Longs Murs

gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l'horizon embrassant tout le cercle II nous verse un jour noir plus triste que les nuits; Quand la terre est changée en un cachot humide, Où l'Espérance, comme une chauve-souris, S'en va battant les murs de son aile timide Et se cognant la tête à des plafonds pourris; Quand la pluie étalant ses immenses traînéesLXXVIII - Spleen Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l'horizon

Alchimie poétique, S12- LL3 1ère « Spleen »(« Quand le ciel bas et lourd… »)Prépa : L.L .DST : Q + LL : Faire la correction puis LLIntroduction (Présentation générale : à développer) Charles Baudelaire est un poète de la modernité inclassable : ni tout à fait romantique, ni tout à fait parnassien et précurseur du symbolisme. Le recueil les Fleurs du Mal , publié en 1857, au titre oxymorique, évoque la quête d’un héros

l’abattement, l’accablement dans lequel cette crise laisse le poète.texteinterprétations, effets produits procédés Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercleSur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis,Et quede l'horizon embrassant tout le cercle Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits

LXXVIII. SPLEEN in Les Fleurs du Mal (1861) Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle I – QUAND LE CIEL, LA TERRE ET LA PLUIE… Sur l’esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Les trois premiers quatrains annoncent l’atmosphère pesante, Et que de l’horizon embrassant tout le cercle presque insoutenable qui plane.

, 1857. Spleen ( LXVIII) Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l'horizon embrassant tout le cercle Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits; Quand la terre est changée en un cachot humide, Où l'Espérance, comme une chauve-souris, S'en va battant les murs de son aile timide Et

« Spleen » Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l’esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que l’horizon embrassant tout le cercle Il nous verse un jour noir plus triste que les nuits ; Quand la terre est changée en un cachot humide, Où l’Espérance, comme une chauve-souris, S’en va battant les murs de son aile timide Et se cognant la tête à des plafonds pourris ; Quand la pluie étalant ses immenses trainées D’une vaste prison imite les barreaux, Et qu’un peuple muet d’infâmes

LXXVIII – Spleen Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercleSur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l'horizon embrassant tout le cercleII nous verse un jour noir plus triste que les nuits; Quand la terre est changée en un cachot humide, Où l'Espérance, comme une chauve-souris, S'en va battant les murs de son aile timideEt se cognant la tête à des plafonds pourris; Quand la pluie étalant ses immenses traînéesD'une vaste prison imite les barreaux, Et qu'un peuple muet

Tout su tout blanc corps nu blanc un mètre jambes collées comme cousues. Lumières chaleur sol blanc un mère carré jamais vu. Murs blancs un mètre sur deux plafond blanc un mètre carré jamais vu. Corps nu blanc fixe seuls les yeux à peine. Traces fouillis gris pâle presque blanc sur blanc. Mains pendues ouvertes creux face pieds blancs talons joints angle droit. Lumière chaleur faces blanches rayonnantes. Corps nu blanc fixe hop fixe ailleurs. Traces fouillis signes sans sens gris pâle presque blanc

Thucydide, la guerre du Péloponnèse P36/37 Intro : Thucydide DZNS la guerre du peloponeee retranscrit les paroles de Pericles à l’issue de la première année de campagne ( octobre novembre 431/30 ). La guerre n’a pas lieux entre octobre et janvier car les peuples n’ont pas les moyens de faire la guerre l’hiver. Pour Thucydide la guerre du Péloponnèse est causée par la volonté de d’athée de vouloir s’imposer aux autres. 3 affaires on declanche la guère du Péloponnèse : celle d’Epidamme, Potidée

LXXVIII - Spleen 1 Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l’esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l’horizon embrassant tout le cercle II nous verse un jour noir plus triste que les nuits ; 5 Quand la terre est changée en un cachot humide, Où l’Espérance, comme une chauve-souris, S’en va battant les murs de son aile timide Et se cognant la tête à des plafonds pourris ; 09 Quand la pluie étalant ses immenses traînées D’une vaste prison imite les barreaux, Et qu’un