Lycurgue

Les institutions politiques de Sparte Les institutions spartiates étaient dites immuables, mises en place par Lycurgue un personnage sans doute mythique dont l’histoire est inconnu. Cette immuabilité est confirmée par l’oracle de Delphes qui donne crée un document fondateur la Grande Rhetra. Ces institutions répondent à un objectif politique qui est : - finir avec les divisions familiales liées à l’existence des tribus -mettre en place un objectif militaire -contrôler les hilotes et les périèques

auxquels ont participés les européens, ainsi que le fait d’avoir plusieurs femmes possible grâce à leur réputation. Il compare cela à la Bible.Pour lui, ils n’étaient pas les mieux placés pour découvrir le nouveau monde, il prend l’exemple d’Aristote et Lycurgue qui auraient été subjugués par leur naïveté originelle. La quête de connaissance des européens les ayant rendus mauvais, pas les plus aptes pour juger les cannibales.La jeune culture innocente du nouveau monde et celle des européens se ressemblent

politiques à l’époque archaïque Tradition de régime aristocratique : le pouvoir des meilleurs, des familles traditionnelles Importance du rôle des législateurs : des hommes illustres qui rédigent les lois (exemples de Dracon et Solon à Athènes, Lycurgue à Sparte) Crises sociales récurrentes, difficulté de maintenir l’ordre et place laissée aux tyrans Tyrannie : régime d’un seul, mais différent de la monarchie : Origine aristocratique Opposition à l’aristocratie avec appui populaire (Démagogues 

hommes. 2. Les femmes athéniennes et spartiates Le modèle d'éducation des filles de l'autre grande cité grecque, Sparte, était radicalement différent. Les jeunes filles recevaient, en effet, une éducation physique et intellectuelle voulue par Lycurgue, créateur de la constitution spartiate, la grande Rhêtra. C’est lui qui créa également les lois sur l'éducation des garçons et des filles, la rendant obligatoire pour tous et toutes. La formation des jeunes filles étaient assurée dans le cadre familial

façon de gérer de l’archonte Sans doute publication des pièces. Théâtre de Dionysos : Il se situe sur une des pentes de l’acropole. Les gradins sont taillés directement dans le roc. Les vestiges reflètent le IVe siècle Reconstruit par Lycurgue 2 espaces : L’orchestra Aire circulaire en terre battue (27 mètres de diamètre) Autel de Dionysos au centre Espace où évoluent les acteurs et les choreutes Le theatron Public Bancs en bois disposés en gradin Parodos

lacédémonienne repose rarement sur des auteurs d'origine Spartiate. En l'occurrence, ces textes sont tous dus à des écrivains étrangers à Sparte, ici, Myron de Priène (IIIème siècle av. J-C) dans  « l’Athénée » et Plutarque (46-125) dans la biographie « Lycurgue ». Leurs écrits s’attardent sur les Hilotes, anciennement une population libre lacédémonienne, asservie en masse mais possédée individuellement par les spartiates : l’hilote a un maître, mais ce maître ne peut ni le vendre, ni le chasser, ni le maltraiter

Philippe II fit entrer Athènes dans le nouvel empire macédonien. La cité, qui demeura le grand foyer de la civilisation grecque, bénéficia jusqu'au IIe siècle av. J.-C. de nouveaux aménagements et de travaux d'embellissement menés sous la houlette de Lycurgue. Après la mort d'Alexandre le Grand en 323 av. J.-C. et le découpage de l'empire macédonien, la ville, encore sous domination des rois de Macédoine, sombra dans l'oubli. L'Acropole d'Athènes Conquise par le Romain Sylla, en 86 av. J.-C., Athènes

autres cités évitent quand elles le peuvent de les affronter. Nous parlerons donc dans une deuxième partie de l'éducation des jeunes et, nous finirons par les guerres où Sparte a pris place. 1 La hiérarchie de la cité Selon la légende, c'est à Lycurgue que l'on doit le système de gouvernement spartiate. Ce législateur aurait établi les sévères lois spartiates. Le gouvernement était composé : de 2 rois,issus des familles les plus puissantes, qui commandent l'armée; d’un sénat, la Gérousia, composé

supérieure aux autres cultures. Il fait cette condamnation en critiquant ouvertement des philosophes Grecs et remet en cause leurs propos « je me prends parfois à regretter que la connaissance ne nous en soit parvenue plus tôt […] je regrette que Lycurgue et Platon n’en aient pas eu connaissance ». Il estime que les plus grands penseurs Grecs de l’Antiquité n’avaient pas la connaissance, du moins pas celle du fonctionnement des peuples qu’ils considéraient comme « barbares ». Montaigne est également

sous la direction de Silène, sur le mont Nysa (ou Nyséion), en Thrace, c'est-à-dire, pour les Grecs, en Asie. Pour échapper à Héra, il est transformé en chevreau. Il mène une adolescence mouvementée : selon l'Iliade, il est d'abord poursuivi par Lycurgue, puis est fait prisonnier par des pirates tyrrhéniens, auxquels il n'échappe qu'en réalisant d'effrayants prodiges (Hymnes homériques). Son culte excite d'abord les railleries, et il doit châtier les filles d'Éleuthère ainsi que Penthée, roi de Thèbes