Loi de Prairial

insurrectionnelle de Paris ; ensuite : prise des Tuileries. Cette émeute fonde réellement le mouvement sans-culotte qui n’est plus seulement un mouvement populaire comme jusqu’alors mais un mouvement politique mobilisé qui dictera très largement sa loi jusqu’au 9 thermidor 94. ▪ Massacres de septembre, 31 mai et 2 juin 93, 5 septembre 93 (les SC imposent la Terreur) Troisième phase : la sans culotterie divisée est vaincue ▪ 9 thermidor : certaines sections se rallient aux robespierristes

état se sont accordés au moins sur un point, à savoir le besoin d'une unification des poids et des mesures. 17th Sep, 1793 La Terreur vote la "Loi des suspects" La « loi » est en fait un décret voté par la Convention nationale sur la proposition de Philippe-Antoine Merlin de Douai et de Jean-Jacques-Régis de Cambacérès2. Avant cette loi, par le décret du 17 novembre 1791, les prêtres réfractaires étaient présumés suspects. Ceux-ci ainsi que les parents d'émigrés furent chassés, emprisonnés

âges, on les affectait soit au conseil des anciens soit au conseil des 500. Une fois les députés installés, ils pouvaient commencer à travailler selon des règles précises. Les 500 proposaient les lois aux anciens, ils avaient l’initiative de la loi car on considérait qu’étant plus jeune ils avaient l’imagination de la république. Les anciens n’avaient comme fonction que d’approuver ou de rejeter les lois. Les anciens n’avaient aucun droit d’initiative ou d’amendement. Les anciens ont donc

s'en suit une libéralisation des prix et des salaires qui va conduire le peuple à la famine. Durant l'hiver de 1794 à 1795, le peuple de paris souhaite retourner sa colère contre la convention, ainsi, il organise les journées de germinal et de prairial afin de faire pression sur la convention. Cependant, les conventionnels thermidoriens, étaient beaucoup plus décidé à mettre fin aux exaction populaires que les précédents. Ainsi, la convention fait une nouvelle fois appel, à l'armée pour réprimer

l’immortalité de l’âme », et la loi de Prairial, dite de « Grande Terreur ». Il prend la Convention à témoin de ces dissensions le 8 thermidor an II, mais ne parvient pas à imposer ses vues. Le lendemain, empêché de parler par ses ennemis, alliés pour la circonstance aux modérés de la Plaine, il est arrêté avec son frère Augustin et ses amis Couthon, Saint-Just et Le Bas. La Commune entre alors en insurrection et le fait libérer, mais il perd du temps, et la Convention le met hors-la-loi. Dans la nuit, une

parmi les huit députés du Tiers Etats de l’Artois, il se rendit à Versailles, où il s'installa avec trois collègues. Il noua des relations avec Mirabeau, dont il fut quelque temps proche . Il se rapprocha également de Barère. Son discours contre la loi martiale du 21 octobre 1789 en fit l'un des principaux animateurs de la Révolution et la cible d'attaques de plus en plus acharnées de ses adversaires, particulièrement de son ancien professeur, l'abbé Royou, et l'équipe de journalistes des Actes des

réside dans l « universalité des citoyens » mais le suffrage est censitaire (5 millions d’électeurs au premier degré). On se méfie également du régime d’assemblée. Pour la première fois, le législatif est bicaméral. Le Conseil des Cinq-cents propose la loi, le Conseil des Anciens la vote. On recherche l’ordre et la stabilité, l’exécutif est réhabilité. Principe républicain oblige, cet exécutif est collégial. Le Directoire, composé de cinq membres nommés par les Conseils, dispose de prérogatives importantes

d’existence mouvementée, ne vécut sous l’empire d’aucun texte fondamental. Elle a élaborée au jour le jour, les règles constitutionnelles d’action politique profondément différentes suivant les périodes de son histoire. La Constitution d’un Etat est une loi fondamentale d’un Etat qui définit les droits et les libertés des citoyens ainsi que l’organisation et les séparations des pouvoirs politique (législatif, exécutif, judiciaire). Elle précise l’articulation et le fonctionnement des différentes institutions

-Tribunal révolutionnaire Le tribunal doit jugée rapidement. Pendant ce temps, La loi des suspects est votée (en septembre) : Elle dit que vous pouvez dénoncer n’importe qui, qui sera arrêté. Des innocents vont être arrêtés. C’est la terreur dans toute la France. La CSP envoie des représentants dans tout les départements pour rétablir l’ordre, ils ont aussi tout les pouvoirs. C’est une dictature provisoire. 2éme loi votée :Une levée en masse pour l’armée. Cela permet d’avoir une armée française

de répression contre les Contres-Révolutionnaire sont très dures et aboutissent souvent à la mort. · Des mesures économiques en faveur du peuple, avec une lutte efficace contre l'inflation notamment avec la mise en place d'une loi « La loi du maximum » qui va fixer un prix maximum pour les produits de consommation principales. · Des mesures contre les accapareurs (ceux qui accaparent le blé, lorsqu'il est bon marché pour le vendre