Lois fascistissimes

A quoi servent les lois ? La loi est la source du droit par excellence d’où l’adage « nul n’est censé ignorer la loi » ; c’est une règle abstraite et permanente, elle tire sa force de l’article 6 du code civil : « On ne peut déroger, par des conventions particulières, aux lois qui intéressent l'ordre public et les bonnes mœurs ». La loi permet aux hommes de se maintenir au mieux dans la société, d’éviter tout débordement. La loi ne pardonne pas ; Dura Lex, Sed Lex : la loi

Depuis très longtemps, l’euthanasie a été un gros problème pour la société française. Certaines personnes n’hésitent pas à contredire les lois et à passer à l’acte eux-mêmes. C’est sur ce sujet que le présent dossier nous propose de réfléchir. Le premier document est un extrait d’un quotidien appelé « Quotidien du Médecin » écrit par Stéphanie HASENDAHL sur l’euthanasie qui continue de harceler la médecine française. Marie-Françoise MASSON nous démontre les divisions européennes par rapport à

Pourquoi doit-on obéir aux lois ? Plan : I : Analyse d’une société anarchiste II : Définition et rôles des lois ____________________________________________________________ _______________ I : Analyse d’une société anarchiste Sans lois, l’homme serait livré à lui-même. « L’homme est un loup pour l’homme ». Faire ce que l’on veut est synonyme de sauvagerie. L’homme, livré à lui-même, agirait selon ses pulsions. D’apres FREUD, l’homme est naturellement violent. ⇨ La loi

------ Par --------- ---------- Groupe : ----- Collège -------------- Le -------- - ------- 20-- Pourquoi et dans quelle mesure doit-on obéir aux lois? Depuis toujours, les hommes doivent respecter les lois qu’ils se sont donnés eux-mêmes. Par contre, il y a une problématique évidente dans le fait d’obéir à chacune de ces lois. N’est-il pas ridicule de respecter une loi qui est injuste si on entend par loi quelque chose qui est là pour créer la justice entre les hommes. Voilà l’enjeu

Les conflits de lois • Les règles de rattachement Dans cette matière centrale, qui concerne l'exercice de leurs droits par les sujets du droit international privé, il convient au départ de poser des règles dites de rattachement, c'est-à-dire déterminant la loi applicable aux différents types de problèmes. Ces règles ne sont pas nombreuses : il a déjà été indiqué que l'état et la capacité des personnes (mariage, filiation, protection des incapables) sont soumis à la loi nationale de la personne

plusieurs délimitations proviennent de 2 textes différents: A) Limitation structurelle genéraliser de la constitution: Il est souligné des le début que les compétences propres au conseil constitutionnel qui est saisie pour consulter la conformité des lois, sont "strictement délimitée par la Constitution". Cela sous entend que les capacités de révisions de ce conseil émane de la Constitution et que toute forme d'insurbordination n'est pas envisageable. Le conseil ne peut que exercer sa fonction avec

et de pirates * L’exercice de la justice peut également éviter les rêves idéalistes II. La finalité de la République procure le Bien commun (« la vraie félicité »)et la fin vers laquelle doit tendre le droit gouvernement est indiquée par les lois de nature * « Ce qui leur est commun » (entre le droit gouvernement et les ménages): la « félicité des hommes » est compatible avec la « félicité de la République » * La monarchie, forme de la République pour arriver au “plus haut point de

type d’obéissance remettant en cause la liberté ? Puis-je décider à mon gré d’obéir ou de ne pas obéir aux lois du déterminisme naturel ? Les lois de la nature ne me laissent pas le choix. Et les lois politiques et juridiques ainsi que les lois morales ne me mettent-elles pas, de la même manière, dans l’obligation de m’y soumettre ? Y a-t-il contradiction entre être libre et être soumis aux lois ? En d’autres termes, obéir, est-ce renoncer à sa liberté ?

proposition du Premier Ministre, le Président de la République nomme les autres membres du Gouvernement et met fin à leurs fonctions. Le Premier Ministre nomme également aux emplois civils et militaires de l'État. Le Président de la République promulgue les lois dans les quinze jours qui suivent la transmission au Gouvernement de la loi définitivement adoptée. Il peut, avant l'expiration de ce délai, demander au Parlement une nouvelle délibération de la loi ou de certains de ses articles. Cette nouvelle délibération

type d’obéissance remettant en cause la liberté ? Puis-je décider à mon gré d’obéir ou de ne pas obéir aux lois du déterminisme naturel ? Les lois de la nature ne me laissent pas le choix. Et les lois politiques et juridiques ainsi que les lois morales ne me mettent-elles pas, de la même manière, dans l’obligation de m’y soumettre ? Y a-t-il contradiction entre être libre et être soumis aux lois ? En d’autres termes, obéir, est-ce renoncer à sa liberté ? Obéir consiste à faire ce que veut, ce que