Lombroso

l’idée d’un libre arbitre. C.3. Ecole positiviste Cette possibilité de choix reconnue aux délinquants va en être combattue par une autre école : l’Ecole positiviste de la fin du XIX e S. Là encore des penseurs Italiens, juristes ou médecins tels que Lombroso, Ferri ou Gallo Faro. Cette école a eu des répercussions dans le monde entier, y compris la France, remettant totalement en cause le postulat du libre arbitre de l’auteur de l’infraction. Cette théorie qui puise sa source dans le positivisme d’Auguste

école : [pic]l’Ecole | | | |positiviste de la fin du XIX e S., avec là encore des penseurs Italiens, | | | |juristes ou médecins tels que Lombroso, Ferri ou Gallo Faro, et qui a eu des| | | |répercussions dans le monde entier, y compris la France, remettant | | | |totalement

en cela l’idée d’un libre arbitre. Cette possibilité de choix reconnue aux délinquants va en effet être combattue par une autre école : l’Ecole positiviste de la fin du XIX e S., avec là encore des penseurs Italiens, juristes ou médecins tels que Lombroso, Ferri ou Gallo Faro, et qui a eu des répercussions dans le monde entier, y compris la France, remettant totalement en cause le postulat du libre arbitre de l’auteur de l’infraction. Cette théorie qui puise sa source dans le positivisme d’Auguste

informations envoyées à la DAP) 24 juillet 1889. Loi sur la protection des enfants maltraités et moralement abandonnés. 10-17 août 1889. Exposition universelle à Paris. Second congrès international d’anthropologie criminelle Opposition entre Lombroso et l’école française, dite du « milieu social ». Exposition spéciale organisée au Champ-de-Mars par Louis Herbette, directeur de l’administration pénitentiaire. Idée de transformation de cette exposition temporaire en musée permanent des prisons

d'abord l'école positiviste, ensuite le mvt de défense sociale nouvelle. 1.l'école positiviste. L'école positiviste fut la première grande doctrine pénale moderne. Avec l'avènement de la criminologie , elle est apparue à la fin du 19° siècle. Lombroso fut à la fois le père de la criminologie et de cette école. Ses continuateurs les plus illustres, à cette époque là, furent les italiens Ferri et Garofalo et le français Lacassagne. L'acquis scientifique sur lequel se fonde cette école résulte

nouvelles 2 grandes doctrines s’appuyant franchement sur les données scientifiques ont successivement vu jour. 1) L’Ecole positiviste 1e grande doctrine pénale moderne. Elle est née avec l’apparition de la criminologie à la fin du XIXe. D’ailleurs Lombroso à qui on peut attribuer la paternité de la criminalité fut à l’origine de cette doctrine. Successeurs illustres : Enrico Ferri ; Garofallo, le français Lacassagne. Les acquis scientifiques qui sont les bases de cette école viennent des premières

avec laquelle elle va être présentée et appliquée. Il faut que le peine permette au délinquant de s’amender. Cette position a été remise en cause dans la seconde moitié du 19ème avec l’apparition de la criminologie avec 3 positivistes italiens : Lombroso, Ferri, Garofalo. Le postulat commun à ces trois auteurs est qu’il convient de délaisser l’idée de morale, de responsabilité : il n’y a pas de libre arbitre. Nous sommes tous déterminés et donc il faut déceler ce qui parmi nous sont, selon certains

communication. Il continue pour dire qu’il s’apprend surtout à l’intérieur d’un groupe restreint de relations personnelles. De cette affirmation, l’auteur veut montrer que le comportement criminel et délinquant n’est pas héréditaire comme le prétendaient LOMBROSO et autres tenants des théories biopsychologiques. Cette démarcation d’avec les théories traditionnelles semble importante parce qu’on a tendance à dire que les jeunes qui s’enracinent dans la délinquance, présentent de nombreuses carences

La sociologie est çà peine née, qu’elle est déjà coupée en deux : La socio théorique enracinée sur des théories politiques, c’est le cas de Durkheim et Weber, enracinée sur des conceptions biologiques, c’est le cas de la sociologie criminelle de Lombroso. L’autre temps est le 20e, avec un second auteur, Weber. En sus d’avoir donné la définition de l’Etat, il fut prof de droit et quitta sa profession pour se consacrer à la sociologie. Il est le premier théoricien de la sociologie à faire une enquête

qu’à partir d’un certain nombre d’indices, ils sont sûrs que telle personne va récidiver (méthode actuarielle). On va aboutir petit à petit au fait que le criminel est un malade et la criminalité une maladie (« le délinquant est un microbe social » LOMBROSO). 2.2 Concernant la sanction pénale À partir du moment où le criminel présente un état dangereux, il faut y mettre un terme et apposer des sanctions pénales capables de changer sa personnalité. Cela permettra sa rééducation, sa resocialisation