Madame du Deffand

Intellectual currents Pure and applied science Literature and ideas Digesting the Revolution Throne and altar History Catholicism and the Right Positivism Socialism and the Left Ideas and literature Aesthetic doctrines The growth of schools Chateaubriand Madame de Staël Romanticism Schools of poetry The Parnassian school Baudelaire Symbolism: the first phase xii CONTENTS Décadisme The Symbolist movement The evolution of Symbolism Post-Symbolism The Symbolist revolution Schools of fiction Balzac Realism

passer couleur lumière fleuve patte coup lundi fois pauvre couper lune fond payer (la)cour lycée force pays courir forêt penchant (le)cours M forme panser coûter former perdre couvrir ma, mon, mespère fort crayon machine frais permettre crier franc madame personne croire français mademoiselle peser cueillir frapper magasin petit cuisine magnifique peu frère cycle froid mai (mois) peur cycliste main fruit peut-être cylindre (la)fumée maintenant photo mais furieux phrase D maison fusée pièce maître fusil

Bien entendu, celui-ci ne devait pas s'imposer sans résistance; le clavecin eut des défenseurs convaincus, qui trouvaient un argument facile dans le timbre réellement affreux du piano primitif, cet "instrument de chaudronnier" (Voltaire à Mme du Deffand, 1774). Taskin ayant eu l'honneur de toucher le premier le piano aux Tuileries devant la Reine, Balbastre lui tint ce propos souvent cité: "Vous aurez beau faire, mon ami, jamais ce nouveau venu ne détrônera le majestueux clavecin". Le chanoine Trouflant

occuper sérieusement des hommes ». Ces dénonciations, toutes morales, se trouvent dans un livre peu connu de l'économiste écossais, La Théorie des sentiments moraux2, mais aussi, c'est plus surprenant, dans la fameuse Richesse des nations3. Mme du Deffand, qui tenait l'un des plus brillants salons littéraires du xvme siècle, se plaignait dans sa correspondance du «vide que l'on trouve dans tous les objets dont on est environné4 ». Le terme de « colifichets » sera repris par Rousseau, l'un des premiers

de l’Homme se diffusent dans la société, comment ils sont formulés ailleurs que dans les grands textes de référence que sont les traités philosophiques et les articles politiques de l’Encyclopédie. qui tenaient ces salons : Mme Geoffrin, Mme du Deffand, Mme d’Épinay, Mme Necker, Mme Roland… 2. Bien que dépourvues de droits civiques, mais actives surtout pendant les premières années de la Révolution, les femmes du peuple parisien constituent un puissant groupe de pression. Elles se rendent en cortège

mémoire de maîtrise de l’auteur, intitulée Littérature et démonisme (et présentée en 1999, à la Faculté des Lettres et de Théologie de l’Université « Ovidius » de Constanţa), cette thèse de doctorat (rédigée entre 2001 et 2006, sous la direction de Madame le Professeur Docteur Irina Mavrodin, et soutenue en séance publique le 14 juin 2007, à l’Université de Craiova) se propose d’ouvrir une nouvelle perspective de lecture approfondie sur l’ensemble de l’œuvre poétique baudelairienne, basée sur la mise

issues de la bourgeoisie, lettrées et disposant de connaissances dans des domaines variés, scientifiques notamment. Ces personnes cultivées s’attachaient un philosophe qui attirait intellectuels, gens de lettres et artistes. Quelques noms : Mme du Deffand, Mme Geoffrin, Mme de Lambert, Melle de Lespinasse. 6, 7 et 8 2 OBJECTIF : Comprendre la fonction attribuée historiquement à une langue CORRIGÉ 6 : 1. causes — clarté — diplomatie — histoire — langue française — relations internationales — traités

cadre, et la renforce par le fait même. Elle agit comme le théologien qui fournit les preuves rationnelles d'un dogme auquel tous les membres de l'Église croyaient déjà auparavant. » (1) Analysé par E. Auerbach, mimemis, pp. 234-235. (Le réconfort de Madame du Fresne, publié par J. Nève, Antoine de La Salle, pp. 109-140.) P 57 : « La vie politique offre également des situations où la justification d'une décision est attendue avec impatience, car c'est de cette justification que dépendra l'adhésion de

entière du même côté. » © Éditions d’Organisation Le management et le théâtre Mme Sirelli : Selon vous donc on ne pourra jamais savoir la vérité ? Mme Cini : Si on ne peut même plus croire à ce qu’on voit et à ce qu’on touche ! Laudisi : Mais si, madame, croyez-y ! Seulement, je vous dis ceci : respectez ce que voient et ce que touchent les autres, même si c’est le contraire de ce que vous, vous voyez et touchez. (...) pour moi la réalité, elle (est) dans l’âme de ces gens où je ne peux pénétrer

entière du même côté. » Le management et le théâtre © Éditions d’Organisation Mme Sirelli : Selon vous donc on ne pourra jamais savoir la vérité ? Mme Cini : Si on ne peut même plus croire à ce qu’on voit et à ce qu’on touche ! Laudisi : Mais si, madame, croyez-y ! Seulement, je vous dis ceci : respectez ce que voient et ce que touchent les autres, même si c’est le contraire de ce que vous, vous voyez et touchez. (...) pour moi la réalité, elle (est) dans l’âme de ces gens où je ne peux pénétrer