Louis Kahn Lumiere

rythme et à l’organisation structurelle des poèmes. notre travail s’inscrit dans l’approche linguistique des formes poétiques. nous aurons recours aux nouveaux outils d’analyse, introduits ces dernières années par les travaux de michèle Aquien, Jean-louis Backès, Gérard dessons et Henri meschonnic, entre autres. l’apparition du vers libre (et déjà celle du poème en prose) a attiré l’attention ème sur l’importance de l’inscription du poème sur la page. les procédés typographiques me et la disposition

technologies nous permettent de presque tout mettre en œuvre, mais nous n’avons plus suffisamment d’idées. Des idées qui proviendraient de choses simples, fondamentales, élémentaires. Pour ça, il faut se poser la question « Que veut être le bâtiment ? » (Louis Kahn). Il ne faut pas se laisser influencer par les idées du passé si elles ne répondent pas à ce que le bâtiment veut être. (Trop souvent on s’inspire du passé sans que cela soit justifier. Ce que veut être le bâtiment peut être totalement nouveau et

Tadao Ando s’est basé sur plusieurs principes : La matérialité : ces murs puissants établissent une limite entre l’intérieur et l’extérieur. La tactilité : les murs rigides semblent doux, ils laissent entrer la lumière, le vent et le visiteur Le vide : à l’intérieur, seul la lumière et l’espace entoure les visiteurs. On s’y retrouve dans un espace vide. Dans ce pavillon, Tadao Ando choisit comme base des formes géométriques : le carré, le triangle, le cercle, des tracés parallèles ou orthogonaux

connue par Aristote (384-322 av. J.-C.), par le savant arabe Ibn Al-Haytham (965-1038) et par Léonard de Vinci (1452-1519) ; on peut la considérer comme l'ancêtre des appareils photographiques. Elle est constituée par une boîte fermée, étanche à la lumière, dont une des faces est percée d'un tout petit trou, le sténopé. L'image inversée d'un objet éclairé placé à l'extérieur devant le trou se forme sur la paroi opposée. Elle fut employée par de nombreux artistes, dont Giambattista della Porta, Vermeer

dans   sa   masse   technique.   Ce   principe   domine  jusqu’au  XIXe  siècle  puis  il  sera  repris  par  Louis  Kahn.   Ex  :  Adler  Haus,  1954  (construction  qui  reprend  les  services)              Kimbell  museum,  1966  (la  structure  fait  tout  :  de  la  lumière  jusqu’aux  circulations)     2. Le  plan  libre     L’espace  est  libéré  de  la  structure,  qui  est

projet de ville géométrisée et rectiligne. Il faut attendre la fin du XVIIIe siècle pour voir réapparaître la pensée utopique appliquée à l'architecture. La philosophie des Lumières, fondée entre autres sur une vision progressiste et optimiste de l'avenir, est propice à l'invention de modèles de perfection sociale. Etienne Louis Boullée, qui marque un goût pour les formes dépouillées et qui manifeste une remarquable grandeur de conception dans ses décorations intérieures (notamment celle de l'hôtel

rejoindre Paris. Cette expérience de l’architecture méditerranéenne et l'admiration qu'il voue à l’architecte Louis Kahn ont exercé une influence décisive sur son travail. Lauréat en 1978 du concours lancé pour la création du Musée, Roland Simounet conçoit un lieu empreint d’une certaine écriture méditerranéenne, mais aussi finement ancré dans une inspiration des pays du Nord. La lumière naturelle y occupe une place essentielle : différentes qualités d’éclairage sont rendues possibles par un système

simple Au vocabulaire correct mais usuel Aux lignes rythmiques discrètes Il préfigure l’esthétique classique L’« École lyonnaise » est le nom que l’on a donné à un groupe de poètes qui forment un cénacle de beaux esprits : Maurice de Scève, Louise Labé, Pernette du Guillet, Olivier de Magny Ils ne forment pas une école à proprement parler (ils n’ont pas de doctrine commune) mais un milieu culturel qui se caractérise par son ouverture d’esprit : ils apprécient tout ce qui enrichit leur formation

Utzon (1918-2008), qui a compris le potentiel offert par ce site spectaculaire dans la baie de Sydney. Les énormes coquilles sculpturales en béton qui forment le toit de l’Opéra de Sydney ressemblent à des voiles gonflées par les vents marins, la lumière et les ombres des nuages jouant sur leurs surfaces blanches brillantes. Utzon voyait le bâtiment comme une cathédrale gothique dont les gens ne se lasseraient jamais. L’Opéra de Sydney se projette dans la baie, avec en arrière-plan le quartier d’affaires

auteur de La Jeune Parque ; Pierre Louÿs (1870-1915), auteur de Aphrodite, mœurs antiques ; Louis-Ferdinand Céline (1894-1961), auteur de Voyage au bout de la nuit ; Oscar Wilde (1854-1900), auteur de Le Portrait de Dorian Gray ; Francis Jammes (1868-1938), auteur de Le Triomphe de la vie ; Maurice Maeterlink (1862-1949), auteur de Pelléas et Mélisande ; François Mauriac (1885-1970), auteur de Nœud de vipères ; Louis Pergaud (1882-1915), auteur de La Guerre des boutons ; Marcel Proust (1871-1922), auteur