Légitimité Des Syndicats Représentatifs

un affaiblissement syndical ? Dans les pays les plus développés de l’hémisphère nord, la réponse à cette question semble axiomatique : chute de l’effectif syndical, flexibilisation du cadre réglementaire, affaissement de l’influence politique des syndicats, incapacité structurelle de répondre à la mobilité géographique et financière du capital, panne dans l’expression des valeurs traditionnelles véhiculées, difficulté manifeste de rejoindre les forces vives des nouveaux mouvements sociaux. Cette lecture

Cette extension du champ est favorable aux salariés mais elle contribue aussi à distendre le lien fort entre négociations collectives et conflits collectifs qui existe depuis longtemps. Cette loi limite aussi les négociateurs : seuls les syndicats représentatifs peuvent conclure des accords collectifs même les accords insusceptibles d’extension. Cette loi retouche aussi la procédure d’extension en l’assouplissant. -loi du 13 novembre 1982 : une des lois AUROUX qui sont les 1eres réformes sociales

Section 1 LA PRESENTATION SYNDICALE La loi du 14 et 17 juin 1791 a interdit les syndicats. Cette loi a fait écho à la peur des pouvoirs parisiens devant l'agitation ouvrière. La loi a exprimé l'hostilité aux corps intermédiaires. Les citoyens sont égaux entre eux devant l'Etat, c'est le prix de la démocratie si l'on veut éviter le retour des castes et des corporations de l'Ancien Régime. Les syndicats sont ainsi restés interdits pendant la majeure partie du XIXe siècle. Mais la repression

management. C/Partis politique et groupe d’intérêt. -Attente sociale et politique. Traduire sur le plan politique. Distinctions(Leur but. 1/Les partis politiques ont une ambition universaliste. Leur but est de conquérir un mandat électif ; leur légitimité repose sur le potentiel de voies qu’il récolte et sur le nombre de mandats conquit. Universaliste(Phénomène que les partis politiques, s’ils veulent un mandat : s’adresse aux plus grands nombres donc aux catégories sociales différentes(ouverture

sont des organisations qui tentent de prendre en compte les attentes sociales d'une société. Cependant, ces deux organisations n'ont pas les mêmes buts ni les mêmes moyens d'action. 1) Les partis politiques aux ambitions universalistes. La légitimité des partis politiques repose sur le nombre de voix qu'ils représentent et plus encore sur le nombre de mandats électifs qu'ils veulent atteindre. Pourquoi parle-t-on d'universalité? ** Les partis politiques doivent s'adresser au plus grand nombre

Les syndicats et la reprÉsentation des salariÉs Introduction I. ORGANISATION….…………………………………………………2 A- Histoire……………………………………………………………….3 B- La création d’un syndicat……………………………………….……3 C- Principaux syndicats : Syndicat patronal & Syndicat des salariés…...4 II. LES APPLICATIONS D’UN SYNDICAT…………………………6 A- Leur rôle……………………………………………………………...6 B- Les moyens d’actions syndicaux……………………………………..7 III. LES SYNDICATS DANS LE MONDE AUJOURD’HUI………

peut faire est d’essayer de construire des typologies. Essayer d’identifier un certain nombre de facteurs importants ou la combinaison de certains facteurs. Modernité politique : pas d’étapes figées mais un processus, réfléchit au changement de la légitimité du pouvoir. Il va réfléchir 3 idéaux-types de la domination : charismatique (croire que des individus ont des qualités sacrées…), traditionnelle, légale-rationnelle (règles fixées, écrites, normes impersonnelles qui vont définir la compétence du

Les syndicats sont-ils encore légitimement influents ? Catherine Panassier- Juin 2007 Résumé Dans la conscience collective, l’histoire des syndicats se conjugue avec les longues et douloureuses luttes des ouvriers. Et bien que les syndicats soient autorisés en France depuis la loi du 21 mars 1884 de Waldeck-Rousseau, ce sont surtout les grèves de 1936 qui ont marqué les mémoires. À la fin de la deuxième guerre mondiale, la pression des syndicalistes permet d'obtenir des transformations fondamentales

est à noter qu’aujourd’hui un seul « syndicat », représente les diffuseurs bien qu’il refuse de se plier à ses obligations légales en matière de publication de ses comptes. Par ailleurs il ne communique pas le nombre de ses adhérents et les diffuseurs ignorent, de ce fait, d’où celui-ci tient sa légitimité et pourquoi les messageries n’acceptent que ce seul interlocuteur qui ne les consulte jamais, ne les informe qu’après coup, et se prétend représentatif. 3/ Une réglementation inadaptée.

la démocratie représentative à la démocratie participative capable de revivifier l’idéal démocratique dans un Etat parlementaire. Or, un Etat parlementaire est un « Etat où l’organe central à qui parviennent les instances et les décisions est représentatif »1. Voilà donc un premier faux-semblant démonté : la démocratie participative est loin d’être un système préconçu comme solution pour nos Etats parlementaires en crise de démocratie – elle est se voit comme un nouvel ère d’expression de la démocratie