Légitimité Des Syndicats Représentatifs

qu’elles dépassent une certaine gravité. On observera que s’il y a, dans cette première hypothèse, interdiction de recourir à l’outil disciplinaire c’est parce que celui-ci tend potentiellement à remettre indirectement en cause l’exercice d’un mandat représentatif dont les contours sont fixés par la loi. En revanche, la nouvelle forme d’immunité disciplinaire dont il sera parlé ici consiste à protéger des salariés qui ne sont investis d’aucune fonction élective ou syndicale et qui décident d’eux-mêmes de

trouver des personnes déterminées à obéir à un ordre. Dans la domination on a une obéissance consentante car on considère que celui qui donne l’ordre a la légitimité de donner l’ordre. Cela repose sur l’acceptation des ordres reçus au nom de la croyance dans la légitimité du pouvoir. Il faut le consentement de celui qui obéit ( citoyen ) et la légitimité de celui qui commande (élection). Cela permet de comprendre le fonctionnement de l’Etat car le pouvoir politique repose surtout sur le consentement des

y a 3 temps : celui du deuil (toucher par la guerre), celui de la justice (épuration, procès de Nuremberg) et celui de la mémoire (commémoration). La 2ème guerre mondiale est un épisode clé car les 2 régimes politiques qui suivent tirent leurs légitimités de la résistance (IVe et Ve République). La vie politique a-t-elle été renouvelée et comment la France se relève de ses ruines puis comment l’Etat se reconstruit ? I) La libération et la fin de la guerre (1944-1945) A) La libération La libération

Le pouvoir institutionnalisé. Il y a trois types de légitimité différents. Cette classification a été mise en évidence par un sociologue allemand, Max Weber dans Le Savant et le politique en 1919. 1) Le pouvoir traditionnel et la légitimité traditionnelle. La survie du groupe repose sur le respect de traditions, de coutumes. C’est le pouvoir qu’exerçait autrefois le patriarche ou le seigneur (dans le système féodal). La légitimité dispense de recourir à la force, elle s’acquiert par la

l’employeur, notamment en matière de carrière et de fixation des salaires. On touche là à des domaines qui sont également au cœur des préoccupations des chercheurs qui se consacrent aux relations industrielles. Si la théorie économique relative aux syndicats constitue un domaine d’analyse déjà ancien, la théorie des négociations salariales s’est essentiellement développée au début des années 1980. Auparavant, ces dernières faisaient essentiellement l’objet d’études descriptives ou institutionnalistes

3 d’Economie et de Gestion Université de Nantes Promo 2012-2013 Groupe 2 FRANCES Pierre GOUY Marion GUYOT Amy LANDEZ Bérénice LE BIEZ Jean-Guillaume 0 Introduction p3 1ère Partie : Les différents protagonistes I- Les syndicats en France et leur organisation p4 II- Présentation des entreprises p6 2ème Partie : Le manager, un rôle stratégique dans l’entreprise I- Le type de leadership p8 II- La définition du rôle de manager p9 III- Les

a le droit d'enrôler ses citoyens lorsqu'elle est en danger. Faute d'envisager des cas tels que la guerre, la théorie libérale des droits naturels s'interdit de penser le rôle de l'État (dont la version extrême libertarienne conteste du reste la légitimité) dans les relations internationales. Inversement, l'utilitarisme libéral peut courir le danger grave de justifier les raisonnements du type la fin justifie les moyens. Jusqu'où a-t-on le droit de sacrifier le bonheur de certains au bonheur du plus

autonomie et délègue certains de ses pouvoirs à un organisme central, dit fédéral. Les membres participent collectivement et non individuellement aux décisions. Le fédéralisme s'applique aussi bien à des Etats qu'à des groupements ou associations (ex : syndicats, partis politiques, mutuelles...). Dans le cas d'un Etat, les compétences législatives, juridiques et administratives sont partagées entre un gouvernement fédéral et des gouvernements de collectivités ou d'Etats fédérés. Exemple : Etats-Unis d'Amérique

Toutefois, l’état n’est pas le seul à détenir ce pouvoir d’édiqueter des règles de droit. Ce pouvoir de produire des décrets, du droit est le pouvoir normatif. Ainsi par ex, une convention collectives passée entre l’état et les syndicats, c’est du droit. Ce pouvoir appartient aussi aux personnes privées, aux particuliers qui s’engage par contrat. Le contrat, les conventions collectives, c’est du droit. En revanche, l’état est le seul capable de sanctionner la violation

certaine influence et, suite aux accords de Grenel : la mise en place du SMIC a été accordée, le législateur a reconnu un droit à la formation professionnelle au bénéfice du salarié, une loi sur le licenciement économique et la possibilité pour les syndicats de désigner des représentants dans l'entreprise. Paragraphe 3: De 1974 à nos jours Il y a eu un premier phénomène d'alternance politique surtout à partir de 1981 qui a amené au pouvoir des gouvernements et parlements qui avaient des idéologies