p est le nombre de −p−1 PT n=1 yn et δ T = t (1, ..., 1), vecteur (T, 1). F-statistic désigne la statistique de Fisher qui correspond à l’hypothèse nulle (sans la constante) H0 : b1 = ... = bk = 0; ou (H0 : b2 = ... = bk = 0 si xt,1 = 1). Elle est donnée par F = H0 la statistique F suit une loi de Fisher F (k, T − k) ou F (k − 1, T − k) s’il y a une constante dans le modèle Call : Avec les commandes : fit1 |t|) cars$speed 2.9091 0.1414 20.58 , K(t, s) =< Xt

des rides. le globe terrestre, par son refroidissement et par la contraction résultante de son intérieur, a donné naissance aux plissements de son écorce. Plus tard, elle est examinée de plus prêt et est rejetée pour laisser place à la loi de la permanence et à la loi de l'isostasie, cette première montre que l'emplacement qu'occupaient les bassins océaniques n'a presque pas bougé lors de l'apparition de l'eau. La deuxième montre l'impossibilité de concevoir les fonds abyssaux actuels comme provenant