Loi du 20 novembre 1873

construction du système Il y a deux généalogies : ceux qui relèvent de l’histoire mais également l’apport théorique. §1 : la construction historique  Il faut voir comment était ce système avant 1873 et comment finalement la responsabilité s’est établie. A) L’ancien système d’irresponsabilité (avant 1873) La question était de savoir si l’état en tant que personne morales est responsable de ses actes et devait comme les particuliers en réparé les conséquences dommageables ? Est-ce que l’état était

en sont reconnaissant qui pur le remercier et l’honorer, ils décident de lui accorder le titre de Président de la République à travers une loi du 31 aout 1871, La Constitution Rivet (simple loi). Cette loi a des effets constitutionnels non recherché dans le sens qu’en l’absence d’une véritable constitution, elle consolide la République. Pour autant cette loi ne crée par une véritable fonction présidentielle car le titre de Président de la République n’est attribué qu’à Adolphe Thiers, c’est une récompense

sur deux éléments : - la responsabilité du Gvt devant le Plmt, et notamment dans les moyens de la mise en cause de la responsabilité gouvernementale par les députés et - la délimitation du domaine de compétence du Plmt (délimitation du domaine de la Loi). RÉGIME PARLEMENTAIRE : régime de séparation souple et d’équilibre des pouvoirs, dans lequel le Gvt est responsable devant le Plmt, caractérisé également par un exécutif bicéphale… CONTEXTE HISTORIQUE : Rationalisation du régime parlementaire

en France par l'Assemblée nationale entre février et juillet 1875 qui instaurent définitivement la Troisième République (auparavant, elle n'avait été qu'ébauchée par des lois qui répondaient à des problèmes ponctuels comme la loi Rivet, ou encore la loi du 20 novembre 1873, par exemple). La France a-t-elle réellement connut des régimes parlementaires, d’assemblée ou présidentiel depuis 1875 ? Nous allons pour ce faire étudier dans une première partie la mise en place et les causes de ces régimes

noblesse et le clergé. C'est le premier acte de rébellion amorçant la révolution. Ils s'attribuent donc le pouvoir administratifs et fiscaux (les impôts ne seront plus perçus). Le pouvoir fiscal appartenait aux institutions royales ou à la noblesse. Le 20 juin 1789, l'assemblé nationale constituante et les députés du tiers états prêtent le serment du jeu de paume (promesse de doter la France d'une constitution). Les députés reçoivent l'ordre de se séparer le 25 juin, ils refusent, c'est le refus d'obéissance

dictature. Elle a donc délégué, peut être cédé son autorité à des comités émanant d'elle ; surtout le Comité de Salut Public qui a en fait exercé la fonction gouvernementale de façon dictatoriale. - la dictature napoléonienne: Le 1er Prairial de l'an III (20 mai 1795), la Convention décimée et à bout de souffle refuse de mettre en application la Constitution de 1793. L'esprit est au compromis et au repos. Est décidée au contraire la mise en chantier d'une nouvelle Constitution qui va renforcer l'Exécutif

utiliser la garde nationale (créée pendant la Révolution française) parce que les hommes politiques estiment que cette garde est proche de la gauche révolutionnaire, et donc on s'en méfie, d'autant plus qu'à Paris est créé le comité de contrôle des 20 arrondissements, qui critiquent les défaites de la France. Le poids de ce comité est du avec les municipales de 1870, ce qui complique les choses. La situation se corse lorsque l'agitation se propage dans les autres villes françaises. Le principal mot

constitutionnel le 5 janvier 1875. Les efforts de rapprochement entre la droite modérée, le centre droit et centre gauche n’ont pas abouti. Le lendemain, Mac Mahon (un monarchiste), alors président de le République demande le vote en priorité de la loi sur la 2nde chambre (Sénat) en remettant à plus tard celle sur la transmissions des pouvoirs (21/01/1875). Le 21 janvier, le rapporteur Ventavon demande à ce que l’on trouve un compromis dans le provisoire. Une 2ème discussion reprend le 28

conflits 8 février 1873 l’arrêt Blanco qui dit l'idée de l’autonomie du droit administratif Concernant le conseil d’Etat - La cour européenne des droit de l’homme 28 septembre 1995 arrêt Procola vs Luxembourg a été saisit car dans le cadre d’une affaire concernant la légalité du règlement - La Cour EDH 30 juin 2009 arrêt UFC que choisir Cote d’or la cour européenne qui estime que le dédoublement du conseil d’Etat n’est pas contraire à la Conv. EDH - Cour EDH, 9 novembre 2006 l’affaire société

Une multitude d'arrêts du Conseil d'Etat et du Conseil Constitutionnel. Faites en une bonne utilisation! 1. Arrêts rendus par le Tribunal des Conflits TC, 8 février 1873, Blanco Fixe les principes fondamentaux du droit administratif en soulignant clairement l’autonomie du droit de la responsabilité administrative. La compétence du juge administratif provient de la nature du litige (litige en relation avec une gestion publique). TC, 9 décembre 1899, Association syndicale du canal de