Louis Xv Et La Contestation Parlementaire

Les prémisses de la réforme Maupeou Louis XV, arrière petit fils de Louis XIV, il eu une période de régence ( quelqu'un gouvernait à sa place, car il était mineur), son régent était le Duc d’Orléans. On l'appelle Louis le bien aimé, c'est une période ou il est plutôt populaire. À la fin des années 1750 jusqu'au année 1770 il est beaucoup moins populaire. Ce qui caractérise cette période c'est la monté de l'opposition des parlementaires contre Louis XV. Le parlement se bat contre la pouvoir absolu

sans séparation des pouvoirs B) Une organisation de la société en classes II) Les contestations A) L’épanouissement des idées des Lumières B) Une population qui se révolte La monarchie du XVIIIème siècle a connu beaucoup de difficultés liées à une prise de conscience de la population ainsi qu’à une faiblesse incontestable de la part du pouvoir. La monarchie absolue a longtemps été l’objet de contestations de la part du peuple et des érudits. Lorsqu’elle touchait à sa fin, elle était très

Parlements et parlementaires (1715-1789) Sous Louis XIV et depuis la Déclaration du 24 février 1673, les parlements étaient entrés dans le silence. Celle-ci leur enjoignait d’enregistrer immédiatement tout les actes royaux « sans aucune modification, restriction ni autres clauses qui en pussent surseoir ou empêcher la pleine et entière exécution », avant de présenter des Remontrances , qui ne pourraient d’ailleurs pas être renouvelées. Mais,peu après la mort du Roi-Soleil, le régent Philippe d’Orléans

1766) La querelle parlementaire est omniprésente sous le règne de Louis XV, et ce depuis la Régence. Si le Parlement de Paris est très agressif dès 1715, d'autres cours de province ne se manifestent qu’à partir des années 1750 ; le mouvement est de plus en plus important. C’est dans ce contexte d'agitation parlementaire que Louis XV prononce le discours de la Flagellation, le 3 mars 1766, dans le but de rappeler à l’ordre les Parlements. Louis XV, arrière petit-fils de Louis XIV, est roi de France

tout les pouvoirs sans partage. Il gouverne comme il l’entend puisque sa légitimité est suprême. Cette forme de monarchie absolue est très bien représenté par la phrase de l’ancien roi, Louis XIV, « c’est légal parce que je le veux » Celui-ci meurt en 1715 d’une gangrène laissant son arrière petit-fils Louis XV héritier du trône alors âgé de 5 ans et demi. Il laisse un royaume agrandi, un Etat renforcé, une administration plus efficace, un empire colonial aux potentialités immenses mais un royaume

monarque Louis XV prononcé lors de la séance du parlement de Paris du 3 mars 1766, séance dite « de la Flagellation ». On peut aussi nommer le discours de Louis XV « lit de justice », cela signifie que le roi est venu lui-même au parlement pour imposer sa décision. Le terme flagellation désigne un acte qui consiste à fouetter le corps humain avec un fouet ou autre objet y ressemblant, c’est souvent utilisé comme châtiment corporel religieux. Cela peut être vu comme une allusion à Louis XV qui est

fr/web/revues/home/prescript/article/mots_0243-6450_1995_num_43_1_1981 Daniel TEYSSEIRE0 Un modèle autoritaire : « la le discours de flagellation » « Compter, c'est savoir plus précisément, donc savoir mieux» Alphonse Dupront Le discours de Louis XV (cf. annexe) obéit à un laconisme qui n'a rien à envier à celui que, une trentaine d'années plus tard, on qualifiera de républicain, comme si, en France, le discours de l'autorité centrale se devait d'être bref et senti. Mais, c'est précisément

surtout comme capable de vaincre toutes les formes d'oppositions, qu'elles soient littéraires ou institutionnelles. Cependant nous verrons que non seulement la pratique du pouvoir absolue de l’état monarchique se heurte à des limites, mais que des contestations se multiplient à la veille de la révolution. I) L’absolutisme monarchique A) La force de la monarchie absolue. Au XVIIe siècle, le développement constant de l’administration royale permet la croissance de l’État moderne et fait sa

conteste l'absolutisme royal par des idées nouvelles et surtout par une rébellion parlementaire. En effet, le Parlement ayant des attributions purement judiciaires en dernier ressort au nom du roi originairement, a de plus en plus d'importance au niveau politique, la monarchie le sollicite en cas de difficulté. Ainsi à la mort d’Henri IV en 1610, Marie de Médicis réclame le Parlement pour l’assister dans la régence. Louis XIV réussit à les museler en supprimant les remontrances préalables à l'enregistrement

l'édit de Louis XV de décembre 1770 introduisant la réforme du chancelier De Maupeou. Celui-ci fut premier président du Parlement de Paris lorsque son père démissionna de 1763 à 1768. Il fut aussi Garde des Sceaux à partir du 18 septembre 1768 à 1774. Il fut grâce aux différentes crises et affaires médiatiques, et surtout grâce à la confiance de Louis XV, l'homme fort au service de la monarchie. Louis XV fut roi de France du 1er septembre 1715 suite à la mort de son arrière grand-père Louis XIV, mais