Lycurgue

Institutions Athéniennes : Lycurgue entre 338 et 326 gère les finances publiques de la cité d’Athènes. Il est à l’origine de nombreuses réformes comme celle concernant le service militaire (l’éphébie), il fait élever beaucoup d’édifices par exemple le théâtre de Dionysos, fait réécrire officiellement des grandes tragédies notamment celle de Sophocle ou d’Euripide. On voit ici qu’il a participer à la vie culturelle d’Athènes. (Universalis, « LYCURGUE (~390 env.-~324) », Encyclopædia Universalis

singulières. Quand vous voyez, dans la Vie de Lycurgue, les lois qu'il donna aux Lacédémoniens vous croyez lire l’Histoire des Sévarambes. Les lois de Crète étaient l'original de celles de Lacédémone; et celles de Platon en étaient la correction. Je prie qu'on fasse un peu d'attention à l'étendue de génie qu'il fallut à ces législateurs pour voir qu'en choquant tous les usages reçus, en confondant toutes les vertus, ils montreraient à l'univers leur sagesse. Lycurgue, mêlant le larcin avec l'esprit de justice

ordres de l'architecture doivent m'être familiers, à savoir le style toscan, dorien, ionien, corinthien ainsi que le style composite. Je dois faire miennes et accepter comme référentielles les philosophies enseignées par les cinq grands initiés: Lycurgue; Solon; Pythagore; Socrate et Inri. Ces cinq pas me rappellent la lettre" P" comme " Persévérance" qui est la constance dans l'action, dans l'effort et dans la pensée. Elle est associée à la vigilance, qui figure dans le cabinet de réflexion. Et

en pleine évolution dans de nombreux pays du monde. Cette volonté qu’a l’homme d’être reconnu est très ancienne. A Sparte, cité célèbre de Grèce antique située dans la plaine de Lacédémone, le devoir avait une place capitale. Après les réformes de Lycurgue (VIIème siècle av JC), la cité s’est tournée vers un système militaire. On considère alors les hommes qui accomplissent leur devoir comme des « Homoioi » (des semblables). Le devoir durant l’Antiquité est intéressé, on ne veut surtout pas se démarquer

Diotime : accomplir des actions mémorables (Alceste, Achille et Codros ; 208d2-6), produire des œuvres artistiques « immortelles » (Homère et Hésiode; 209d1) et ordonner une cité, la rendre grande et glorieuse en lui donnant des lois magnifiques (Lycurgue et Solon ; 209d5-8). Nous voyons donc que ces trois façons d'atteindre à l’immortalité concernent l’âme humaine en ce qu'elle a d'actif : la raison pratique (actions, lois), par opposition à la raison théorique, et la création artistique (œuvres

larmonie du monde et qui permet l'autarcie de la cité. lactivité agricole est valorisé. il est meme un peu "sacré" car ya des dieux et deesse de la terre, des vignes, des oliviers, des recoltes,... a sparte la terre est collective car depuis la loi de lycurgue la terre est attribué de maniere egale a chaque citoyen de sparte. ce lot de terre que detient chaque famille spartiate sappelle le KLEROS qui doit étre identique. il est le symbole de legalité parfaite que la cité veut etablir. utopie paysanne.

connu en tant que professeur de rhétorique et écrivain. En effet en 393 avant J.C. Isocrate fonde une école de rhétorique qui devient vite célèbre, l'excellence de son enseignement attire de très nombreux élèves dont le futur stratège Timothé, Isée, Lycurgue ou encore Nicolès le roi de Chypre. Il y propose un cycle d'études « supérieur » qui dure trois à quatre ans et qui est fixé à mille drachmes, ce qui est onéreux puisqu'à l'époque un artisan qualifié percevait environ 360 drachmes par an. Isocrate

Philippe II fit entrer Athènes dans le nouvel empire macédonien. La cité, qui demeura le grand foyer de la civilisation grecque, bénéficia jusqu'au IIe siècle av. J.-C. de nouveaux aménagements et de travaux d'embellissement menés sous la houlette de Lycurgue. Après la mort d'Alexandre le Grand en 323 av. J.-C. et le découpage de l'empire macédonien, la ville, encore sous domination des rois de Macédoine, sombra dans l'oubli. L'Acropole d'Athènes Conquise par le Romain Sylla, en 86 av. J.-C., Athènes

« bâtards » de tout droit à la citoyenneté. De plus il faut avoir reçu une éducation spartiate, éducation unique en son genre que l'on appelle l'agôgé, qui reste pourtant très méconnue aujourd'hui encore et qui nous est rapportée entre autre par Lycurgue. Pour être citoyen il faut également participer aux syssities, qui sont des repas collectifs. Enfin il faut posséder un domaine, appelé Kléros, qui permet de financer les syssities. Ces conditions d'accès permettent de maintenir à l'écart certains

représentent pas plus du dixième des habitants de chaque cité-État puisque seuls les hommes libres sont citoyens, à l’exclusion des femmes, des esclaves et des métèques. Une telle approche caractérise à la fois l’Athènes de Solon et la Sparte de Lycurgue. Les philosophes grecs insistent sur deux dimensions plus particulières de la citoyenneté. D’une part chez Platon, il s’agit du fait de partager les mêmes valeurs. Dans la République, le citoyen est l’appellation commune de tous les hommes au sein