Lucrèce De La Nature Des Choses

SHAKESPEARE Introduction William Shakespeare, largement considéré comme le plus grand poète, dramaturge et écrivain de la culture anglo-saxonne, est réputé pour sa maîtrise des formes poétiques et littéraires; sa capacité a présenter les aspects de la nature humaine est souvent mise en avant par ses amateurs. Origine de la culture occidentale, Shakespeare continue d’influencer les artistes du monde d’aujourd’hui. Il est traduit dans un grand nombre de langues et ses pièces sont régulièrement jouées

assez vite, et Machiavel en connaîtra sept au cours de sa vie. En 1500, celui qui est au pouvoir est Alexandre VI Borgia, le plus célèbre des « papes de la Renaissance », et nous reparlerons de lui. Les fonctions de la religion n’étaient pas de nature à moraliser les mœurs et la politique. La pratique religieuse populaire était peu consistante, fondée sur un culte quasi-idolâtrique des images et des objets de piété. Les bourgeois les plus riches tentaient de se constituer un trésor de l’âme, une

Fiche pédagogique Le parti pris des choses de Francis Ponge SOMMAIRE Introduction Fiche 1 › Le parti pris des choses : un objet poétique d’un genre nouveau Fiche 2 › Les choses et les mots Fiche 3 › La fin du lyrisme ? p. 1 p. 2 p. 7 p. 10 Fiche pédagogique conçue et réalisée par Hélène Bernard, certifiée de lettres modernes, professeur de français dans un lycée de la région parisienne. Elle est l’auteur de nombreuses fiches pédagogiques, notamment celle sur Un barrage contre le Pacifique de Marguerite

Fiche pédagogique Le parti pris des choses de Francis Ponge SOMMAIRE Introduction Fiche 1 › Le parti pris des choses : un objet poétique d’un genre nouveau Fiche 2 › Les choses et les mots Fiche 3 › La fin du lyrisme ? p. 1 p. 2 p. 7 p. 10 Fiche pédagogique conçue et réalisée par Hélène Bernard, certifiée de lettres modernes, professeur de français dans un lycée de la région parisienne. Elle est l’auteur de nombreuses fiches pédagogiques, notamment celle sur Un barrage contre

en désaccord avec la béatitude ; mais regarde-le toujours comme possédant tout ce que tu trouveras capable d'assurer son immortalité et sa béatitude. Car les dieux existent, attendu que la connaissance qu'on en a est évidente.6 Mais, quant à leur nature, ils ne sont pas tels que la foule le croit. Et l'impie n'est pas celui qui rejette les dieux de la foule : c'est celui qui attribue aux dieux ce que leur prêtent les opinions de la foule. Car les affirmations de la foule sur les dieux ne sont pas

au contraire est unique, elle est immuable éclairée par le bien suprême (soleil). Toutes les vérités se valent-elles : absurdité du raisonnement, si toutes les vérités se valent il n’y a plus de vérité possible. « Si l’homme est la mesure de toutes choses » (Protagoras), ce qu’il dit est infirmé-> absurdité. Texte de Platon (p117). La vérité de Protagoras n’est vraie pour personne, pas même pour lui. L’opinion diffère donc de la vérité. 2- Vérité et raison : La raison doit être un guide sûr pour

son de l’épinette (petite clavecin) pour ne pas le brusquer et à l’âge de 7 ans, il parle couramment le latin ! Il réussit brillamment à l’école, se passionne pour les auteurs et philosophes classiques comme Socrate, Plutarque, Sénèque, Virgile ou Lucrèce et qu’il découvre dans la langue originale.Plus tard, il étudie le Droit à l'Université de Toulouse et est nommé magistrat au tribunal de Bordeaux. C’est là qu’il se lie d’amitié avec un autre humaniste : Etienne de la Boétie, auteur du traité sur

sous le nom de «!bataille d’Hernani!», qui fit officiellement de Hugo le chef de file du romantisme français. Hugo illustra encore ses théories au théâtre, notamment avec des drames passionnés comme Le roi s’amuse (1832), interdit par la censure, Lucrèce Borgia (1833) ou Ruy Blas (1838), un de ses drames les plus connus.Le poète lyrique Sa renommée de poète lyrique était confirmée par la publication de divers recueils de vers. L’éclatante révélation de Hugo comme poète romantique date en effet de

"acquise") : c'est un principe inné. Enfin, si les maximes que je construis peuvent être déterminées par l'état de la société dans laquelle je vis (elle serait donc culturelle), la voix de la conscience est, elle, inscrite de la même façon dans la nature de l'homme : elle est naturelle. La conscience est un sentiment inné et naturel : en tant que telle, elle ne peut être qu'universelle. Il se peut donc que les maximes, forgées à l'aide de la raison, dans un contexte social déterminé, entrent en

à « la belle vie » (c'est-à-dire à la vie bonne) ? La réponse des Stoïciens et de Sénèque en particulier est la suivante : nul ne peut être heureux s’il n’affronte le malheur, s’il ne sait pas résister à ce malheur et pour cela, faire la part des choses entre le destin qui peut être cruel, et nos réactions par rapport à lui. Le stoïcisme est une sorte de désespoir lucide : quand on est en vie, on peut toujours être malade ; quand nous désirons, nous nous faisons du mal ; quand nous espérons, nous