Législateur Et Principe De Non Rétroactivité

l’ordre social, ne peut être sanctionnée par le juge que si le législateur l’a visée dans un texte et interdite sous la menace d’une peine. Elle ne constitue une infraction que si et parce que la loi l’a prévue et punie. Nous avons les trois parties suivantes pour le traiter : le principe de la légalité de l’infraction (l’incrimination), les raisons justifiant ce principe de légalité et la conséquence de ce principe. Partie I : Le principe de la légalité de l’Infraction Dans notre Droit Pénal

chef d'entreprise peut-il bénéficier de la nouvelle loi ou pas ? Le principe d'application de la loi dans le temps, distinction entre loi de fond et de loi de forme. Il s'agissait d'une loi de fond, s'agissant des lois de fonds le code pénal distingue entre le caractère plus doux et plus sèvere de la loi. Si la loi est plus douce elle va rétroagir, ce principe a une valeure constitutionnelle. Le principe de non rétroactivité a une valeure constitutionnelle, reconnu dans une décision du 19 Janvier

ou elle est en vigueur. La règle de droit doit être appliquée chaque fois que les conditions de son application se trouvent réunies. Le caractère obligatoire et coercitif de la règle de droit. La règle de droit comporte un commandement et non pas un simple conseil ou une recommandation pour observer ces prescription. Le commandement de la règle de droit prend la forme d’un ordre ou d’une défense (= interdiction). Le caractère obligatoire de la règle de droit la distingue des autres règles

française. Il s’agit d’une séparation directe des pouvoirs qui interdit à chacun des pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire d’empiéter sur les autres. Ainsi le juge judiciaire ne peut pas juger l’administration ce qui explique qu’en 1790 le législateur ait créé des juridictions administratives. Depuis cette date, le droit privé relève du juge judiciaire avec à sa tête la Cour de cassation et le droit public relève du juge administratif avec à sa tête le Conseil d’Etat. En cas d’hésitation entre

accessible au juriste comme au non juriste.  le droit est animé par la justice : exemple article 1382. (responsable de sa faute). Mais finalité du droit n’est pas la recherche du juste. Ex : le droit sanctionne la liaison dans les contrats, mais, cette sanction du déséquilibre est très limitée, elle ne vaut pas pour la vente de meubles.  le droit exige de tout connaitre par cœur. Le bon juriste reste celui qui sait raisonner.  le droit fonctionne sur le schéma Q/R. non car le juriste serait

positif. Ainsi peut on se demander si la coutume qui n’émane pas d’un corps constitué mais de simples pratiques populaires est elle une source de notre droit ? De même, au Maroc la religion n’étant pas séparée de l’Etat, peut on considérer les principes traditionnels du droit musulman comme des sources de droit ? Pour répondre à ces question, nous serons conduit à distinguer à travers deux chapitres, les sources traditionnelles et les sources modernes du droit marocain. CHAPITRE I : SOURCES TRADITIONNELLES

ce principe interdit au juge de s'initier dans la fonction législative en posant des règles générales et obligatoires. L'article 5 CC énonce en effet qu'il est défendu au juge de se prononcer par voie de disposition générale et règlementaire sur les causes qui lui sont soumises => Interdiction des arrêts de règlement. Le juge, ne peut donc pas créer une règle générale et abstraite applicable à tous les cas analogues, il peut énoncer une règle applicable au cas qui lui est soumis. principe de l'autorité

droit français, vous pouvez partager vos connaissances juridiques en le modifiant, vous pouvez également faire une recherche dans le moteur... Recherche en droit français ‎ France > Droit privé Le principe de l'effet immédiat de la loi nouvelle permet, avec le principe de non-rétroactivité, de résoudre les conflits de loi dans le temps. Son énoncé est simple mais son application soulève des difficultés pratiques en raison du fait que la loi nouvelle aura vocation à s'appliquer à des actes qui

pénal de fond (procédure) Découpé classiquement en deux : le droit pénal spécial et général. 1) Le droit pénal spécial Renvoie à l’étude de chaque infraction pénale prise une à une : on étudie, par exemple le meurtre, en le découpant : il faut non seulement l’intention de tuer, et donner la mort à autrui. Cela sert à donner le périmètre de l’infraction. Quel comportement constitue un meurtre, quel comportement ne constitue pas un meurtre. Le droit pénal spécial renvoie à de nombreuses capacités

manière générale et impersonnelles. Ces règles s’appliquent donc à ttes les personnes. Exemple 1382 du Code Civil : Y dispose tout fait quelconque de l’homme qui cause à autrui un dommage oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer. = principe de la responsabilité civile délictuelle. Objectif de cette règle : chercher à règlementer la conduite de l’homme. L’homme ne doit pas causer de trouble à la société, cad qu’il ne doit pas nuire à autrui. De tels dommages constituent un trouble à