Loi de Prairial

Paris à la Convention en 1792. Sous la Terreur, il entre au Comité de Salut Public où il est tout puissant en 1793. Il va imposer un grand nombre de changements, entre autre, il supprime toutes les libertés. Il impose aussi à la Convention la loi du 22 prairial an II qui abolit la procédure et accélère le rythme des exécutions. III. Son héritage: Robespierre n’a pas laissé d’écrits. Les mémoires qui ont paru sous son nom sont apocryphes. Dès 1848, Louis Blanc fait de lui à la fois le héros et

Abolition des privilèges. Abolition des privilèges Vote de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen. 1790 : France divisée en 83 départements. Constitution civile du clergé. Fête de la Fédération. 1791 : Fuite du roi. Loi Le Chapelier. Proclamation de la constitution. Assemblée législative 1792 : Proclamation de la patrie en danger. Chute de la monarchie. Insurrection des faubourgs. Début des massacres dans les prisons (2 au 5) Bataille de Valmy.

Robespierre, Danton appelle à "poser la barrière", et à plus de clémence. Il est arrêté le 30 mars 1794 et guillotiné le 5 avril. près la mort de Danton, Robespierre ne connaît qu’un court répit. La Terreur se durci encore avec la  loi de Prairial (10 juin 1794)  qui lui de faire arrêter et exécuter le moindre suspect, les exécutions se multiplient encore. Par la suite, certains députés de la Convention craignent les menaces de l’incorruptible. Ils provoquent donc son arrestation

jacobins, il soutient les revendications des sans-culottes. . 3 septembre 1794 : adhère au club de discussion de sans-culottes. . Il se fait appeler Gracchus, en hommage aux Gracques, initiateurs d’une réforme agraire dans la Rome antique. . 1 prairial an III : prit une part active à l’insurrection. . Création de la « Conjuration des égaux ». Le but est de continuer la Révolution et d’aboutir à la collectivisation des terres et des moyens de production, pour obtenir « la parfaite égalité » et

Jacobins où il est toujours aussi assidu. Sa popularité ne s'afaiblit pas, même après son entrée au gouvernement. Le 5 septembre 1793, « la Terreur est mise à l'ordre du jour ». A l'automne, la Convention doit accepter des mesures de Terreur : loi des suspects, loi contre les accapareurs, maximum des prix, armée révolutionnaire... etc. On entre alors dans une des périodes les plus troublés de la Révolution Française. Des anciens députés Girondins sont guillotinés, et Marie-Antoinette elle-même passa

un décret-loi du 20 octobre 1795 autorise définitivement la réouverture de la Bourse de Paris. En dépit de sa défiance vis-à-vis des marchés financiers, Napoléon va contribuer au renouveau de la Bourse de Paris. Il va être dressé le cadre d’une économie organisée en réglementant les responsabilités de chacun. On peut citer le décret du 28 ventôse an IX (19 mars 1801) qui constitue le texte réglementaire fondamental sur l’organisation des marchés financiers, et l’arrêté du 27 prairial an X (16 juin

« terreur judiciaire » s’appuie sur la loi des suspects (27 septembre 1793). Les tribunaux révolutionnaires sont établis à Paris ainsi qu’en Province. La mise hors-la-loi, votée par la Convention, annule toute procédure et implique la peine de mort dans le jour suivant de l’arrestation. Les sociétés populaires reçoivent des pouvoirs délégués qui sont la surveillance et la police. Il existe aussi une « terreur économique » (loi sur le maximum des salaires et des prix, loi obligeant commerçants et producteurs

1795/5/10 le 1er prairial Après la chute de Robespierre le 9 thermidor an II (27 juillet 1794), les sans-culottes qui n’avaient pourtant guère réagi pour le soutenir, sentirent très vite que la réaction thermidorienne allait à l’encontre de leurs intérêts. La liberté des prix retrouvée après la suppression de la loi du maximum général (4 nivôse an III, 24 décembre 1794) entraîna une flambée qui, ajoutée à de mauvaises récoltes et à un hiver très rigoureux, provoqua un sursaut des classes populaires

depuis la création du Tribunal révolutionnaire, le 10 mars 1793, jusqu'à la loi 10 juin 1794 qui en aggrava le caractère. Pour repousser les ennemis, le gouvernement décide une levée en masse (août 1793) qui lui permet de disposer de plus d’un million de soldats et de généraux brillants et efficaces comme Hoche, Jourdan ou Kellermann. Le gouvernement met en place une politique d’arrestation massive suite au vote de la loi des suspects le 17 septembre 1793. Toute personne suspectée d’être opposée

décembre 1793 (19 vendémiaire et 14 frimaire an II) : décrets sur le gouvernement provisoire et révolutionnaire. Mars-avril 1794 : Chute de Danton et des Dantonistes (et des Hébertistes). 27 juillet 1794 (9 thermidor an II) : Robespierre décrété hors-la-loi (exécuté le 28). Début de la convention thermidorienne. 21 février 1795 (3 ventôse an III) : Séparation de l’Eglise et de l’Etat. 22 août 1795 (5 fructidor an III) : Vote de la Constitution de l’an III ; décret des « deux tiers » (2/3 conventionnels