Macrocosme

penseurs de cette époque s'intéressaient aussi bien aux lois qui régissent l'univers qu'à celles qui régissent les sociétés humaines. La politique était à leurs yeux indissociable de la cosmologie. La ressemblance entre le macrocosme et le microcosme allait de soi. Le macrocosme c'était l'univers, le microcosme c'était tantôt la Cité, tantôt l'âme humaine. Cette intelligence qu'Anaxagore voyait à l'oeuvre dans le cosmos, Périclès s'efforça de la faire régner sous la forme de la justice, dans la cité

à la polyphonie. Au sein d’une culture romanesque riche d’un point de vue idéologique, le narratologue observe « la langue nationale littéraire » non pas comme un système linguistique fermé, mais comme « un microcosme organisé [qui] reflète le macrocosme du polylinguisme » (), lequel prend naissance de la confrontation de plusieurs langues qui « se sont reconnues les unes les autres » () pour former une unité. Autrement, « le polylinguisme » se pointerait dans une œuvre romanesque, quand le personnage

exprimé, certes, mais il est sous entendu. Steiner nous explique pourquoi l’évolution de la société humaine est limitée. Cette première phrase d’explication affirme une véritable dualité du monde (« autre ») que l’on retrouve aussi bien dans le macrocosme de l’univers (« en dehors de l’homme ») que dans le microcosme de l’homme (« en lui »). ➢ « Appelez-le comme vous voudrez : un dieu caché ou méchant, la destinée aveugle, les sollicitations de l’enfer, la fureur bestiale de notre sang » : cet

12/2008 Support médiatique – « Devoir d’Enquête » La Une Rédaction d’une dissertation sur un thème imposé et dossier documentaire fourni Depuis l’aube des Âges, l’humain a cherché à maîtriser les éléments. Dont leur décès ! Mais contrôler le macrocosme dont il subit les influences, implique inévitablement connaître son microcosme, et le « γνῶθι σεαυτόν » socratique n’est dès lors plus étranger à la médecine ! Visiter cette incroyable mécanique fut pour les Humanistes un moyen tangible d’entrer

our quest for something else that reaches beyond material life. Knowledge, wisdom, harmony, beauty, that quest has to do with the very pulsation of life within us – feeling it, expressing it, sharing it –, our correlation, and our link, with the macrocosm. Words, dance, music, painting – the vocabulary may be different, but all are expression, creation, and art; they stem from the same basic need to rise above our physical condition, and they all give us a unique feeling of elation and fulfillment

évoluer et conserver la destinée de leurs parents. > Cadre spatio-temporel : comparaison avec la nouvelle de La Parure. Le cadre spatial ne se déroule pas à Paris mais en province. Ce que l’on nomme un microcosme (le village de Mercoeur) dans le macrocosme de la province. Scènes intimistes, fermées, cloaques. Cadre temporel peu explicite mais des indices nous amènent à penser qu’il s’agit de la seconde moitié du XIXe siècle : évocation des francs, de la tannerie, vocabulaire/jargon de l’époque dans

esprit soit dans un état tranquille qui favorise la création ? » A savoir qu’une peinture chinoise ne se limite pas à un simple objet esthétique, néanmoins elle tend à la réalisation d’un microcosme vital (ex : l’homme) sur la toile, à la manière du macrocosme (la mutation de l’univers). L’ouvrage pictural a ainsi pour objectif de manifester les structures internes de ce système de pensée et de mettre en pratique cette philosophie. Bref, la cosmologie chinoise prend une place primordiale dans l’art pictural

figures (métaphore et hyperbole). Hyperbole (très grand : appel à l’amplificatio). Métaphorisation, création poétique régie par le principe de plaisir. Nez baroque, protéiforme (à la fois Circé et le Paon) : spirale et aspect totalisant (microcosme/macrocosme) : les référents sont empruntés à tous les domaines du monde connu au 17es, terre (pic…), Mer rouge, fruit, légume. Passage de l’objet réel (utile et risible) à la chimère (envol de l’imagination). Rire d’admiration (Descartes). Catégorie esthétique

peindre et modeler des statues. L'anatomie lui sert enfin à concrétiser le concept de « corps de la Terre ». A ses yeux, du moins à une certaine période de sa vie, il y a similitude entre le corps de l'Homme ( microcosme) et celui de la Terre ( macrocosme)-par exemple, le cours d'eau qui se jette dans le fleuve, puis du fleuve dans la mer, est assimilé par Léonard à l'écoulement du sang dans les veines-, et il entend, la dissection, vérifier cette relation. Son implication dans l'anatomie regroupe

nature » l.44. Cependant la présence d’une divinité créatrice et ordonnatrice du monde est suggérée par l’évocation d’une organisation (possibilité d’une analyse de l’infiniment grand et de l’infiniment petit, idée d’une correspondance entre le macrocosme et le microcosme), et par l’évocation d’une instance supérieure qui serait à l’origine de cette organisation : • « Ce petit cachot où il se trouve logé », « le néant d’où il est tiré » : l’emploi de formes passives suggère à l’inverse une instance