Lorenzo Ghiberti

Renaissance ne différaient guère de ceux du Moyen-Age : il s'agissait avant tout de construire des églises et des palais. L'Italie en ajouta deux : la maison de campagne ou villa, et la place publique à ordonnance uniforme. les plans d'église. A San Lorenzo et à Santo Spirito, Brunelleschi reprend le plan traditionnel en croix latine, mais il fondit avec l'antique type basilical en revenant au principe de la nef couverte d'un plafond et bordée de colonnes, et lui ajouta une coupole sur la croisée. Dans

reprend sa place dans la société. Taille marbre, bronze. Se détache de l’architecture, devient autonome. œuvre par elle même, retour aux formes de l’antique, idéaux Grecs, réalité, réapparaît le nu. Développement des canons, idéaux, corps parfait. Lorenzo Ghiberti gagne le concours Florentin de talent contre Bruno Cecchi (perspective). Il gagne pour son exploitation nde l’espace. Haut relief sur porte, on passe la main derrière (différence avec le moyen relief). Il rend l’espace. Cecchi retourne à ses

cathédrale. Exemple de rose ou rosacé en vitrail. Le vitrail à la renaissance Les premières conceptions de vitraux à la renaissance sont probablement dues à Lorenzo Ghiberti pour la cathédrale de Florence : elles comprennent trois oculi au dôme et trois à la façade et sont réalisées de 1405 à 1445 par plusieurs artistes tels que Ghiberti, Donatello, Ucello et Andréa Del Castagno. La tradition gothique se maintient alors que l’impération autique des artistes de la reconnaissance se retrouve dans

Silpa Bhirasri, dont l’ancien nom était Corrado Feroci, naquit le 15 septembre 1892 à San Giovanni, Florence, Italie. Ses parents, Artudo et Santina, étaient commerçants. À la jeunesse, il apprécia passionnément des œuvres de Michelangelo et Lorenzo Ghiberti qui se trouvaient dans la cathédrale Santa Maria del Fiore. Il souhaita de suivre les pas de ces grands artistes alors que ses parents désirèrent la succession de Feroci à la direction des affaires de la famille. En effet, il eut le conflit parental

* la voûte en pendentifs introduite par Brunelleschi au portique de l'hopital des Innocents. Elle est constituée par la réunion de quatre pendentifs, ce qui lui lui donne la forme d'une calotte retombant en pointe dans les angles. (nef de San Lorenzo, Florence) * l'ornement : à base de motifs géométriques ou naturalistes * le bossage, que le Moyen-Age avait réservé à l'architecture militaire, fut introduit dans l'architecture civile. * le principe des ordres : les Grecs avaient

humanistes employés à la curie d'Eugène IV et suivit le pontife dans son exil à Florence à partir de 14342. Alberti découvre à Florence une floraison de talents qui méritaient une renommée égale à ceux de l’Antiquité : Brunelleschi, Donatello, Ghiberti, ceux-là même qui ouvrent la deuxième période dans les Vite de Vasari. La coupole élevée par Brunelleschi, « assez large pour couvrir tous les peuples toscans », est le symbole de cette science inventée sans maître et sans aucun exemple. Alberti

qui est au centre. Il y a un double abaque pour recevoir les arcades. Traitement inédit qui permet de recevoir avec plus de légèreté les charges. Il y a encore un jeu de bichromie, surface blanche et structure en pierre grise. • Basilique San Lorenzo de Florence Il y a à nouveau 3 nefs, avec une grande communication entre les éléments et encore un double abaque pour recevoir les arcades, transept avec coupole, plafond à caisson, chapiteaux corinthiens, etc. Ce plan est complètement basé sur l’agencement

méditerranéenne (Pline l'Ancien1, Pausanias le Périégète), l'Inde classique (Muni Bharata2, Abhinavagupta), la Chine ancienne (Xie He3, Su Shi4), l'Islam médiéval (Abu Nasr al-Farabi5), jusqu'à la Renaissance (Dante Alighieri, Cennino Cennini, Lorenzo Ghiberti, Leone Battista Alberti, Léonard de Vinci, Giorgio Vasari) ainsi que, depuis, dans les diverses traditions d'écrits et de propos sur l'art6, comme la critique d'art, les traités d'artistes, d'antiquaires, de voyageurs, etc. C'est dans le contexte

l'artiste prône la chasteté, voie majeure de la pénitence salvatrice. Il faudra attendre la fin du XIVème Siècle pour qu'un nouveau canon du corps féminin émerge; il s'illustre sur la Porte du Paradis du baptistère de Florence. (Annexe 13) Lorenzo Ghiberti est l'auteur de La Création d'Eve, entre 1425 et 1447. Le corps d'Eve apparaît plus souple, plus gracieux, quelque peu charnel. L'accent est mis sur l'abdomen, long et large. Les anges, qui jusque là n'avaient emporté au Ciel que la Vierge Marie

Godefroid de Claire (orf, sc) Guisto de Menabuoi (pt) Hildebertus (pt) Hugo d’Oignies (orf) Limbourg, Pol (ou Jean) de (pt) Limbourg, Hermann de (pt) Linthold (pt) Lorenzetti, Ambrogio (pt) Lorenzetti, Pietro (pt) Loyer, Gérard (orf) Maitani, Lorenzo (sc) Marti, Francesco (orf) Martini, Simone (pt) Matteo de Viterbe (pt) Nicolas de Verdun (orf, sc) Pisano, Andrea (sc) Pisano, Giovanni (sc) Pisano, Nicola (sc, arch) Pucelle, Jean (pt) Renier de Huy (sc) Sluter, Claus (sc) Villard de