Magasin éphémère

boutiques de passage. Les journaux de l'époque signalent que les " plus hautes sommités " de la noblesse, de la finance, de l'administration se donnaient rendez vous dans les beaux salons de " La ville de Paris", le plus grand des magasins de nouveautés. Quant aux grands magasins proprement dits, ils allaient, dans la seconde moitié du XIX eme siècle œuvrer à l'élargissement des consommations bourgeoises et petites bourgeoises. Ils ne s'ouvriront que lentement et avec réticence aux clientèles populaires

1850-1950 : les premiers pas En 1852, Aristide Boucicaut invente le grand magasin : grande surface, assortiment large, prix bas, libre accès des consommateurs aux produits. C’est la première forme réelle de distribution de masse. 1866-1920 : le commerce s’organise : succursalisme, coopérative, groupement de commerçants. La crise de 1929 a un impact direct sur les grands magasins et on voit apparaitre les magasins populaires (Prisunic = Monoprix) ; concept de vente de masse à bas prix adaptés

directeur et propriétaire du grand magasin, veuf de Madame Hédouin morte dans les fondations du magasin. Il est très ambitieux. Baudu est l'oncle de Denise et dirige un petit commerce qui va faire faillite à cause du grand magasin. Son employé Colomban fiancé à sa filleGeneviève va disparaitre avec Clara, une vendeuse du magasin "au bonheur des dames". Cette disparition qui va rendre Geneviève malade, elle symbolise la domination et la fascination qu'exercent ce magasin. Mme desforges est clente "au

ordre et un emplacement stratégique. * Stockage : le stockage est de moins en moins important chez les distributeurs ; aujourd'hui c’est la commande du consommateur qui déclenche la production et le réassort. Il n’y a plus de réserves dans les magasins. * Service : il y a la vente, le conseil, le SAV (qui aujourd’hui est un service Avant vente, on va chez tel ou tel distributeur POUR le SAV), l’accueille, la livraison, le « satisfait ou remboursé », les cartes de crédit (surtout crédit revolving)

-------------p 28 Les magasins de bricolage (nombre de points de vente - par tranche de surface) ------------------------------------------p 30 Copyright UNIBAL 2 Le Marché du Bricolage en France en 2003 mai 2004 Méthodologie Pour déterminer le marché du bricolage, comme pour les années précédentes, nous avons pris en compte : Les ventes globales des GSB à partir de 300 m2, y compris leur rayon jardinage et les ventes du rayon bricolage des grands magasins Les ventes du rayon bricolage

Giorgio Armani.Giorgio Armani est né à Plaisance, une petite ville près de Milan. Très tôt, il se passionne pour le cinéma et le théâtre.Après un court séjour à la faculté de Médecine à Milan, il accepte en 1957 un poste à la Rinascente, un grand magasin de Milan. Il commence par travailler comme assistant de photographie puis passe au département stylisme où il recherche et présente des articles venant d'Inde, du Japon ou encore des Etats-Unis.En 1964, il conçoit une première ligne de vêtements pour

fonctions. Il y a les chaines volontaires et les franchises -Groupements horizontaux : On fait tous le même travail. Ils peuvent être à l’achat ou à la vente Si ce des groupements horizontaux à la vente, cela peut être ce qui l’on appelle les MCCI (magasin collectif de commerçant indépendant). Ainsi que les centres commerciaux. A l’achat cela peut être de détaillants (coopératives) ou une affiliation centrale d’achat et de grossistes.

distribution c’est le regroupement des hypermarchés, des grands magasins, des grandes surfaces spécialisées (GSS) parfois des supermarchés. Le commerce de proximité : il regroupe toutes les surfaces de vente qui permettent une fréquentation régulière voir quotidienne, souvent non motorisé par le client, c’est une fréquentation de quartier, centre ville, village. On regroupe certains types de point de vente (petit libre service, magasin d’alimentation générale, superette, supermarché (dans certains

| 1. PRESENTATION DU PROJET 1. OBJET ET LOCALISATION DU PROJET Le projet a pour objet l’implantation à Dakar, Fenêtre Mermoz, au sein de la Cité des Enseignants de l’Université Cheikh Anta DIOP, d’un supermarché, à savoir « un magasin de détail à dominante alimentaire, de vente en libre-service » . 2. PROMOTEURS Le projet est initié par la Mutuelle des Enseignants de l’Université Cheikh Anta DIOP de Dakar en association avec des hommes d’affaires sénégalais, dont Monsieur

découverte de la culture et du patrimoine)  Visites musées, monuments : 73%  Visites de jardins : 58%  Shopping : 53%  Découverte et gastronomie : 35% Visites de musées, monuments : les grands classiques Shopping : préférence pour les grands magasins Sorties : Cabaret … Restaurants : bon marché mais gastronomie typique made in France Comportement avec le personnel : client exigeants et peu patient mais très sensibles aux signes d’attention inattendus (cadeaux d’accueil …). Portrait-robot