Lois fascistissimes

la réponse de Socrate. Après avoir examiné les conséquences de l'évasion de Socrate sur l'État, les lois lui font voir les conséquences funestes que créera celle-ci sur lui-même, ses amis et ses enfants. En premier lieu, l'évasion aurait un impact négatif pour lui-même car il perdrait toute crédibilité face au reste du monde, il se ridiculiserait et serait déshonnoré vu comme corrupteur de lois. En deuxième lieu, sa fuite serait néfaste pour ses amis, car ils risqueraient l'exil et la perte de

Est unilatérale la loi d'un état qui se borne à définir champ d'application de la loi du for. (ex 309civ sur divorce). A – Les fondements théoriques de l'unilatéralisme. Fondement publiciste. Niboyet (début 20e) : la règle de conflits de lois doit être unilatérale car son objet est de déterminer l'étendue dans l'espace du pouvoir législatif de l'État. Pour lui un état n'est pas légitime à fixer conditions d'applicabilité du pouvoir législatif étranger. Au nom pcp égalité souveraine,

la loi émane du pouvoir législatif. En France, ce pouvoir est partagé entre le parlement et le gouvernement. Et même s'ils écrivent et votent les lois, elle n'en demeure pas moins figée car des conflits de lois entre dans le doit avec l'évolution de la société. C'est pourquoi, il est important d'installé une certaine sécurité juridique afin que les lois s'adaptent au fonctionnement et aux mœurs de la société actuelle. La loi est un ensemble de règles et de codes qui régisse la vie d'une société et

résulte d'une pression que la société inflige à tous ses membres, sans que ceux-ci en soient toujours conscients. Mais cette dépendance est-elle une forme cachée d'esclavage ? La société ne nous protège-t-elle pas de la violence de la nature ? Les lois, les échanges, les rapports sociaux ne sont-il s pas nécessaires ? Ainsi la présence de l'Etat et des institutions politiques va venir limiter les oppressions dues aux contraintes nées de la vie sociale. Maintenant, peut-être faut-il distinguer des

est directement superieur. En france 1975 jacques vabre, on admet que les lois internat. Sont superieures aux lois internes. Interet: norme emanant des tout etat membre liant tout etat membre mais ne fixant que des objectif puisque chacun prend les dispos qu'il desire, depourvue d'effet direct car elle doit etre adaptée en droit interne I la directive face aux normes internes A directive, superieure face aux lois et aux sources internes il y a des directives peu contraignantes qui laissent

doit être négocié, signé et ratifié par les autorités compétentes. - Il ne doit pas être contraire aux dispositions de la Constitution Française. - Il doit être appliqué par les autres pays signataires. B) Place des traités dans les lois françaises Les règles juridiques qui organisent les rapports entre les ordres sont très diverses. Elles obéissent aux principes de hiérarchie c'est-à-dire que certaines règles sont supérieures aux autres. Il en résulte qu’une règle de

à son égard, la peine de mort ou d'exil. Les lois : • Les parties composant la loi : Une loi comprend trois parties proprement dite. Tout d'abord le préambule circonstanciel, ensuite le texte et enfin, les sanctions prévues en cas de manque. • Les catégories de loi : Selon le type de "sanctio" , il y a quatre catégories de lois : - Les lois imparfaites, qui ne prévoient aucune sanction pour ne pas heurter la coutume. - Les lois moins que parfaites, qui n'annulent pas l'acte

Sommaire Faut-il parfois désobéir aux lois ? 1. Caractère universellement contraignant de la loi 2. Désobéissance en fonction des circonstances 3. Désobéissance au nom d'autres valeurs Résumé de l'exposé La véritable liberté, affirme Rousseau, est l'obéissance à la loi qu'on s'est prescrite. De ce point de vue, il semble bien que je ne sois libre que si j'obéis à cette loi. Mais ne peut-on rencontrer des situations dans lesquelles ma liberté m'appelle au contraire à la désobéissance

DROIT PENAL - SEANCE 2 : LA LOI PENALE DANS LE TEMPS cas pratique. Le cas pratique soumis à notre réflexion repose sur le domaine d'application des lois pénales dans le temps, et plus particulièrement, les lois de fond plus douces. Le principe de rétroactivité de la loi pénale plus douce est définie par l'art 112-4 du Code Pénal. En 1940 l’arrière grand-oncle à tuer un enfant. 1942, il a été condamné à 7 ans de prison par la Cour d'assise. Et a échappé à la réclusion criminelle avec l'entrée

Questions : 1)Comment Socrate peut il juger injuste sa condamnation et juste son exécution? 2)Socrate est il libre ou esclave des lois? 3)Socrate est il la victime ou le juge? A quel point de vu est il celui qui subit, à quel point de vue celui qui agit? 4)En quel sens Socrate fait il ce qu'il veut, quoiqu'il arrive? Qu'est ce donc que vouloir en définitive pour Socrate? Réponses : Vos questions posent de vrais problèmes et montrent à quel point ce texte court est intéressant et complexe. Si Socrate